Brian McKnight (né le 5 juin 1969 à Buffalo, New York) est un chanteur, parolier, producteur de pop et de R&B américain. Il joue également du piano, de la guitare, et de la guitare basse.

Peu importe le genre ou le type d'art, s'il est authentique, il y a une beauté apparente et en tant qu'artiste, c'est très inspirant.

À 17 ans, j'avais tout un groupe qui allait jouer. Il s'appelait Spontanes Inventions, après un album de Bobby McFerrin.

Vous entendrez Willie Nelson, puis Terre, Wind & Fire, puis Chicago, puis Billy Joel sur la même station de radio. De nos jours, tout est compartimenté.

Je garde ces chansons dans ma tête jusqu'à ce que je me mette derrière le microphone. Je ne passe jamais plus de 30 ou 40 minutes à chanter la voix ou cela semblera mécanique. Il y a toujours des erreurs, mais il s'agit de se sentir plus que d'être parfait.

Je regarde mes contemporains, et ils aiment vivre en studio et je ne le fais pas. J'ai une vie. Je le traite comme un 9 à 5. J'essaie de créer quelque chose de nouveau chaque jour, puis je continue ma vie.

Chaque chanson que j'ai faite est moi d'une manière ou d'une autre.

Je déteste le pigeonholage qui s'est produit dans le monde de la musique au cours des 30 dernières années.

De retour à l'université, quand j'ai été expulsé de l'école, j'étais toujours à l'école, je venais d'écrire la chanson qui m'a obtenu mon contrat d'enregistrement. Si je n'avais pas été expulsé de l'école, je ne serais pas là où je suis maintenant. Trois mois après cela, j'ai obtenu mon contrat d'enregistrement et le reste appartient à l'histoire.

Pour moi, capable de faire les disques que je veux faire et ne pas avoir à s'inquiéter de ce producteur ou de ce producteur ou de cette tendance, je ne m'intéresse pas vraiment.

Le jazz est une question d'improvisation et il s'agit du moment dans le temps, de le faire de cette façon maintenant, et vous ne le ferez jamais de cette façon deux fois. J'ai étudié les maîtres. Pourquoi voudrais-je jouer au ballon après les gars qui sont assis sur un banc? Je veux jouer comme Michael Jordan.

J'étais un nerd académiquement. Mais j'étais aussi un athlète et un musicien. Je n'ai jamais voulu être exclu d'aucune situation. Je pense que c'était plus que tout.

J'avais probablement six ans lorsque j'ai chanté pour la première fois devant un public.

J'écris sur des moments, et je ne fais pas de déclarations générales sur quoi que ce soit parce que personne n'a toutes les réponses; Personne n'a trouvé un moyen infaillible de faire quoi que ce soit en ce qui concerne les émotions.

Je suis juste un gars qui regarde le sport toute la journée.

Je ne suis pas comme une légende qui - donc je suis en quelque sorte au milieu dans ce genre de zone grise où, tu sais, je crée de la musique, et je ne dis pas qu'il n'y a pas de public, car là-bas est; Parce que toutes ces personnes sortent et dépensent 80 $ à 150 $ pour un billet de concert.

Je suis la cinquième génération des adventistes du septième jour et le plus jeune de quatre frères. Quand j'étais encore très petit, nous avons formé un quatuor évangélique.

Il sait que je le déchire tous les jours. Il est le parrain pour moi. Personne ne peut dire qu'ils ne sont pas influencés par ce que Stevie Wonder a fait.

Les gens n'aiment pas quand vous leur faites remarquer et leur rappelez-vous qu'ils ne sont pas très intelligents.

Je suis retourné et j'ai écouté les trois premiers albums que j'ai faits et j'ai essayé de comprendre ce qui était spécial à leur sujet, pourquoi les gens continuent de les revenir. Je pense que c'était parce que je ne savais pas ce que je faisais. Je ne savais pas s'ils allaient jouer à la radio ou quoi que ce soit. Tout ce que j'ai fait, c'est écrire des chansons, c'est donc ce à quoi je suis revenu.

Lionel Richie m'a dit d'oublier les critiques. Mais si vous revenez avec un coup après le coup, vous n'avez pas à vous soucier de quoi que ce soit.

En tant que musicien, vous voulez pouvoir faire les choses les plus difficiles. Les gens penseraient que c'est classique, mais en classique, tout est sur la page et la difficulté est de suivre la musique.

J'ai toujours été sérieux au sujet de la musique. Après l'avoir fait pendant tant d'années, vous revenez aux bases.

Beaucoup de musiciens mettent des diamants sur des choses pour montrer qu'ils ont de l'argent. De mon côté, j'avais senti que Daytona montrait que j'avais du style et que je n'avais pas besoin d'être tape-à-l'œil.

Je fais juste ce que je fais et j'espère qu'il est accepté par le public dans son ensemble. C'est différent de quand Marvin Gaye et Stevie ont révolutionné ce qu'il y a 25 ans. Maintenant, il y a toute cette technologie qui est disponible pour tout le monde. Il est difficile d'être en avance sur n'importe qui.

C'est formidable d'avoir votre propre étiquette; Vous pouvez cultiver vos propres artistes ... J'ai travaillé avec à peu près tout le monde que je voulais.

J'avais l'habitude de jouer des pianos dans les bars. Vous savez dans les hôtels, vous verriez des gars jouer du piano avec un snifter? C'était moi, avec une moustache peinte. J'avais environ 15 ans.

J'écoute toutes sortes de chansons. Il y a quelque chose à apprendre de tous les types de musique et de celui qui le fait, que ce soit la pop ou le jazz ou le hip-hop.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Brian_McKnight

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