Carlos Cuaron
Carlos Cuarón, de son nom complet Carlos José Cuarón Orozco, est un scénariste, un réalisateur et un producteur de cinéma mexicain né le 2 octobre 1966 à Mexico (Mexique).
...plusCompte non officiel
10
@carlosCuaron
Si vous êtes fan, vous avez deux choix. Allez au stade, où vous en voyez toute la beauté. Ou restez à la maison, regardez les beaux mouvements sur les caméras Slo-Mo. N'allez pas au cinéma, car vous ne le verrez pas là-bas.
@carlosCuaron
Quand j'écrivais le script, je savais pas faire un film sportif. J'étais très clair que je voulais faire une histoire de rivalité de frère. Donc, quand j'écrivais le scénario, le football entravait le drame. Un jour, j'ai vu les jeux drôles de Michael Haneke, qui est probablement le film le plus violent que j'ai jamais vu - mais la violence est hors caméra. Quand j'ai fini de regarder le film, j'ai dit: "Hé, c'est ce que je dois faire." Haneke m'a donné cette solution.
@carlosCuaron
Le seul moment que le football s'arrête est vraiment avec un coup de pied de pénalité - et c'est un moment qui est vraiment dramatique. Un coup de pied de pénalité devient un duel occidental. Ce sont deux gars face à l'autre. Destin et mort potentielle, qu'ils soient métaphoriques ou littéraux. C'est pourquoi dans le coup de pied de pénalité à la fin du film, je l'ai tourné comme un hommage aux Westerns de Sergio Leone que j'ai vus quand j'étais enfant, en particulier le bien, le mal et le laid.
@carlosCuaron
Les sports comme le baseball ou le baseball sont faciles à dramatiser, car tous ont une pause et cela aide à la tension. Le football ne s'arrête jamais. Je suis un fan de football. Je crois en la beauté du jeu.
@carlosCuaron
Si vous êtes fan, vous avez deux choix. Allez au stade, où vous en voyez toute la beauté. Ou restez à la maison, regardez les beaux mouvements sur les caméras Slo-Mo. N'allez pas au cinéma, car vous ne le verrez pas là-bas.
@carlosCuaron
Quand j'écrivais le script, je savais pas faire un film sportif. J'étais très clair que je voulais faire une histoire de rivalité de frère. Donc, quand j'écrivais le scénario, le football entravait le drame. Un jour, j'ai vu les jeux drôles de Michael Haneke, qui est probablement le film le plus violent que j'ai jamais vu - mais la violence est hors caméra. Quand j'ai fini de regarder le film, j'ai dit: "Hé, c'est ce que je dois faire." Haneke m'a donné cette solution.
@carlosCuaron
Le seul moment que le football s'arrête est vraiment avec un coup de pied de pénalité - et c'est un moment qui est vraiment dramatique. Un coup de pied de pénalité devient un duel occidental. Ce sont deux gars face à l'autre. Destin et mort potentielle, qu'ils soient métaphoriques ou littéraux. C'est pourquoi dans le coup de pied de pénalité à la fin du film, je l'ai tourné comme un hommage aux Westerns de Sergio Leone que j'ai vus quand j'étais enfant, en particulier le bien, le mal et le laid.
@carlosCuaron
Le seul moment que le football s'arrête est vraiment avec un coup de pied de pénalité - et c'est un moment qui est vraiment dramatique. Un coup de pied de pénalité devient un duel occidental. Ce sont deux gars face à l'autre. Destin et mort potentielle, qu'ils soient métaphoriques ou littéraux. C'est pourquoi dans le coup de pied de pénalité à la fin du film, je l'ai tourné comme un hommage aux Westerns de Sergio Leone que j'ai vus quand j'étais enfant, en particulier le bien, le mal et le laid.
@carlosCuaron
J'ai un agent à Hollywood et il cherche du matériel. Si je reçois l'offre et que je sens que je me rapporte à ce matériel, je le ferai. J'adorerais faire un film d'horreur, un thriller, un larmoyant ... j'aime la diversité. Je voudrais simplement soutenir mon sens de l'humour!
@carlosCuaron
Le seul moment que le football s'arrête est vraiment avec un coup de pied de pénalité - et c'est un moment qui est vraiment dramatique. Un coup de pied de pénalité devient un duel occidental. Ce sont deux gars face à l'autre. Destin et mort potentielle, qu'ils soient métaphoriques ou littéraux. C'est pourquoi dans le coup de pied de pénalité à la fin du film, je l'ai tourné comme un hommage aux Westerns de Sergio Leone que j'ai vus quand j'étais enfant, en particulier le bien, le mal et le laid.