Cameron Russell, née le 14 juin 1987 à Cambridge (Massachusetts) est un mannequin américain.

Les modèles sont les femmes les plus peu sûres physiquement de la planète.

Quand j'ai vécu pour la première fois dans un appartement modèle ... c'était deux lits superposés dans une pièce, et la salle de bain était constamment utilisée. J'apportais des céréales Lucky Charms, et un jour un agent a mis un terme à cela. Elle a dit: «Vous faites grossir toutes les filles». Ils l'ont enlevé de notre ordre d'épicerie. C'était la chose la plus dramatique qui s'est produite.

Mon premier jour de lycée, je portais des solutiers de garçons bruns dans lesquels ma mère avait cousu dans l'élastique de la rue de sésame - ils étaient mon pantalon le plus cool - et une toison de Patagonia vert citron que ma mère a trouvé à la bonne volonté. J'ai adoré la toison.

Devenir un modèle était très contre-culture pour mon parcours, qui est hyper-libéral, académique et féministe.

[Les mannequins ont les cuisses les plus fines, les cheveux les plus brillants et les vêtements les plus cool, mais ce sont les femmes qui manquent le plus de confiance en elles sur la planète.

J'ai trop de talons de huit pouces que je ne porte jamais.

Au cours des derniers siècles, nous avons défini la beauté comme des figures hautes et minces, la féminité et la peau blanche.

Ma mère ne m'a jamais dit que j'étais belle quand j'étais enfant - et je n'ai pas lu de magazines ou regardé MTV, donc je n'avais pas de véritable conscience à ce sujet.

Je ne fais rien de malsain totalement parce que je ne suis pas malsain. Mais je fais la promotion d'un idéal qui n'est pas réalisable, et pour cela, je dois me sentir coupable. Je dois assumer un certain blâme pour cela.

Je travaille dur, mais ma carrière de mannequin accorde mes opinions sans mérité.

Je pense que c'est plus cool lorsque les filles ont des vêtements préférés plutôt qu'une armoire entièrement nouvelle tous les quelques mois.

Je décide habituellement quoi porter le matin, mais parfois, j'aurai un manteau, un pull ou des chaussures préféré, et je les porterai tous les jours pendant une semaine!

Le travail acharné n'est pas la raison pour laquelle j'ai réussi en tant que modèle.

Avoir un couple de bases vraiment superbes facilite bien s'habiller tous les jours.

À quoi nous ressemblons - bien qu'il soit superficiel et immuable - a un impact énorme sur nos vies.

J'ai été victime d'intimidation à l'école.

Les statistiques montrent que la diversité dans les médias est assez lugubre. Des voix critiques des femmes et des personnes de couleur manquent de nombreuses conversations importantes.

Je n'ai aucune idée des avantages que j'obtiens vraiment, mais je sais que les gens me parlent et me donnent le temps de la journée parce qu'ils aiment mon apparence.

J'ai toujours voulu devenir président! Quand j'étais enfant, j'étais obsédé par la politique.

L'image est puissante. Mais l'image est également superficielle.

Une tonne de petites filles à qui je parle, elles veulent être actrices ou chanteuses ou mannequins.

Mon style n'est certainement pas Ladylike - les fioritures et les arcs me font un peu peur - mais j'aime le look militaire parce que j'aime cette couleur kaki vert olive.

Ma tenue préférée est un pantalon en velours noir baggy et un t-shirt ample.

La vraie façon dont je suis devenu un modèle est que j'ai gagné une loterie génétique, et je suis devenu le destinataire d'un héritage.

Je ne suis pas sûr ... parce que je dois penser à ce à quoi je ressemble tous les jours.

Cela va sembler ridicule, mais savoir comment poser, comment maintenir un niveau d'engagement et de variation pour une journée de tir, est en fait une compétence.

Les femmes s'inquiètent souvent de leur apparence, et ce n'est pas superficiel. Nous savons que notre apparence n'a rien à voir avec la façon dont nous sommes intelligents, créatifs ou travailleurs, mais il joue puissamment dans ce que la société décide que nous valons.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cameron_Russell

Ses oeuvres