Le baiser suprême

Le dernier souvenir

Les raisons du Saint-Père

Juin

La coupe

La mort du soleil

La vipère

Le colibri

Le portrait

Le sacrifice

Le soir d’une bataille

Le vase

Les oiseaux de proie

Paysage polaire

À Victor Hugo

Le rêve du jaguar

Midi

Aux Morts

La tristesse du diable

À un poète mort

Qaïn

Vénus de milo

Soit comme un loup blessé qui se tait pour mourir, et qui mord le couteau, de sa gueule qui saigne.

La nature se rit des souffrances humaines ; ne contemplant jamais que sa propre grandeur, elle dispense à tous ses forces souveraines et garde pour sa part le calme et la splendeur.

Les cieux sont comme un livre où tout homme peut lire.

On a mécontenté tout le monde ? Il y a des chances pour que l'on ait dit la vérité.

Nous sommes une génération savante ; la vie instinctive, spontanée, aveuglément féconde de la jeunesse, s'est retirée de nous ; tel est le fait irréparable.

Ses oeuvres