Quoi manger ? Qui aimer ? Comment vivre ? Tout cela nous l'avons appris de ceux qui nous ont précédés. Et si c'était la même chose chez les animaux ? Pour répondre à cette question, Carl Safina s'est rendu dans la mer des Caraïbes afin d'observer les clans de cachalots et comprendre leur langage ; dans la forêt tropicale du Pérou, refuge de perroquets pour lesquels la beauté est primordiale ; ainsi qu'en Ouganda où les chimpanzés ont un sens aigu de la communauté à laquelle ils appartiennent... pour le meilleur comme pour le pire. En tant qu'individus, ces animaux ne se définissent pas uniquement par leurs gènes mais aussi par la culture dont ils ont hérité de milliers de leurs semblables, tout un ensemble de savoirs passant d'une génération à l'autre comme un feu qui jamais ne s'éteint. Entre anecdotes incroyables et descriptions sublimes de la nature, Carl Safina nous amène à l'école de la vie, au-delà de la frontière entre animaux et humains.

A l'école des animaux - Fonder une famille, apprendre à séduire, vivre en paix : comment font-ils ?

Joie, chagrin, jalousie, colère, amour... et si nos émotions étaient aussi celles des animaux ? 

Pour répondre à cette question, Carl Safina s'est rendu au Kenya, afin d'observer des troupeaux d'éléphants dans le parc naturel américain de Yellowstone, où des meutes de loups vivent en liberté et sur une île de la côte Pacifique, point de rassemblement de nombreux bancs d'orques. 

Dans ces lieux encore sauvages, où la nature s'exprime sans fard, il a vu des animaux porter le deuil, apprendre à leurs petits comment survivre, partager joies et peines, s'unir ou se faire la guerre, distinguer les humains bienveillants des chasseurs... 

En racontant la vie des éléphants, des loups et des orques avec un luxe de détails extraordinaire, Qu'est-ce qui fait sourire les animaux ? nous dévoile un univers insoupçonnable, où la frontière entre l'humain et le non-humain s'estompe. 

Carl Safina nous conduit ainsi à réfléchir sur notre place dans la nature. 

 Spécialiste de la vie marine, Carl Safina est l'auteur de nombreux livres et documentaires télévisés. Qu'est-ce qui fait sourire les animaux ? est son premier ouvrage traduit en français.

Qu'est-ce qui fait sourire les animaux ? - Enquête sur leurs émotions et leurs sentiments - Enquête sur leurs émotions et leurs sentiments

Joie, chagrin, jalousie, colère, amour... et si nos émotions étaient aussi celles des animaux ?

Pour répondre à cette question, Carl Safina s'est rendu au Kenya, afin d'observer des troupeaux d'éléphants ; dans le parc naturel américain de Yellowstone, où des meutes de loups vivent en liberté ; et sur une île de la côte Pacifique, point de rassemblement de nombreux bancs d'orques.

Dans ces lieux encore sauvages, où la nature s'exprime sans fard, il a vu des animaux porter le deuil, apprendre à leurs petits comment survivre, partager joies et peines, s'unir ou se faire la guerre, distinguer les humains bienveillants des chasseurs...

En racontant la vie des éléphants, des loups et des orques avec un luxe de détails extraordinaire, Qu'est-ce qui fait sourire les animaux ? nous dévoile un univers insoupçonnable, où la frontière entre l'humain et le non-humain s'estompe.

Carl Safina nous conduit ainsi à réfléchir sur notre place dans la nature.

Qu'est-ce qui fait sourire les animaux ? enquête sur leurs émotions et leurs sentiments

Essayez de réduire considérablement le plastique. Recycler. Utilisez moins d'énergie et plus d'énergie renouvelable. Nous pouvons tous vivre mieux en faisant mieux pour nous-mêmes et la mer!

Pourquoi même je dirais que nous ne pouvons pas arrêter de former dans le Golfe? Parce que nous n'avons pas d'alternatives. Que nous fassions ou non dans le Golfe ou en Alaska, nous continuerons à essuyer le dernier de n'importe où d'autre.

Beaucoup de gens croient que toute la catastrophe est l'huile que nous débordes, mais cela est dilué et finalement désarmé au fil du temps. En fait, l'huile que nous ne renversons pas, l'huile que nous collectons, affinons et utilisons, produit du CO2 et d'autres gaz qui ne sont pas dilués.

BP avait un bail pour forer. Ils n'avaient pas de bail pour polluer le golfe du Mexique. Ils n'avaient pas de bail pour faire sauter l'huile dans l'environnement. Ils n'avaient pas de bail pour disperser l'huile et essayer de cacher le corps. Ils n'ont pas de bail à nettoyer.

La côte est un endroit audacieux. Vivre sur la côte présente certaines réalités frappantes et une beauté sauvage et rare. Le continent affronte l'océan. La météo s'intensifie. C'est un lieu de marée et de colère; de flirts parmi leswaters frais et salés, les forêts et les rives; de négociations tendues avec un océan qui donne beaucoup mais exige plus. Chaque année, le bord brut qui est cette côte est martelé et remodelé comme du bronze fondu. Cet endroit est royal avec le pouvoir et une beauté parfois terrible. La côte reste jeune, audacieuse, incertaine de demain. La devinette, le risque; D'une certaine manière, nous sommes tous des chercheurs de sensations fortes ici.

Pour sauver les mers, nous pouvons manger durablement et être conscients des fruits de mer que nous mangeons.

Les créatures de la mer ont un mystère spécial, et ils sont parmi les plus excitants, les plus gracieux et les plus beaux sur Terre. Considérez simplement l'émeute vivante d'un récif de corail, la beauté d'un albatros, la puissance impressionnante d'une tortue géante, la grâce d'un dauphin. Multipliez maintenant cela par des millions de créatures dans la mer. Ouah!

