Bryan Robson est un footballeur international anglais qui évoluait au poste de milieu relayeur, désormais entraîneur, né le 11 janvier 1957 à Chester-le-Street (Angleterre).

Gagner le championnat, c'est comme prendre un ballon et une chaîne de 26 ans autour de nos jambes. Maintenant, nous pouvons aller de l'avant et, espérons-le, dominer le football anglais pendant les 10 prochaines années, comme Liverpool l'a fait.

J'ai quitté Boro en Premiership, ce qui a toujours été ce que je voulais faire. En fait, ce n'est pas tout à fait vrai. Je les ai emmenés à trois finales de tasse, où ils n'avaient jamais été auparavant. Mais j'avais lutté sur le fait d'être le premier manager de leur histoire à livrer un trophée majeur.

Lorsque vous battez Arsenal, ce sont trois bons points.

J'ai dû changer quelque chose. Ce n'était pas non plus un peu pour mon personnel. Nous étions tous chez Boro depuis sept ans. Mais certains joueurs s'étaient trop familiarisés avec la configuration. J'ai dû le retourner. Terry était le seul homme auquel je pouvais penser pour le faire. Alors je suis allé le chercher.

En fin de compte, une petite section de la foule, peut-être 2 000 à 3 000, s'est retournée contre moi. Et c'était tout. À l'intérieur du club, ils connaissent vos meilleures intentions, mais la minorité crie plus fort que les autres.

Aurais-je pu sortir alors? Si je l'avais fait, Terry n'aurait pas accepté le travail.

Beaucoup de gens, dont certains me sont proches, ont dit que je m'étais sacrifié en faisant ce que j'ai fait en amenant Terry à bord. Je n'ai pas vu les choses de cette manière.

Ils voulaient sauter dans leur propre train. Bobby Charlton ne l'avait jamais réussi en tant que manager. Bobby Moore ne l'avait pas non plus. Je pense qu'ils n'ont jamais cessé d'essayer de me mettre dans la même catégorie. C'était la route qu'ils ont emportée avec moi.

D'une certaine manière, certaines sections des médias ont toujours voulu me frapper parce que j'avais capitaine mon pays et mon skipper à Old Trafford. C'était vraiment un peu étrange.

La première fois que j'ai vu Giggsy, il jouait pour Salford Boys contre les apprentis de United. Il était mince et nerveux, mais il a simplement glissé après quatre de nos apprentis comme s'ils n'étaient même pas là, puis il a mis le ballon à l'arrière du filet. Je pensais juste que «cet enfant est un naturel absolu»

Vous ne pouvez pas laisser les joueurs faire ce qu'ils souhaitent et être professionnels. C'est un fait. Quant à l'équipe, Boro avait deux internationaux lorsque je suis arrivé en 1995. Maintenant, ils en ont plus de 15. Et ils n'ont pas coûté la fortune que certains suggèrent.

Paolo di Canio est capable de marquer l'objectif qu'il a marqué.

Et à la fin de la saison, vous ne pouvez faire aussi bien que ce que vous avez fait

Si j'avais pu rassembler la collection en une seule fois, disons pendant deux ans, nous aurions eu une équipe spéciale, la plupart ne resteraient pas. Une ou deux saisons de gloire et ils étaient partis. Pour eux, le nord-est était trop éloigné. Ils voulaient être avec les grands frappeurs.

La saison dernière, lorsque les choses ne fonctionnaient pas, je pensais que nous avions besoin d'une voix différente autour de l'endroit.

Tout ce qui concerne le fait d'être un club de beuverie ou d'avoir des joueurs qui n'étaient pas assez bons, je traite comme des ordures.

J'étais déterminé à faire les choses sur le terrain. Ensuite, si je devais partir à la fin de la saison, tant pis. Je ne me suis jamais senti menacé ou isolé par l'arrangement. Nous avons travaillé ensemble et cela a fonctionné.

C'est l'occasion unique et vous ne pouvez pas obtenir une plus grande occasion que ça

Nous devons être exceptionnels lorsque nous commençons et laissons les autres chasser nous.

En ce qui me concerne, c'est la fin de l'affaire. Nous avons un gros match contre Birmingham samedi et c'est là que nous nous concentrons.

Personne n'est à la peau épaisse que cela ne vous fait pas de mal. Pourtant, vous savez toujours ce qui se passe dans le football. Je me suis habitué à la critique, je suppose, après avoir été très profond avec l'Angleterre et l'homme U.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bryan_Robson

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