La vie et l'oeuvre de l'ancêtre du happening et du streaking au Japon, Itoi Kanji (alias Dadakan) : la première étude chrono-biographique complète en langue occidentale sur le grand ascète nudiste dadaïste japonais, avec une iconographie rare.

Itoi Kanji (1920-2021), alias Dadakan, demeure, parmi les nombreux artistes iconoclastes qui surgirent de l'underground au Japon durant les années 1960-1970, le plus inclassable, le plus indépendant et le plus jusqu'au-boutiste que cette période féconde de la contre-culture de l'Archipel ait jamais connu. Actionniste de rue, ascète urbain, nudiste politique, pornopoète, anti-artiste, mail artist, marginal dans la marge, marcheur contestataire solitaire et solidaire, Dadakan est ce que Pierre Klossowski aurait sans doute nommé une anomalie négatrice de la monstruosité industrielle intégrale. A fortiori dans un Japon de l'après-guerre, en plein coeur d'une occidentalisation à outrance, où se bousculent des avant-gardes déjà sur la voie d'une canonisation par les instances nationales et internationales de l'art majuscule. Dadakan fit incontestablement partie des parias de l'art, proche en cela de ses amis du collectif actionniste Zero Jigen. Dadakan se révélera avec les années le plus résistant - inchangé jusqu'à 100 ans - et le plus pur, refusant jusqu'aux aides financières qui pouvaient lui être proposées malgré la précarité de son existence quotidienne. Négateur radical du capitalisme et de l'économie marchande dont l'art n'est qu'un fétiche de plus, le vieux maître utopiste de Sendai insista tranquillement, prouvant par sa vie même que si un art doit exister, c'est avant tout en tant que refus et contestation permanente du système. Posture radicale qui explique en grande partie l'obscurité médiatique dans laquelle a été maintenu, durant un bon demi-siècle, cet homme remarquable.
Cet ouvrage est la première synthèse dans une langue occidentale sur Dadakan.

Dadakan ! Nu intègre descendant les préjugés

Première monographie sur le troubladour électrique du rock underground japonais Keiji Haino, avec un CD d'inédits (Haino solo & Fushitsusha).

Vocations de l'ombre - Haino Keiji - Une autre voix/voie du rock

Bruno Fernandes peut se référer à :

Bruno Fernandes (1978-), footballeur bissau-guinéen ;
Bruno Fernandes de Souza dit Bruno (1984-), footballeur brésilien ;
Bruno Fernandes (1994-), footballeur portugais.

Bien sûr, chaque joueur veut marquer, c'est la partie la plus importante du jeu, marquant des buts et gagnant des matchs.

Nous voulons montrer nos meilleures qualités que nous pouvons, mais la chose la plus importante pour nous, pour l'équipe, est de gagner.

Mon objectif est de gagner des trophées. Peu importe de quel type de trophée est, je veux les gagner tous.

J'étais vraiment bon, j'avais un entraîneur qui m'a dit: «Si vous voulez être un joueur de haut niveau, vous devrez jouer en tant que défenseur central. Si vous voulez être un bon joueur, vous serez un milieu de terrain. Je pense qu'il avait tort mais, peut-être en tant que défenseur central, je pourrais être bien mieux, je ne sais pas!

Le monde réel ne vous dit pas que vous étiez incroyable après chaque match. Souvent, ce sont des gens qui vous critiquent en disant que vous n'êtes pas assez bon. C'est juste le football. Vous devez être en mesure de le prendre avec un sourire, de l'analyser honnêtement, et de l'utiliser comme motivation.

J'étais toujours en équipe Cristiano. Mon frère a toujours été Team Messi.

Pour moi, depuis que je suis enfant, c'était un rêve jouant pour Manchester United.

J'ai du respect pour PEP et ce qu'il a gagné, et ce qu'il a fait pour le football parce qu'il a changé certaines mentalités dans le football.

J'ai beaucoup de joueurs que j'aime voir. Par exemple, au cours de mes premières années, le joueur que je pense est celui que tout le monde a aimé et qui aimera toujours est Ronaldinho. Pour moi, il est le joueur avec la capacité de vous emmener et de vous mettre devant le téléviseur, et vous resterez pendant des heures. Pendant des heures!

Je cherche chaque jeu de la même manière. Et je pense que la ligue n'est pas un sprint, c'est un marathon. Vous n'avez donc pas à marquer ou à gagner contre les Big Six - vous devez marquer et gagner contre tout le monde.

Celui que j'aimais regarder et suivre était Iniesta, parce qu'Iniesta est un mélange entre un huit et un 10. C'est une façon de faire mieux, entre huit et 10. C'est le gars qui aime toujours avoir le ballon, prendre Les risques, et je pense qu'Iniesta a été l'un des meilleurs au monde.

Je suis une personne qui exige beaucoup de moi et qui veut toujours plus et faire mieux.

Depuis que je suis enfant, c'était un rêve de jouer pour Man United, et être là à Old Trafford est le plus grand rêve de ma carrière.

Je joue au milieu de terrain, meneur de jeu, même deuxième attaquant: où j'ai besoin et où je peux être le plus utile.

Pour moi, c'est vraiment la même chose, l'assistance ou l'objectif, je ne choisis pas. Si je peux faire l'un d'eux ou les deux, c'est bon, la chose la plus importante est la victoire de l'équipe.

Quoi qu'il en soit, quand je jouais avec mes amis, mon frère, avec mes voisins, je n'ai jamais voulu perdre.

Je veux gagner à chaque fois, cette mentalité sera avec moi pour le reste de ma vie.

Pour moi, perdre n'est pas normal, donc ma mentalité en vient.

Si vous parlez de stades que tout le monde connaît, les plus historiques sont San Siro et Old Trafford.

Les joueurs commencent à reconnaître votre jeu, commencent à savoir comment vous vous déplacez, comment vous passez, comment vous tirez et les choses deviennent difficiles maintenant. Alors maintenant, je dois m'améliorer davantage et travailler davantage et comprendre davantage les équipes contre lesquelles je joue parce qu'ils me comprendront mieux, mais je dois être prêt à mieux comprendre les difficultés qu'ils peuvent avoir.

Quand j'ai reçu l'appel en disant: «Bruno, vous avez la chance de déménager à Manchester», j'ai appelé ma femme, mon frère, ma sœur, ma mère et j'ai juste commencé à pleurer. Mais je pleurais par le bonheur.

C'est toujours la pression de prendre un stylo, peu importe si c'est contre City ou une autre équipe. C'est toujours la pression de prendre les stylos.

Je suis confiant quand je prends la pénalité sinon je passerais pour quelqu'un d'autre.

Vous devez sortir au jeu et comprendre que vous devez battre votre adversaire. Avec tout le respect, car vous devez avoir du respect pour votre adversaire, mais vous devez les battre. Si vous ne les battez pas, ils vous battront.

Peut-être que ma façon de montrer le leadership est un peu plus expressive et que les gens voient plus de moi que les autres joueurs, mais je pense qu'en fin de compte, vous devez avoir 25 leaders dans l'équipe si vous voulez gagner quelque chose.

La position que je joue est de le faire, d'aider et de marquer quand vous le pouvez.

C'est super d'avoir Cristiano. Il rend toute équipe plus forte.

J'ai regardé Manchester avec plus d'intérêt lorsque Cristiano était là parce que c'est normal lorsque vous avez des joueurs portugais dans certaines équipes, vous les regardez plus que d'autres équipes.

Lorsque vous avez des attaquants qui se déplacent beaucoup et qu'ils vous donnent la chance de jouer des balles pour eux, c'est vraiment bien.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_Fernandes

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