A locked-room mystery is solved by detective Fleming Stone. Sanford Embury refused to give his wife an allowance of spending cash or even a checking account. He pays all the bills and her store charge accounts. "Eunice found it intolerable to be cramped and pinched for small amounts of ready cash, when her husband was a rich man."

"Eunice Embury was neither mean nor spiteful of disposition. She had a furious temper, but she tried hard to control it, and when it did break loose, the spasm was but of short duration and she was sorry for it afterward. Her husband declared he had tamed her, and that since her marriage, about two years ago, his wise, calm influence had curbed her tendency to fly into a rage and had made her far more equable and placid of disposition."

Sanford is found dead in bed, alone, with the door of his second-story bedroom bolted shut from the inside. Was his wife a party to the murder, or perhaps did she commit the murder in a fit of rage? Who else had a motive? How does Sanford make all that money? How could the murderer do the deed if the room was locked from the inside? The clue that leads to the discovery of the murderer and the devious method used is you guessed it some raspberry jam.

Rasperry Jam

As the character of a woman may be accurately deduced from her handkerchief, so a man's mental status is evident from the way he opens his mail.

Curtis Keefe, engaged in this daily performance, slit the envelopes neatly and laid the letters down in three piles. These divisions represented matters known to be of no great interest; matters known to be important; and, third, letters with contents as yet unknown and therefore of problematical value.

The first two piles were, as usual, dispatched quickly, and the real attention of the secretary centred with pleasant anticipation on the third lot.

The Mystery of the Sycamore

Book 50 in the Detective Club Crime Classics series is Carolyn Wells' Murder in the Bookshop, a classic locked room murder mystery which will have a special resonance for lovers and collectors of Golden Age detective fiction. Includes a bonus murder story: 'The Shakespeare Title-Page Mystery'.

 When Philip Balfour is found murdered in a New York bookstore, the number one suspect is his librarian, a man who has coveted Balfour's widow. But when the police discover that a book worth $100, 000 is missing, detective Fleming Stone realises that some people covet rare volumes even more highly than other men's wives, and embarks on one of his most dangerous investigations.

 A successful poet and children's author, Carolyn Wells discovered mystery fiction in her forties and went on to become one of America's most popular Golden Age writers. Penning 82 detective novels between 1909 and her death in 1942, she was mourned in 1968 by the great John Dickson Carr as one of mystery fiction's 'lost ladies now well lost', and remains undeservedly neglected 50 years later. Murder in the Bookshop is a story laced with criminality, locked rooms and bookish intricacies that any bibliophile will find irresistible.

 This Detective Club hardback is introduced by award-winning writer and authority on Golden Age detective fiction, Curtis Evans, and includes 'The Shakespeare Title-Page Mystery', a murderous tale of literary shenanigans that was one of the last pieces of detective fiction which Carolyn Wells ever published.

Murder in the Bookshop

As I look back on my life, eventful enough in spots, but placid, even monotonous in the long stretches between spots, I think the greatest thrill I ever experienced was when I saw the dead body of Sampson Tracy. 

Imagine to yourself a man, dead in his own bed, with no sign of violence or maltreatment. Eyes partly closed, as he might be peacefully thinking, and no expression of fear or horror on his calm face. 

Now add to your mental picture the fact that he had round his brow a few flowers arranged as a wreath. More flowers diagonally across his breast, like a garland. Clasped in his right hand, against his heart, an ivory crucifix, and in his left hand an orange. 

Sticking up from behind his head showed the plume of a red feather duster! 

And draped round all this, like a frame, was a red chiffon scarf, a filmy but voluminous affair, deftly tucked in here and there, and encircling all the strange and bizarre details I have enumerated. 

On a pillow, near the dead face, lay two small crackers and a clean, folded handkerchief. 

As I stared, my imagination flew to the Indians or the ancient Egyptians, who provided their dead with food and toilet implements, which were buried with them. 

But in this case...

The Deep Lake Mystery

Carolyn Wells, née le 18 juin 1869 à Rahway, New Jersey et décédée le 26 mars 1942 à New York, est une auteure américaine de roman policier. Elle a également signé un roman sous le pseudonyme Rowland Wright.

