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Caroline Baucher

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Poésies

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    Caroline Baucher

    @carolineBaucher

    A L'Autonme à l’automne à l’automne, les feuilles volent au vent. portées par le temps qui soupire, elles déambulent dans les rues, tristement, cherchant un endroit où se blottir. A l’automne, les enfants reprennent le chemin de l’école. Sur le pupitre, les feuillent rêvent de l’été qui, lentement, s’encre au verso de ce nouveau chapitre. A l’automne, le froid s’installe. déjà, les souvenirs d’été se fanent sur les pages du temps qui râle. les feuilles, couleur de feu de l’automne dans notre cœur, inlassablement flânent bruissement d’aile d’une plume d’automne.

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    Caroline Baucher

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    Adieux le temps, assis sur un banc, caresse ses yeux : sa jeunesse, frivole, inonde son ceour : sous la pluie d'or de tous ses songes silencieux se réveillent ses jeunes années de bonheur elles dansent, si insouciantes, et le parfum de leur rire embaume ses heures désormais dénudées de toues les splendeurs de la beauté incandescente son oeil,laiteux et hagard, s'est déjà voilé sur tous ces instants qu'il aurai tant voulu éternel ; dans un dernier regard pétrifié, il a enterré ses souvenirs perdus.

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    Caroline Baucher

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    Ciel divers Le ciel à la tête dans les nuages : il en a oublié la réalité du temps, et, pour se lever, prend tout son temps. Il aurait voulu une vie sans nuage. Le ciel a, ce soir, la tête dans les étoiles : il en est toute à sa rêverie quand la lune lui sourit. Il aurait voulut une vie les yeux plein d'étoiles. Le ciel a plus d'une corde à son arc pour nous faire voir des astres et nous faire oublier les désastres. Le ciel aurait voulut une vie sans parque. Le ciel a, hier matin, lavé tous ses soucis. il s'est arc bouté à la terre pour les mettre en terre. Le ciel aurait voulu une vie réussie. Le ciel a, ce matin, mis ses lunettes. Il est ébloui par la vigueur du soleil qui lui donne une belle couleur de miel. Le ciel est, ce matin, bien tête en l'air. Il doit remettre de l'ordre dans ses idées et quelques mystères élucider : il a connu toutes les ères. Le ciel a, malgré tout, relevé la tête quand le soleil lui faisait grise mine et de gris parfois il fulmine le ciel aurait voulu une vie sans prise de tête. Le ciel a, ce matin, les idées bien brumeuses. Il a passé une nuit blanche et a drappé la terre d'une nape blanche. Le ciel aurait voulu une vie fastueuse Le ciel a eu, aujourd'hui, avec le temps quelques heurts. Il est passé en cou de vent et à balayé les ans : le ciel aurait voulu une vie sans heures. Le ciel a été bien généreux : il a fait croire pour une nuit que s'envolaient tous nos ennuis Le ciel aurait voulu une vie au front moins nuageux. Le ciel est sur son peiti nuage. Il a pourtant le regard laiteux : il sent les souvenirs capiteux. Le ciel aurait voulu une vie sans âge. Ce sont les ciels divers

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    Hiver à l'abime des incertitudes, les frimas hivernaux s'enroulent et cueillent toutes nos lassitudes qui jonchent nos esprits en foule. à la lisière des moments d'incertitude il neige des pétales d'espoir en nos coeurs : éclats de cristal ensorcellantn nos heures perdues dans la foule de nos habitude. les vers glacés réchauffent nos émotions : elles les remplissent de sanglots et deverseront, sur la feuille des flocons dimages passées en grandes eaux

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    L'air du temps Le temps est parti se promener, il est parti en plein air piquer une tête dans les courantS d’ère. ce fleuve tumultueux, insaisissable, dans lequel on ne se baignerait jamais deux fois. Le coeur est parti prendre l’air du temps Les sensations passées : Il est maintenant et ailleurs. L’aire de jeu du temps est la musique ce doux air de musique se souvient du bon vieux temps il a un air de famille avec le présent. Le temps prend ces grands airs : celui des espoirs futurs : le temps nous fait souvent des promesses en l’air La promesse de temps meilleurs Il me tourne la tête ; il ne change pourtant pas si souvent d’ère : le temps erre entre les ages. Parfois, le vent ne porte plus le temps : j’ai oublié. Le vent est parti prendre l’air : notre coeur, est parti porté par le vent. Le temps à eu vent de nos émotions passées, il nous souffle cet air : c’est la bise du temps ; mais parfois le vent brise le temps : le temps n'est pas arrivé à temps : il est à bout de souffle.

