Christine est amoureuse de Joshua. Bien sûr, elle est profondément excitée par les vidéos qu'il poste pour elle sur le Net où il s'entaille délicatement la poitrine face caméra. Mais ce qu'elle ressent pour lui est un amour intense et pur.
Son père vient de mourir et sa mère risque de sombrer dans l'alcool, une fois de plus. Pour couronner le tout, son manager, qui la croit timide et docile, est à deux doigts de l'abus de pouvoir. Alors, oui, le désir qu'elle a pour Joshua est la plus belle chose qui existe dans cette partie du monde qu'on appelle les États- Unis. Elle devra quitter sa vie conformiste, pour rejoindre celui qu'elle aime, dans cette chambre où sa mère, complètement dingue, le retient prisonnier. Rien ne pourra l'en empêcher. C'est l'histoire d'une femme qui a décidé d'accepter ce qu'elle est vraiment : quelqu'un de fort, malgré ses pulsions sanguinaires et ses fantasmes morbides. On connaît le talent de Charles Forsman pour créer des personnages fouillés et des situations explosives depuis la parution de The End of The Fucking World, devenu ensuite une série culte sur Netflix. Avec Slasher, il pousse plus loin encore ses interrogations sur la relation entre normalité et perversité.

Slasher

Comme beaucoup de jeunes de son âge, Sydney se pose beaucoup de questions car elle ne se reconnaît pas du tout dans le monde qui l'entoure. À quinze ans, elle est plutôt grande, fine et réservée, la puberté ne lui a pas fait de cadeaux. C'est dans une banlieue pavillonnaire qu'elle habite seule avec sa mère et son petit frère depuis la mort de son père. Elle a le béguin pour Dina, sa voisine et meilleure amie qui lui préfère les abrutis finis du lycée. Pauvre Sydney commence comme une sitcom à l'américaine mais il n'en sera rien. Sydney n'est pas tout à fait une adolescente comme les autres. À la demande de la conseillère pédagogique de son lycée, elle se raconte dans son journal intime ; ses amours, ses premières expériences sexuelles, son entourage, ses frustrations, mais aussi son énigmatique pouvoir métapsychique qui lui en fait voir de toutes les couleurs.

Pauvre Sydney !

Celebrated Summer est l'histoire à la fois drôle et profondément émouvante de deux ados un peu paumés, fraîchement sortis de l'école, qui se lancent dans un road trip foireux, la drogue exacerbant leur lassitude, leurs inquiétudes et leurs tourments. Entre les réflexions cyniques de Mike et le mal-être palpable de Wolf, Chuck Forsman dépeint avec une grande justesse cette période truffée de pièges et de questionnements qu'est la fin de l'adolescence, à l'aube de l'entrée dans le monde adulte.

Celebrated Summer

'Automa' est probablement ma première histoire de science-fiction. Ce n'est pas de la science-fiction difficile, mais plutôt dans la veine "Terminator 2".

Je suis tombé malade du lycée très rapidement et j'ai abandonné en 10e ou 11e année. J'étais tellement pressé de grandir que je pense que j'en ai manqué beaucoup.

Je me retrouve à rire de très mauvaises situations.

Quant aux imprimés des caricaturistes 'huileux, ce ne sont que des artistes que j'admire. J'ai la chance d'être ami avec la plupart d'entre eux, il était donc facile de les contacter. Certains sont venus à moi, mais surtout ce ne sont que des gens que j'admire.

J'ai abandonné le lycée et j'ai eu cette petite amie, et nous avons rompu, et c'était cette horrible crise.

Chaque fois que j'ai l'impression de commencer à expliquer trop l'intrigue ou les personnages que mon estomac se retourne. J'aime les histoires qui permettent aux personnages de parler d'eux-mêmes et ne vous donnent pas toutes les informations.

La présentation des jeunes que vous obtenez souvent d'Hollywood est trop brillante.

J'ai réalisé que j'écrirai probablement sur les adolescents et cette fois dans la vie des gens - j'y reviendrai probablement beaucoup.

Après le lycée, j'ai déménagé et travaillé dans des pizzas et des cinémas et j'ai déménagé à L.A. pendant un an et j'ai vécu avec mon frère.

J'étais assez déprimé quand j'étais adolescent. Ce qui a stimulé cela, c'est que mon père est mort d'un cancer à l'âge de 11 ans.

J'ai du mal à dire que tout ce que je fais dans mes bandes dessinées est intentionnel. Mais c'est une chose stupide à dire.

J'aime la comixologie et je pense qu'ils ont un public très captif qui est bon et mauvais. J'espère que faire en sorte que mes livres là-bas exposent des gens qui viennent de lire Marvel / DC / Image pour essayer quelque chose de différent.

J'aime laisser les choses ouvertes, et même lorsque j'écris l'histoire à l'avance, cela change toujours. Je ne pense pas que je finirais quoi que ce soit si je m'en tiendais à un plan très rigide.

J'écoute des podcasts technologiques et lis les nouvelles technologiques tous les jours. Je ne suis donc pas inconnu des pratiques d'Amazon. Je ne suis pas surpris qu'ils aient acheté la comixologie.

Je préfère être un dessinateur. Je ne veux pas être éditeur.

J'avais des zits sur mes cuisses quand j'étais enfant. Je me souviens que je me suis senti si dégoûtant et dégoûté par eux.

Mon adolescence a été jolie - j'ai des regrets pour ces années. De toute évidence, tout le monde sait qu'à l'adolescence, c'est vraiment déroutant et vos sentiments sont tellement bruts.

Je pense que lorsque j'ai vendu des bandes dessinées numériques pour la première fois, c'était en quelque sorte sur un coup de tête.

Trouvez la confiance de toutes les manières possibles pour continuer à passer à la page suivante. La seule façon de terminer les projets et de vous améliorer est de continuer à avancer.

J'ai tellement de bandes dessinées dans la maison et je n'ai jamais été géniale pour les garder organisées.

Je suis le genre de personne qui peut me paralyser très facilement par des décisions excessives.

Mon frère et moi étions vraiment dans des cartes de baseball, et cela semblait être un changement facile pour passer à la bande dessinée.

J'étais au début de la vingtaine et j'essayais de comprendre ce que je voulais faire et des bandes dessinées sont revenus dans ma vie et je pensais que je voulais vraiment l'essayer.

Je n'avais pas une vie horrible à l'adolescence, mais j'étais certainement déprimé et j'ai eu de la douleur dans ma vie à ce moment-là. J'ai passé beaucoup de temps à réfléchir à cette époque de ma vie. Je pense que je suis juste fasciné par cela.

Ses oeuvres

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