Je pense que pour le reste de ma vie, je m'abstiendrai de chercher des choses. C'est le snatcher du temps le plus vorace que je connaisse. Vous tirez un livre de l'étagère, qui porte un indice ou une référence qui vous envoie à la baisse à un autre livre, et à celle des autres successifs. C'est incroyable, le nombre de livres que vous espérons ouvrir et décevablement fermer, pour en éliminer un autre avec le même résultat.

Vous ne croiriez pas sur toute la veille d'Hallow ce que nous pouvons faire beaucoup de plaisir, avec des pommes à Bob, et des noix sur la plaque de cuisson et un gâteau d'anneau et de décalage.

Un non-sens rend le cœur plus affronté.

Le contentement est le résultat d'une imagination limitée.

Parfois, il n'y a rien d'aussi non naturel que la nature.

La société est la mère de la convention.

C'est une bénédiction de donner, et pourtant, si nous pouvions donner les cadeaux que nous recevons, et garder ceux que nous donnons, comme notre jour de Noël serait heureux !

J'adore la marée de Noël, et pourtant, je le remarque, chaque année je vis; j'aime toujours les cadeaux que je reçois, mais comment j'aime les cadeaux que je donne!

Les conseils sont une de ces choses qu'il est bien plus heureux de donner que de recevoir.

Un cynique est un homme qui regarde le monde avec un monocle dans la tête.

Le patriotisme couvre une multitude de péchés.

... idéaux, normes, aspirations, ce sont des mots caméléons, qui prennent la couleur de ceux qui les prononcent, et souvent de fausses teintes. Un érudit de ma connaissance m'a dit un jour qu'il avait fait mille milles dans le désert pour s'éloigner du mot élévation, et que c'était le premier mot qu'il entendait une fois arrivé à destination.

Une mauvaise conscience est la mère de l'invention.

Un coup de vent vivant vaut mieux qu'un calme plat.

Les musiciens ont rarement un sens de l'humour, au moins, d'eux-mêmes.

C'est l'intérêt que l'on prend dans les livres qui fabrique une bibliothèque. Et si une bibliothèque a l'intérêt, c'est; Sinon, ce n'est pas le cas.

Je déteste faire ce que tout le monde fait. Pourquoi, seulement la semaine dernière, sur la cinquième avenue et dans certaines rues croisées, j'ai remarqué que chaque citoyen féminin de ces États-Unis portait un point artificiel sur son manteau ou sa robe. Je suis rentré à la maison et j'ai arraché chacune des très belles fleurs de réfrigérateur qui étaient cousues sur mes propres corsages.

Je considère Asking un livre qui reste non perturbé pendant un an. Ne devrait-il pas avoir un ticket de congé? Je pense que je peux dire en toute sécurité, aucune réserve, ma bibliothèque reste non ouverte un an à la fois, sauf mes propres œuvres et celles de Tennyson.

Une bévue au bon moment vaut mieux que l'intelligence au mauvais moment.

J'ai toujours détesté la biographie, et plus particulièrement, l'autobiographie. Si la biographie, l'écrivain juge invariablement qu'il est nécessaire de plâtrer le sujet avec des louanges, de la flatterie et de l'adulation et de l'investir avec toutes les grâces chrétiennes. Si l'autobiographie, le même plan est suivi, mais l'écrivain s'excuse.

La jeunesse est un état idiot et animé, une vieillesse avec les peurs et les maux est en proie à cette simple aubaine que je prie du destin - mille ans de vie intermédiaire.

Presque avant que la grosse automobile ne s'arrête, la jeune fille bondit.

Prenez soin de votre bon sens et votre dignité s'occupera de lui-même

Treatrice d'une bibliothèque la tue. Ensuite, sa puissance de motif se déplace vers le visiteur critique si l'admiration, et des excuses sont nécessaires et acceptables et la graisse est dans le feu.

Nous devons vivre et apprendre; Mais au moment où nous avons appris, il est trop tard pour vivre.

La jeunesse est un état idiot et animé, une vieillesse avec les craintes et les maux sont rivés; Cette simple aubaine je demande le destin - mille ans de vie intermédiaire.

Un profit n'est pas sans honneur sauf à Boston.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Carolyn_Wells

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