Before Carrie Brownstein became a music icon, she was a young girl growing up in the Pacific Northwest just as it was becoming the setting for one of the most important movements in rock history. Seeking a sense of home and identity, she would discover both while moving from spectator to creator in experiencing the power and mystery of a live performance. With Sleater-Kinney, Brownstein and her bandmates rose to prominence in the burgeoning underground feminist punk-rock movement that would define music and pop culture in the 1990s. They would be cited as "America's best rock band" by legendary music critic Greil Marcus for their defiant, exuberant brand of punk that resisted labels and limitations, and redefined notions of gender in rock.
Hunger Makes Me a Modern Girl is an intimate and revealing narrative of her escape from a turbulent family life into a world where music was the means toward self-invention, community, and rescue. Along the way, Brownstein chronicles the excitement and contradictions within the era's flourishing and fiercely independent music subculture, including experiences that sowed the seeds for the observational satire of the popular television series Portlandia years later.
With deft, lucid prose Brownstein proves herself as formidable on the page as on the stage. Accessibly raw, honest and heartfelt, this book captures the experience of being a young woman, a born performer and an outsider, and ultimately finding one's true calling through hard work, courage and the intoxicating power of rock and roll.

Hunger Makes Me a Modern Girl

Carrie Rachel Grace Brownstein, née le 27 septembre 1974, est une musicienne, actrice et réalisatrice américaine, surtout connue comme la chanteuse et guitariste de Sleater-Kinney, groupe de rock féminin originaire d'Olympia, dans l'État de Washington. Elle joue aussi l'un des deux principaux rôles dans la série télévisée humoristique Portlandia.

Je pense que la moitié d'entre nous se sent frauduleuse dans nos vies de toute façon. Il y a cette étrange déconnexion de ne pas vraiment savoir ce que nous faisons parfois, ou pourquoi c'est important. C'est notre crise existentielle.

Vous espérez qu'aucune écriture sur la musique ne pourrait remplacer la musique elle-même. Mais je pense que les blogs reflètent la façon dont nous écoutons. Cela vous arrive rapidement et c'est opportun, puis cinq minutes plus tard, nous sommes sur autre chose. Il accueille notre désir de satisfaction instantanée. Et je pense que les blogs ont également une fluidité qui est excitante. Vous avez pour la plupart de vrais fans de musique enthousiastes qui écrivent parfois pour un large public, et je pense que certains blogs ont un peu trop de pouvoir sur ce que quelqu'un aime ou n'aime pas.

Je n'ai jamais été dans un autre type de crise de la quarantaine. Je ne sais pas ce que ça fait quand vous avez traversé cela, mais je pense vraiment que changer quelques choses, comme être sur une étiquette différente et avoir des choses en quelque sorte en quelque sorte dans un sentiment de normalité, aide à se sentir ancrée.

Je suis vraiment attiré par la réalité sans compromis du processus naturel: c'est sans adorcation. Ce n'est pas très joli.

L'écriture «Monitor Mix» était quelques années très édifiantes et inspirantes.

Les gens portent une toison, qui est un tissu dur pour être en colère.

Il y a des connotations horribles dans le mot «retrouvailles».

La musique a toujours été ma constante, mon salut. C'est un cliché d'écrire ça, mais c'est vrai.

À la base, Kitsch ressemble à quelque chose de moins que l'art; Il se plie au milieu et est anti-art flagrant, bien qu'il soit souvent sinueux ou fait référence à l'art. Cette qualité référentielle Ersatz est la raison pour laquelle il est si amusant à collecter.

Je ne me suis vraiment jamais aligné sur le hipsterdom ou la fraîcheur.

J'ai adoré les «enfants» de Patti Smith.

Il y a quelque chose qui semble très intemporel à propos du fandom.

Le monde naturel opère par son propre ensemble de règles. Le monde animal, tous les endroits sauvages et ingouvernables, c'est là que je trouve beaucoup d'inspiration. Il y a autant de beauté là-bas, mais il y a aussi la décadence et la violence.

La curiosité est ce qui me maintient ouvert à un sentiment d'espoir. Il éteint la négativité.

Je suis un si grand fan de «The Bachelor».

L'un de mes premiers souvenirs d'enfance est mon père qui m'emmène le soir au Samena Swim & Recreation Club à Bellevue.

Je préfère faire un travail spontané et idiot comme un tonnerre que d'avoir un film de quelqu'un sur mes épaules.

Peu importe ce que les gens sont aux prises avec ou basés sur quoi que ce soit. Sexualité, ethnique, statut économique, taille. Je ne souhaite que la petitesse à personne. C'est un endroit terrible où vivre.

Je suis un horrible artiste visuel. Je ne peux pas réparer une voiture, coudre, tricoter, cuisiner, etc. Statistiquement, il y a plus que je ne fais pas que.

Je pense que l'une des choses les plus effrayantes de la dépression est qu'elle existe avec le bonheur et la joie, et cela joue avec elle et en suce la couleur.

Des cendres du Bauhaus, l'amour et les roquettes ont transformé sa grandiosité et ses excès en gras et virtuosité. De plus, il n'avait pas peur d'un crochet accrocheur ou deux.

Je n'ai aucune envie de jouer de la musique à moins d'avoir besoin de la musique.

L'approvisionnement est en quelque sorte un concept douteux. Parce qu'en termes de corps humain et de complétude et de structures littérales, vous pensez: "Voici les structures qui aident à m'aider entier." Famille, ou école, ou la ville dans laquelle je vis. Lorsque ces structures sont dysfonctionnelles ou en décomposition, vous finissez par une sorte de pièces de Frankensteining de partout afin de vous assurer, confortable et vivant.

À Olympie, Washington, beaucoup d'entre nous écrivaient des chansons qui étaient l'équivalent de la saignée: c'est le son qu'une blessure fait; Ceci est le cordon d'une cicatrice. Mais Mary Timony était toujours plus du kaléidoscope que le microscope, créant des mondes magiques remplis d'armes ou de sorcellerie.

Il s'avère que je ne suis pas très doué pour travailler avec un patron traditionnel.

Je n'ai jamais compris des gens qui jouent l'artifice de la musique.

Je trouve toujours que la nostalgie est un peu comme la mémoire sans la douleur. Et c'est pourquoi il est si bon de se prélasser en quelque sorte, et je pense que cela peut être trompeusement réconfortant.

J'ai toujours senti que le fil le plus conforme de ma vie depuis que j'étais jeune jusqu'à présent était un esprit très attentif et très analytique.

Avec Portlandia, je ne pense pas que notre intention soit toujours de trouver quelque chose de drôle. Parfois, l'humour vient de prendre quelque chose de très au sérieux. Nous sommes d'accord pour que quelqu'un se sente mal à l'aise ou mal à l'aise.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Carrie_Brownstein

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