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    L'éte des Adieux 1 Le vent vocifère sa colère aux temps ; dégoulinant des relents d'incertitude, et porté par la chaleur du soleil levant, pourtant, il nourrissait ma solitude : souviens toi, lorsque le soleil nous souriait et que l'aube nous promettait tant de jours radieux ; puis, les ombres se sont fait jour autour d'un adieux, ton coeur est parti sur la tombe d'un regret pour mettre en pièce les lambeaux de lumières que j'apercevais enfin sous tes paupières le vent a souuflé sur nos étés : il effeuillera nos regard amoureux d'une brise légère sur les vitres teintées de la mémoire de ces doux temps mélodieux

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    La chute du silence Les paroles se sont tuent : elles se terrent le silence, vêtu de nombreuses pensées va faire son entrées : l’ombre des mots errent sur ses parois : il est bientôt prêt à parler il est le rois de beaucoup de sous-entendu qui sont bien souvent des mal entendu : le silence a son propre langage qui, bien plus que des paroles, nous engage. il nous mets sur la voie de bien des réflexions : car il s’entendait très bien avec notre ennuie : j’ai entendu sa voix qui s’immisçait, sans bruit, en moi : il me parlait de ce grand tourbillon. ce tourbillon de maux, que tout ce silence, crie à nos oreilles car en nous il sommeille : Les maux se murent bien souvet dans le silence

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    La plume de l'espoir Je me suis levée, un matin une plume est tombée à mes pieds ; Je l'ai ramassée : c'était la plume de l'espoir. Grâce à elle, Je survole mon désespoir : Et elle me fait entrevoir de nouveaux rêves. Elle hèle mes pensées Qui virevoltent sous ma plume. Elle est devenue, depuis, une aile protectrice

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    Le rebout de la société le bout bout il boue d’impatience on va lui prendre un bout il en a conscience mais ce n’est pas un sujet tabou c’est juste une expérience car on va prendre un autre bout pour faire avancer la science est-ce que deux bouts, mis bout à bout ne forment qu’un ? mais le bout du premier bout craint que le bout du second bout ne voudra pas faire, avec lui un bout de chemin il faut dire, il a souvent été trainé dans la boue car il a du mal à joindre les deux bouts il voudrai tant être à bout portant avec un autre bout à bout touchant n’est –ce pas touchant se dit l’autre bout. Après ces tergiversations Le deux bouts finissent par s’endormir debout Normal, c’est une histoire à dormir debout ! Le sens profond de cette histoire : il est difficile de se faire admettre par les autres quand on a des soucis

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    Sans frontière Une larme d'indifférence a d'abord coulé sur le front de la déception oh, sang qui coule dans tant de mes passions quelle est donc la couleur que tu arbores ? un puit de différences s'est fait jour, ai-je cru, au premier regard apercevoir déversant en mon coeur gonflé d'espoir une tristesse qui,mes joues, laboure puis, sans raison, ton enivrant dard a ensorcelé toutes mes envies : naissaient pour toi mes larmes d'amour jamais je n'oublierai un certain jour depuis lequel une fragrance de nostalgie orne désormais nombre de mes regards

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    A quoi pense l'automne A quoi pense l'automne, quand les feuilles flânent au vent, et que le temps pleure dans le coeur des passants? égouttant, sur nos souvenirs ces derniers chagrins, l'été étire ces derniers soupirs. A quoi pense le temps quand le soleil dort, et que les beaux jours s'évaporent dans les premiers frimas de l'hiver? que deviendrai-je sans toi, ô ma mère, A qui penserai-je quand je t'aurai oubliée j'irai déposer sur la tombe du regret l'éternité pour que jamais ne se fane notre amour

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    Le boulevard du temps Le boulevard d’antan Connaissez- vous la rue d’antan : on y croise beaucoup d’autre fois. Ceux, qui, autre fois, me faisais croire à l’espoir. Avec le temps, l’espoir a pris d’autres chemins. Connaissez- vous la rue d’antan, celle où il y avait tant de plus tard ; celle, où maintenant, se noient les avants dans les torrents de regret. Le regret de regretter tant de choses Connaissez-vous la rue d’antan, celle où il y a tant de parfums qui chantent le passé : celle où tant de fleurs se sont fanées au bord de mes yeux Connaissez -vous la rue d’antan, celle où il y a tant de sens interdits, par ceux qui m’ont volé mon innocence : cette réalité si irréelle qui brise tant de vie. Connaissez-vous la rue des autres fois, celle pavée de temps jadis, celle où le temps avait tous son temps pour penser à demain ; ces demains qui sont déjà hier. Connaissez-vous le boulevard u temps ?

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