Dans La Reine des rêves, C. B. Divakaruni retrouve le fil enchanté de La Maîtresse des épices, une prose généreuse où le réalisme se pare de couleurs et de senteurs magiques puisées aux sources profondes de l'Inde.Rakhi est une jeune artiste qui vit à Berkeley, en Californie, et partage ses jours entre son activité de peintre, sa fille Jona et le salon de thé indien qu'elle tient avec son amie Belle. Sa mère est interprète de rêves et consacre ce don à soulager la détresse et servir les autres. Un don qui fascine Rakhi mais l'isole de sa mère, de ce coeur nourri de mystères issus d'une Inde lointaine qu'elle n'a pas connue.Hasards ou signes invisibles à déchiffrer, un réseau de coïncidences troublantes se tisse autour de la vie de Rakhi tandis que la découverte du journal intime de sa mère ouvre la porte de secrets longtemps enfouis.Saura-t-elle lire, elle aussi, la vérité cachée dans les rêves et s'ouvrir à l'amour d'elle-même et des autres ?

La Reine des rêves

Journée ordinaire dans les bureaux du consulat indien en Californie. Jusqu'à ce qu'un tremblement de terre fasse s'écrouler une partie du bâtiment. Neuf survivants sont pris au piège.
Et ce qui va leur permettre de tenir psychologiquement, c'est de raconter à tour de rôle l'histoire la plus incroyable de leur vie. Chacun découvre alors un peu de son univers secret, et au moment où ils luttent pour leur survie, ils se trouvent des raisons renouvelées de vivre, de partager avec les autres le beau et douloureux miracle de la vie. De l'auteur maison défendue depuis La Maîtressse des épices, écrivain populaire, elle a trouvé son public.

L'histoire la plus incroyable de votre vie

Ce roman foisonnant d'intrigues, de ruses, de magie et de passion est le roman d'une femme au coeur de l'Histoire, celle de l'Inde des anciennes légendes et des dieux tout-puissants qui se mêlent aux mortels. Il conte l'histoire de Draupadi, née dans le feu céleste et vouée à un destin hors du commun dès sa venue au monde. Alors qu'elle est encore petite fille dans le palais de son père, le sage Vyasa lui a prédit son avenir : elle épousera les cinq plus grands héros de son temps, elle sera la maîtresse du plus magique des palais, mais elle déclenchera aussi une terrible guerre. Elle connaîtra la gloire, la solitude, l'infortune et l'amour. Draupadi, fière et rebelle, suivra-t-elle le chemin que les dieux ont tracé pour elle ?

Le palais des illusions

La conque a disparu. Sans elle, la vallée d'argent se fie en un désert glacé et la confrérie des magiciens risque de disparaître à tout jamais. Anand et Nisha partent à sa recherche et se retrouvent projetés dans un monde futuriste. L'air y est si pollué que des habitants doivent porter des masques. Les technocrates ont pris le pouvoir et réduit une partie de la population en esclavage. Dans cette ville hostile et dangereuse, Anand et Nisha vont devoir faire appel à toutes leurs ressources magiques et à la force de leur amitié, pour sauver la conque et rétablir l'harmonie entre les hommes.

Le pays des ombres (La confrérie de la conque, #3)

Dans La Reine des rêves, C. B. Divakaruni retrouve le fil enchanté de La Maîtresse des épices, une prose généreuse où le réalisme se pare de couleurs et de senteurs magiques puisées aux sources profondes de l'Inde.
Rakhi est une jeune artiste qui vit à Berkeley, en Californie, et partage ses jours entre son activité de peintre, sa fille Jona et le salon de thé indien qu'elle tient avec son amie Belle. Sa mère est interprète de rêves et consacre ce don à soulager la détresse et servir les autres. Un don qui fascine Rakhi mais l'isole de sa mère, de ce coeur nourri de mystères issus d'une Inde lointaine qu'elle n'a pas connue. Hasards ou signes invisibles à déchiffrer, un réseau de coïncidences troublantes se tisse autour de la vie de Rakhi tandis que la découverte du journal intime de sa mère ouvre la porte de secrets longtemps enfouis. Saura-t-elle lire, elle aussi, la vérité cachée dans les rêves et s'ouvrir à l'amour d'elle-même et des autres ?

La reine des rêves

Dans la Vallée d'Argent, Anand et Nisha perfectionnent leurs dons magiques au sein de la Confrérie des guérisseurs. Mais bientôt une visionavertit Anand : le mal est en marche ! Pour venir en aide à des villageois qu'un très puissant djinn vide de leurs âmes, ils vont se trouver projetés loin dans le passé de l'Inde, à l'époque du nawab Haider Ali. Un monde inconnu, somptueux et inquiétant, où Ananddevra user de tout soi courage pour lutter contre les puissances maléfiques. La conque l'y aidera, et un nouvel allié magique : le Miroir du feu et des rêves. Ainsi que les paroles de son vieux maître Abhaydatta : " Aiguise ta conscience jusqu'à ce qu'elle soit plus acérée que le plus affûté des couteaux. " Le Miroir du feu et des rêves est le deuxième volume de La Confrérie de la Conque.

Le Miroir du feu et des rêves (La Confrérie de la Conque, #2)

La vie d'Anand change après sa rencontre avec un vieil inconnu. Il décide de quitter sa cabane des bidonvilles de Calcutta. Avec Nisha, une petite balayeuse têtue, le petit vendeur de thé va partir à l'aventure et faire l'apprentissage de la vie. Cette quête le mènera dans une vallée cachée de l'Himalaya auprès de la confrérie des Guérisseurs.

