Carolyn Ashley Kizer, née le 10 décembre 1925 et morte le 9 octobre 2014, est une poétesse américaine du Nord-Ouest Pacifique dont les œuvres reflètent son féminisme. Elle remporte le prix Pulitzer de la poésie en 1985.

Nos masques, toujours en danger de maculage ou de fissuration, ont besoin d'un enregistrement continu dans le miroir ou l'argenterie, nous maintient dans l'emprise, soucieux de nos surfaces.

J'ai écrit de la poésie à temps de temps au lycée, quand je pouvais réussir à sortir des cours et des sports de gym - en utilisant mes allergies comme excuse - et grimper la colline derrière l'école jusqu'à ce que je trouve un bel endroit pour m'installer avec un cahier et regarder à Spokane réparti ci-dessous.

Je n'ai pas beaucoup appris sur l'écriture à Sarah Lawrence, mais j'ai beaucoup appris sur les sources de poèmes - rêves, mythe, histoire - des très grands professeurs, Joseph Campbell, Charles Trinkhaus, Bert Loewenberg et un jeune anthropologue australien nommé nommé nommé nommé nommé nommé nommé nommé nommé nommé nommé nommé nommé nommé nommé australien nommé nommé nommé nommé australien nommé nommé nommé nommé australien nommé nommé nommé australien Harry Hawthorne.

J'avais l'habitude d'obtenir tellement de lettres des étudiants sur la fin de «Pro Femina». J'ai donc fait apporter un timbre qui disait «l'ironie, l'ironie, l'ironie» pour mettre une carte postale et la envoyer par la poste.

Il se trouve que je crois qu'il y a beaucoup de bons poètes à l'heure actuelle, mais un poète comme Alex Kuo, qui possède un sens moral très développé et une honnêteté amère, est rare à tout moment et surtout à cette époque. Nous avons besoin de lui.

J'ai commencé à écrire des poèmes quand j'avais environ huit ans, avec une aide lourde de ma mère. Elle m'a lu les traductions d'Arthur Waley et Whitman et Robinson Jeffers, qui ont eu des influences à vie sur moi. Mon père m'a lu Keats, puis il a lu plus Keats pendant que j'étais allongé sur le canapé aux prises avec l'asthme.

Nous vivons dans Wonder, Blaze dans un cycle de passion et d'appréhension.

Les préoccupations environnementales et le féminisme sont enfermés ensemble. Généralement, les femmes ont des liens plus étroits avec la nature organique de nos vies.

Si je me souviens bien, le premier vrai poème que j'ai écrit concernait les champs de blé entre Spokane et Pullman, au sud.

Je dis aux gens que je n'ai jamais pu entendre Dylan Thomas lire parce que mon mari ne me laisserait pas, car il pensait que ce serait une sorte de mauvaise influence. Les gens disent: «Et tu n'es pas allé? Ils sont tellement surpris parce que le moi qu'ils savent auraient disparu. Et je dis que j'étais une femme «oui, chère».

À certains égards, les peintres ont été plus importants dans ma vie que les écrivains. Les peintres vous apprennent à voir - une faculté qui n'est généralement pas très développée dans les poètes. Que vous vous promeniez dans les bois avec un peintre ou que vous alliez dans un musée avec un, à travers eux, vous remarquez des formes, des couleurs, des harmonies, des relations qui améliorent votre propre vision.

Vous écrivez pour les gens du lycée qui vous ont ignoré. Nous faisons tous.

Il a dit: "Vous avez des cochons dans ce poème; les porcs ne sont pas poétiques." Je me suis levé et je suis sorti de cette classe et je ne suis jamais retourné.

Les poètes sont principalement intéressés par la mort et les virgules.

Les poèmes, pour moi, ne viennent pas d'idées, ils proviennent d'une série d'images que vous rangez à l'arrière de votre cerveau. Petits instantanés photographiques. Ensuite, vous obtenez la vision majeure du poème, qui est comme un aimant géant auquel toutes ces petites impressions disparates volent et adhèrent, et il y a le poème!

Peu importe à quel point vous avez une rencontre avec quiconque, vous changez tous les deux.

J'ai découvert qu'il était plus facile de transporter un stylo qu'un piano.

Un poète, que personne de cruel ou d'imposant n'écoute, Dédaigné par les sénats, murmure à ta poussière.

Elle avait tendance à être impatiente avec ce genre d'intellectuel qui, pour toute sa brillance, n'a jamais pu arriver à la conclusion simple que pour être raisonnablement heureux, vous devez être raisonnablement bon.

Ce qui est si merveilleux de vivre aujourd'hui, c'est qu'il est possible d'étendre, comme une fleur, de répandre des pétales dans toutes les directions.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Carolyn_Kizer

Ses oeuvres