Charles Michel
@charlesMichel
Ceux qui pensent qu'en Grande-Bretagne, ils peuvent appuyer sur le bouton du Brexit et ne pas avoir de facture à payer sont sérieusement confondues.
Charles Michel
Charles Michel, né le 21 décembre 1975 à Namur, est un homme d'État belge, membre du Mouvement réformateur (MR). Il est Premier ministre du 11 octobre 2014 au 27 octobre 2019, puis président du Conseil européen depuis le 1er décembre 2019. Il est issu d'une famille d'entrepreneurs flamands, originaire de Hoegaarden. Son père Louis et son frère Mathieu sont tous les deux des hommes politiques libéraux francophones. Il grandit à Jodoigne, où il rejoint en 1992 le mouvement de jeunesse du Parti réformateur libéral (PRL). Il est élu deux ans plus tard au conseil provincial du Brabant wallon, dont il devient vice-président en 1995. Il fait son entrée à la Chambre des représentants en 1999, étant à 23 ans le benjamin de l'assemblée. L'année suivante, il est désigné ministre des Affaires intérieures du gouvernement wallon. Il exerce cette responsabilité jusqu'en 2004, quand le Mouvement réformateur est rejeté dans l'opposition par les socialistes. Au cours des élections communales de 2006, il se fait élire bourgmestre de Wavre, mais se trouve empêché dès 2007, lorsqu'il accède au gouvernement fédéral comme ministre de la Coopération au développement. Après l'échec du MR aux élections de 2009 et de 2010, il obtient le départ de Didier Reynders de la direction du parti et est élu à sa succession. En juin 2014, un mois après les élections fédérales de 2014, le roi Philippe le charge d'une mission d'information, puis lui confie un mandat de formation — conjointement avec Kris Peeters — d'une « coalition suédoise », surnommée « kamikaze » par ses détracteurs car le MR y sera le seul parti francophone. Étant parvenu à établir un accord de gouvernement, il est assermenté Premier ministre en octobre et s'appuie donc sur une majorité où siègent notamment les nationalistes flamands de la N-VA. Plus jeune chef du gouvernement de l'histoire belge, il mène une politique libérale associant privatisation des services publics, réduction des dépenses publiques, réforme des retraites et déréglementation du marché du travail. Il remet sa démission en décembre 2018, environ dix jours après que la N-VA a quitté la coalition pour dénoncer la signature par le gouvernement du Pacte mondial sur les migrations. Le souverain le charge d'expédier les affaires courantes jusqu'aux élections de 2019. Choisi pour succéder à Donald Tusk à la présidence du Conseil européen, il est remplacé comme Premier ministre belge par Sophie Wilmès. Pour les élections européennes de 2024, il sera tête de liste du MR.
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Ceux qui pensent qu'en Grande-Bretagne, ils peuvent appuyer sur le bouton du Brexit et ne pas avoir de facture à payer sont sérieusement confondues.
@charlesMichel
Certains politiciens étaient probablement trop laxistes sur la montée d'une idéologie radicale extrémiste, fondamentaliste.
@charlesMichel
Vous pouvez être chrétien. Vous pouvez être juif. Vous pouvez être musulman. Vous pouvez être athée. C'est votre propre choix. Mais la loi, la Constitution, la loi du peuple est au-dessus de la loi de Dieu. Ainsi, quand quelqu'un arrive en Europe, les gens doivent accepter ces règles.
@charlesMichel
À la table européenne, nous sommes systématiquement les plus déterminés à faire progresser une stratégie de coopération accrue.
@charlesMichel
Je suis une personne rationnelle. Je suis modéré. Je suis humble.
@charlesMichel
La Belgique est un pays sûr.
@charlesMichel
En Grande-Bretagne, ils réaliseront que le Brexit, eh bien, a des conséquences - des partenariats économiques, commerciaux. Peut-être qu'au cours du référendum, l'impression a été donnée qu'une fois que le bouton du Brexit a été poussé, tout prendrait facilement soin de lui-même. Bien, ce n'est pas vrai.
@charlesMichel
En Grande-Bretagne, ils réaliseront que le Brexit, eh bien, a des conséquences - des partenariats économiques, commerciaux. Peut-être qu'au cours du référendum, l'impression a été donnée qu'une fois que le bouton du Brexit a été poussé, tout prendrait facilement soin de lui-même. Bien, ce n'est pas vrai.
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En Grande-Bretagne, ils réaliseront que le Brexit, eh bien, a des conséquences - des partenariats économiques, commerciaux. Peut-être qu'au cours du référendum, l'impression a été donnée qu'une fois que le bouton du Brexit a été poussé, tout prendrait facilement soin de lui-même. Bien, ce n'est pas vrai.
@charlesMichel
Je pense que nous ne devons pas avoir peur de la vérité.