Le porteur de conque (La confrérie de la Conque, #1)

To those customers who visit her Indian spice shop in Oakland, California, Tilo dispenses wisdom and the appropriate spice: coriander for sight, tumeric for wrinkles, and fenugreek to make a rejected wife desirable. However Tilo's powers are conditional - they vanish the moment she falls in love.

The Mistress of Spices

Chitra Banerjee Divakaruni, née le 29 juillet 1956  à Calcutta, est une écrivaine et une poétesse indienne .

... ne créez pas de serpents avec des cordes. Vous avez assez de soucis.

Au-dessus de nous, notre palais attend, le seul dont j'ai jamais eu besoin. Ses murs sont l'espace, son sol est le ciel, son centre partout. Nous nous élevons; les formes se regroupent autour de nous en signe de bienvenue, se dissolvent et se reforment comme des lucioles un soir d'été.

J'avais environ 12 ans lorsque j'ai rencontré «The Moonstone» pour la première fois - ou une version illustrée de classiques - creusant à travers un vieux coffre dans la maison de mon grand-père un après-midi bengali pluvieux.

Le cœur lui-même est hors de contrôle. C'est son pouvoir et sa faiblesse.

"Le Mahabharata", qui a inspiré mon roman "Le Palais des illusions", contient également de nombreuses histoires intégrées dans le conte principal.

En tant qu'écrivain, je dois montrer des complexités. À travers mes écrits, j'espère faire ressortir des gens dans différentes situations et pas seulement des êtres unidimensionnels.

Parce qu'en fin de compte, seul le témoin - et non les acteurs - connaît la vérité (Vyasa à Draupadi)

Je pense que les écrivains de l'est et de l'ouest ont longtemps été fascinés par les anciens contes et la possibilité de les réinterpréter.

Je trouve qu'il est vraiment important pour moi d'imaginer des personnages et des situations. Cela me permet beaucoup de liberté.

Je n'ai pas à l'esprit le lecteur particulier, mais un désir passionné de raconter une histoire honnête et émouvante.

Les mots sont délicats. Parfois, vous avez besoin d'eux pour faire ressortir le mal à l'intérieur. Si vous ne le faites pas, cela devient gangreneux et vous tue. . . . Mais parfois, les mots peuvent briser une sensation en morceaux.

J'ai essayé de conserver cette compassion, sentant sa préciosité, mais même si je suis arrivé pour la saisir, elle s'est dissipée en mèches. Aucune révélation ne peut perdurer à moins qu'elle ne soit renforcée par un esprit pur calme - et j'ai peur de ne pas posséder cela.

Je pense que nous avons tous appris que lorsque nous avons peur, il est facile de vouloir blâmer, et les gens que nous voulons blâmer sont les gens qui ne nous ressemblent pas.

Un problème ne devient un problème que si vous croyez qu'il en est ainsi. Et souvent, d'autres vous voient comme vous vous voyez.

Je veux que les gens soient sensibles à ce que les femmes ressentent et pensent.

J'ai pris une petite pause après «le palais des illusions» pour me vider la tête.

Il y avait une liberté inattendue dans la découvert que l'on n'était pas aussi important que l'on l'avait toujours supposé!

L'immigration était une énorme force pour changer mes perspectives. J'ai déménagé en Amérique il y a 30 ans. J'ai dû réévaluer mes croyances, en particulier sur les rôles des femmes.

Dans une certaine mesure, je m'appuie sur ce que je vois autour de moi; Dans d'autres endroits, j'imagine ce que j'écris.

Alors que je me souviens de mon grand-père et de ces matins de Noël qu'il a donnés pour le plaisir d'une petite fille, je sais que souvent une grande vie commence par faire de petites choses.

L'une des choses que j'apprends est que chaque génération aura ses propres négociations avec l'identité. Et une génération ne peut pas nécessairement aider l'autre génération à elle.

Je suis dynamique et expansif et incontrôlable - mais j'étais toujours tellement, seulement je ne l'ai jamais su!

Il y a quelque chose dans les êtres humains qui aime les histoires.

J'ai vu quelque chose que je n'avais pas réalisé auparavant: les mots gaspaient de l'énergie. J'utiliserais ma force à la place pour nourrir ma conviction que ma vie serait de manière unique.

Au fur et à mesure que j'écrivais et que d'autres voix amérindiennes grandissaient autour de moi, je m'efforce de trouver des expériences qui sont uniques mais qui constituent une partie significative et résonnante de l'histoire américaine.

Je sens que je peux exprimer les nuances du mode de vie bengali et des façons de penser mieux que les autres cultures.

L'Amérique est un pays formé par diverses communautés de différents pays. Dans l'ensemble, le pays est très hospitalier et offre des opportunités de croissance. Cela dit, je dirais aussi que je ne suis pas un immigrant « blanc » ; l'expérience d'un Sud-Asiatique est différente de celle, disons, d'un immigrant européen.

Chaque épice a une journée spéciale. Pour le curcuma, c'est dimanche, lorsque la lumière coule de graisse et de couleurs au beurre dans les bacs pour être absorbée, lorsque vous priez les neuf planètes pour l'amour et la chance.

L'Inde a été une culture très acceptée. Nous sommes fiers de cela. C'est une vérité mondiale. En fait, il constitue un thème majeur dans mes livres.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chitra_Banerjee_Divakaruni

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