Si vous surposez en haut de la chaîne alimentaire et acidifiez l'océan en bas, vous créez une pression qui pourrait éventuellement effondrer l'ensemble du système.

Les économistes ne semblent pas avoir remarqué que l'économie se situe entièrement dans l'écologie.

Si vous demandez au poisson s'il préfère avoir une marée noire ou une saison de pêche, je ne serais pas surpris s'ils voteraient pour une autre éruption.

Si vous voulez faire des changements, «montrez-moi comment» peut être une approche plus forte et plus efficace que «dites simplement non». C'est ce que je pense.

Nous avons mis le meurtrier en charge de la scène du crime.

Windy ou non, un jour, cette belle doit être vécue. La journée est brillante et claire, le ciel bleu et l'air sec est léger. Un vent du nord suscite une envie primordiale de se déplacer. Les oies le ressentent, et moi aussi. C'est peut-être pour cela que la vue des oies migratrices arrête notre attention, pourquoi nous ressentons l'attraction. Nous voulons y aller, voyager par temps frais ou de mauvaise humeur, en prenant chaque vue nouvellement révélée.

Je suis attiré par la nature non parce qu'il est sauvage mais parce qu'il est sensible, logique, ordonné, stable, résilient. La nature sauvage est tout ce que nous avons du mal à retrouver.

Toute enquête honnête sur la réalité de la nature donne également des idées sur nous-mêmes.

Pour les partisans de la gestion basée sur les écosystèmes, la bonne nouvelle est qu'un autre nouveau livre, la gestion de l'écosystème pour les océans, transmet le sujet à son niveau de développement de pointe ... à la fois les écosystèmes marins et le changement mondial et La gestion basée sur les écosystèmes pour les océans est de précieuses TROVES qui pourraient être extraites de manière rentable, et toute bibliothèque académique les porterait bien.

La pêche offre le temps de réfléchir et de ne pas le faire. Si vous avez la vertu de la patience, une heure ou deux de casting seul, c'est beaucoup de temps pour revoir tout ce que vous avez appris sur les grands thèmes de la vie.

Depuis les jours de joie d'exploration et de forage pétroliers, lorsque de nombreuses sources faciles étaient trouvées et facilement gérées, nous nous sommes mis dans ce genre de temps apocalyptique. Nous sommes prêts à détruire presque tout, à risquer presque n'importe quoi et à aller de l'avant avec les techniques pour lesquelles nous n'avons aucun moyen de répondre aux problèmes connus.

Que ce soit en ce qui concerne le réchauffement climatique ou la protection de l'enfance, la cause est la même cause. Et la justice vient du même endroit que l'homme vient de: la compassion.

[À propos de la lecture de Silent Spring de Rachel Carson, à l'âge de 14 ans, sur la banquette arrière de la berline de ses parents. J'ai failli vomir. J'ai été physiquement malade lorsque j'ai appris que les balbuzards et les faucons pèlerins n'élevaient pas de poussins à cause des produits que les gens pulvérisaient sur les insectes dans leurs fermes et sur leurs pelouses. C'est la première fois que j'ai appris que les humains pouvaient avoir un impact sur l'environnement avec des produits chimiques. [Le fait qu'une entreprise crée un produit qui ne fonctionne pas comme annoncé était choquant d'une manière à laquelle nous n'étions pas habitués.

Un tableau n'est rien d'autre que la lumière reflétée par la surface d'une toile recouverte de pigments. Mais un grand peintre peut vous faire voir la profondeur, vous faire ressentir l'émotion sous-jacente, vous faire sentir le monde dans son ensemble. Tel est également le pouvoir de la science : percevoir et transmettre la profondeur et la dimensionnalité de la nature, jeter un coup d'œil à la surface et deviner la forme de l'univers qui nous entoure.

Plusieurs groupes ont des informations évaluant la durabilité des fruits de mer. J'ai écrit le premier guide de ce type, et des guides de poche de fruits de mer et des évaluations détaillées de différents fruits de mer sont disponibles en téléchargement du groupe que j'ai fondé, Blue Ocean Institute.

Sauver le monde, il faut sauver la démocratie. Cela nécessite des citoyens bien informés. Conservation, environnement, pauvreté, communauté, éducation, famille, santé, économie - Celles-ci se combinent pour faire une quête: la liberté et la justice pour tous. Qu'il s'agisse d'un accent particulier est le réchauffement climatique ou le bien-être de l'enfance, la cause est la même cause. Et la justice vient du même endroit que l'homme vient de: la compassion.

Adolescent pêcheur, j'ai regardé et suivi des sternes pour trouver du poisson. Plus tard, j'ai étudié les sternes pour mon doctorat.

Pour chacun de nous, le défi et l'opportunité sont donc de chérir toute la vie comme le cadeau qu'il est, de l'imaginer entier, de le savoir vraiment et de nous engager avec nos esprits, nos cœurs et nos mains pour restaurer son abondance. On dit que là où il y a la vie, il y a de l'espoir, et donc aucun endroit ne peut nous inspirer avec plus d'espoir que cette grande mer et une mer singulière et merveilleuse couvrant la planète bleue.

Quand j'étais au lycée au début des années 1970, nous savions que nous manquions de pétrole; Nous savions que des sources faciles étaient plafonnées; Nous savions que la diversification serait bien meilleure; Nous savions qu'il y avait de terribles dictateurs et des gouvernements horribles que nous enrichissions qui nous détestaient. Nous savions tout cela et nous n'avons vraiment rien fait.

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