I am the reason girls are told not to trust strangers. I am their cautionary tale.

 Nineteen years ago Linn Wilson was attacked. Seventeen-years-old and home alone, she'd been waiting for her friends to arrive when she heard the doorbell ring. But when she opened the door, Linn let in her worst nightmare. The culprit was never found.

 It was someone I knew. I am going to find out who did this to me.

 Now, Linn is determined to get to the bottom of the night that changed her life forever. Returning to the village where she grew up, she knows that someone must know something. The claustrophobia and isolation of small town living means secrets won't remain secrets for long.

 A wonderfully tense and gripping suspense thriller that will have you hooked! Perfect for fans of D. K Hood's Detective Kane and Alton series and Sheryl Browne.

 What others are saying about Flowers for the Dead:

 'Wow, I loved this book very much. It's dark, intense and quite chilling at times, and it really made for some harrowing reading.' Sarah, NetGalley reviewer 5*

 'Bar none, this one of my top favorite thrillers to date. Whoa! Damn. You've gotta read it! 5+ stars.' Olivia, NetGalley reviewer 5*

 'I would fully recommend this well written book. Strap yourself in - the subject matter is harrowing but expertly woven into a tale of secrets, mis-truths and ulterior motives.' Mark, NetGalley reviewer 5*

 'One of the best novels I read for 2019. The rough storyline hit a nerve and didn't stop until the end. I loved the strong and determined main character.' Reva, Netgalley reviewer

 'A great psychological thriller which will keep you reading until the last page.' Sharon, Netgalley reviewer

 'I thought I knew the culprit and then thought it was first one character and then another. Isn't this what makes a great mystery?' Sallie, Netgalley reviewer

 'An exhilarating read, everything I would hope for in a psychological thriller.' Netgalley reviewer

Flowers for the Dead

Mon père et moi sommes silencieux à présent. Le silence qui s'installe entre un père ou une mère et un enfant, le bruissement dans tout notre être d'émotions anciennes, la cacophonie de nos malentendus, les bribes chaotiques de phrases d'explication ou de déclarations d'intention qui n'ont jamais été prononcées : je ne ressens rien de tout cela. Durant les jours, les semaines et les mois qui vont suivre la mort de mon père, je rêverai souvent de lui, plus souvent que je n'aurais pensé. Ma mère, quand elle mourra, mettra longtemps à surgir dans mes rêves ; quand elle finira par y apparaître, ce sera le plus naturellement du monde, sans faire de manières; elle semble souvent me sourire depuis l'espace de mon rêve.

Dissentiments - Ma mère, mon père, moi-même

" Lorsque je considère ce que j'ai écrit au cours de tant d'années, je suis frappé surtout de constater que mes poèmes sont devenus des événements de mon existence, plus que de simples créations artistiques. Le poète perd de vue la façon précise dont il a élaboré un poème, le temps lui a fait oublier bien des procédés techniques qu'il a dû apprendre et mettre en œuvre, tant et si bien qu'il est parfois tout surpris que ce poème ait pris racine dans sa vie pour ensuite s'en détacher. Finalement, quand je relis mon œuvre, les poèmes qui la composent me semblent ne plus être simplement le témoignage de perceptions que j'ai eues, d'émotions ou de passions que j'ai ressenties, ou la distillation d'idées qui se sont emparées de moi, mais des expériences en elles-mêmes, des éléments de ma biographie intime. Ils m'inspirent le même attachement que lorsque je me remémore ce que tel ou tel d'entre eux incarnait ou représentait. Il en résulte une curiosité vis-à-vis de soi qui va au-delà de celle qu'on éprouverait normalement. " (Extrait de l'avant-propos).

Anthologie Personnelle

Je pense que la poésie vit toujours sa vie, et les gens viennent et les gens s'en éloignent, les «gens» dans le sens d'un plus grand nombre de personnes. C'est comme si vous commenciez à penser que la poésie est une ressource, et qu'à certains moments, les gens semblent en avoir besoin ou le veulent ou peuvent trouver de la subsistance, et à d'autres moments, ils ne le peuvent pas.

Parfois, vous avez un poème que vous voulez vraiment écrire et cela n'arrive jamais.

Lorsque vous commencez à écrire des poèmes parce que vous aimez le langage, parce que vous aimez la poésie. Quelque chose se passe qui vous fait écrire des poèmes. Et l'écriture de poèmes est incroyablement agréable et addictive.

Je n'aime pas le déni. Je n'aime pas la répression.

La poésie est confrontée à la manière la plus claire des émotions que la conscience souhaite glisser.

Si vous passez toute votre vie à être déprimée dans la vie, vous la gaspillez.

Plus j'écris, plus le silence semble me ronger.

Je ne pense pas à la réflexion sur les choses sombres comme nécessairement sombres.

J'avais tendance à écrire des poèmes sur les problèmes sociaux et spirituels, et certains problèmes que l'on ne veut pas vraiment résoudre, et donc les problèmes eux-mêmes sont résolus. Vous ne voulez certainement pas résoudre des problèmes dans des poèmes qui n'ont pas été résolus dans le monde.

On devient grand-père et on voit le monde un peu différemment. Certes, le monde devient un endroit plus vulnérable où l'on a un petit-enfant, ou maintenant j'en ai deux. Et je pense qu'il y a peut-être une certaine tendresse qui est sortie du temps et de l'âge et d'être un parent et un grand-parent.

Les poèmes ont une musique différente de la langue ordinaire, et chaque poème a un type de musique de nécessité différent, et c'est, en quelque sorte, la chose la plus difficile à propos de l'écriture de la poésie est d'attendre cette musique, et parfois vous ne savez jamais si cela va venir .

Mon père m'a lu de la poésie, m'a encouragé à mémoriser des poèmes. Mais l'écriture était une chose assez différente.

Ses oeuvres

Ses derniers livres