Il ne semblait pas probable que j'étais destiné à entreprendre des recherches sur le typhus.

Tout comme le seul réservoir pour le virus du typhus est fourni par l'homme, le seul vecteur d'infection est le pou. La morsure du pou n'est pas virulente immédiatement après le repas d'infecteur. Il ne devient ainsi que vers le 7e jour suivant l'infection.

J'ai finalement démontré que l'infection au typhus n'est pas héréditaire dans le pou.

A l'époque où je menais mes recherches, il n'existait aucune méthode connue pour prendre la température du cobaye. J'ai démontré une technique qui est maintenant largement utilisée.

J'ai démontré les caractéristiques de la fièvre expérimentale. Il apparaît après une période d'incubation qui n'est jamais moins de cinq jours. Il suit le même schéma que la fièvre naturelle chez l'homme, mais est d'une durée plus courte et moins prononcée.

La découverte que j'ai rapidement fait que le cobaye était également sensible à l'infection m'a permis de préserver le virus sur cet animal.

Même s'il n'avait pas été possible de reproduire la maladie chez les animaux et, par conséquent, pour vérifier l'hypothèse, cette simple observation aurait été suffisante pour démontrer la façon dont la maladie a été propagée.

Le fait que j'ai eu la chance d'échapper à la contagion, malgré des contacts fréquents, parfois quotidiens avec la maladie, était parce que j'ai bientôt deviné comment il se propageait.

La plupart des médecins de l'administration tunisienne, en particulier ceux des districts de pays, ont contracté le typhus et environ un tiers d'entre eux en sont morts.

Du point de vue pratique, la sensibilité à l'infection du cochon d'Inde s'est avérée être l'étape la plus utile. Aujourd'hui, tous les laboratoires utilisent cet animal pour préserver le virus.

Mes premières tentatives de transmission du typhus aux animaux de laboratoire, y compris les plus petites espèces de singes, avaient échoué, tout comme celles de mes prédécesseurs, pour des raisons que je peux facilement fournir aujourd'hui.

J'ai moins réussi dans mes tentatives d'effet de vaccination préventive contre le typhus en utilisant le virus et en essayant de produire de grandes quantités de sérum à l'aide de gros animaux.

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