Lorsque le corps sans vie de Danny, onze ans, est retrouvé sur la plage, la petite ville sans histoires de Broadchurch, dans le Dorset, se retrouve sous le feu des projecteurs. 



L'officier de police Ellie Miller, la meilleure amie de la mère de la victime, doit collaborer sur cette enquête avec Alec Hardy, un inspecteur à la réputation douteuse qui vient de lui souffler sa promotion. 



Et tandis que les médias s'emparent de la sordide affaire, les secrets des habitants sont révélés, et les membres de cette communauté aux liens soudés commencent à se méfier les uns des autres. À qui faire confiance ?

Broadchurch

Par un chaud matin de juillet, dans la petite station balnéaire de Broadchurch, dans le Dorset, Beth Latimer constate la disparition de son fils de onze ans, Danny. Alors qu'elle part à sa recherche, paniquée, sa meilleure amie, l'officier de police Ellie Miller, rentre de vacances et apprend que la promotion qu'on lui avait promise a été offerte à un inspecteur à la réputation douteuse, Alec Hardy. Lorsque le corps sans vie de Danny est retrouvé sur la plage, Ellie doit mettre sa rancœur de côté et travailler avec Alec Hardy à ce qui devient une enquête pour meurtre, dont les médias s'emparent, mettant la petite ville sans histoires de Broadchurch sous le feu des projecteurs. Les secrets des habitants sont révélés les uns après les autres, et les membres de cette communauté aux liens soudés commencent à se méfier les uns des autres. Comment savoir qui croire ?

Broadchurch - Occasion

Inspired by the BAFTA award-winning ITV series 
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'Loved the ITV series? Then you'll adore this clever read from psychological-thriller queen' Sun (Fabulous Magazine)
'A crackingly well constructed crime novel' Daily Mirror
'Whether you've seen the series or not, this is definitely worth your time' Bella 
Featuring never-before-seen material and plunging you into the mindset of the characters, this is a must-read if you love Broadchurch, or if you love devilishly good crime 
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It's a hot July morning in the Dorset town of Broadchurch when Beth Latimer realises that her eleven-year-old son, Danny, is missing. As Beth searches desperately for her boy, her best friend, local police officer DS Ellie Miller, arrives at work to find that the promotion she was promised has been given to disreputable Scottish outsider DI Alec Hardy.
When Danny's body is found on the beach Ellie must put her feelings aside as she works with DI Hardy to solve the mystery of Danny's death. As the case becomes a murder investigation the news hits the national press, jolting sleepy Broadchurch into the national spotlight.
As the town's secrets begin to unravel, members of this tight-knit community begin to consider those in their midst. Right now it's impossible to know who to trust...
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'Erin Kelly is one of the finest stylists in British crime fiction' Sunday Mirror

Broadchurch (Series 1)

Souvent, en tant qu'écrivain, vous sortez votre premier brouillon, puis vous regardez et pensez: «Maintenant, qu'est-ce que j'ai eu ici». Vous jetez vraiment de la boue sur le mur et ensuite, "Oh, il y a un motif là-bas."

Il y a eu tellement de versions différentes de la légende et de «Camelot», donc ce que je voulais faire, c'était tout reprendre, et revenir au début et raconter l'histoire d'Arthur, depuis le début de la relation entre Merlin et Arthur.

L'un de vos emplois en tant qu'écrivain est de couper le bruit. Tout ce que vous avez, c'est votre instinct et votre processus.

Je pense que vous pouvez raconter différents types d'histoires au sein d'un deux parties de «Doctor Who».

Je pense que parfois les acteurs qui ont principalement fait de la comédie deviennent un peu dactylographiés par certaines personnes.

Doctor Who est le meilleur spectacle à écrire, à cause des acteurs et de l'ampleur de l'imagination qu'il exige.

C'est un fait de diffusion que vous avez à obtenir le grand public de la chaîne sur laquelle vous êtes.

Il y a quelque chose de très intéressant à propos des dirigeants mondiaux promettant de l'espoir, puis de la poursuite de cela.

À chaque moment de «Broadchurch», on vous dit continuellement et vous êtes reculé dans le coût émotionnel.

Ce que je ne voulais pas venir, c'est «camelot» dans toute sa pompe et sa gloire. Au lieu de cela, nous regardons comment vous construisez une société, comment vous construisez un monde en lequel les gens croient et à quel point c'est difficile.

Donc, en fait, pour moi, «Doctor Who», vous voulez que ce soit le spectacle avec toutes les émotions et toutes les sensations, vraiment, et que vous avez eu un bon entraînement émotionnel, du rire aux larmes à la peur et à l'excitation.

C'est un budget de «Doctor Who». Un budget de la BBC, bien que très bon. Mais vous savez que vous ne pouvez pas faire de dinosaures sans cesse pendant 45 minutes, donc il doit y avoir une grande «autre» histoire en cours.

Chaque écrivain a compressé du temps et de la procédure et a utilisé un dialogue clarifiant. Ce n'est pas un scandale: c'est une technique dramatique légitime.

Mais je pense que chaque fois que vous apportez un nouveau médecin, vous devez le configurer d'une manière vraiment formidable car c'est un point d'entrée pour un public entier. Parce que le public de «Doctor Who» est tout le monde de huit à 108, la vie crée continuellement de nouveaux téléspectateurs.

Ma confession embarrassante est que mon père est un «camelot: la comédie musicale» obsessionnelle. Donc, en tant qu'enfant, alors que nous allions rendre visite à des parents le week-end, chaque fois que nous rentrions sur ces trajets de trois heures, il jouait la bande-son musicale en répétition, sur la cassette de notre voiture, dans la mesure où nous l'a supplié de ne plus jamais jouer.

Mon objectif est toujours de vous laisser légèrement en vouloir plus.

Certaines scènes prennent des jours et des semaines, et certaines scènes prennent une heure.

Je pense que lorsque vous écrivez quoi que ce soit, vous ne devriez jamais penser aux fans de genre hardcore.

Le drame n'est pas une représentation littérale des événements. C'est une représentation, c'est impressionniste.

Je viens du théâtre et vous avez différentes productions d'un texte dans le théâtre. Ce n'est pas inhabituel.

Dans un monde idéal, «Doctor Who» fait de toute la nation l'âge de huit ans, avec cette excitation, cette engagement et cette grandeurquette.

Grandir en tant que Britannique, Arthur et Merlin et Camelot, et juste l'idée, est ancré dans la culture et dans votre âme, en grandissant. Le roi Arthur est aux côtés de Robin Hood, en tant que grands contes folkloriques britanniques, mythes et icônes.

Souvent, ce qui se passe avec l'écriture, c'est que vous savez où vous voulez commencer et vous savez où vous voulez finir, mais le voyage n'est jamais tout à fait ce que vous prédisez parce que les personnages prennent une vie par eux-mêmes.

Broadchurch 'était tout au sujet des nuances de gris, à la fois dans les personnages et la narration, et je voulais voir cela jusqu'au bout.

Normalement, les moments d'ampoule ne se produisent qu'après 16 heures de jour, beaucoup de tasses de thé et un peu de pleurs.

Torchwood ne sera jamais aussi lourd un spectacle d'effets que «Doctor Who».

S'il y avait un personnage qui n'a jamais été défini par le genre, c'est le médecin. Le médecin est le liquide de genre dans ce sens.

Je suis incroyablement reconnaissant et humilié par la réponse que «Broadchurch» a obtenu.

Né et élevé est une pure évasion, et où nous filmons est l'un des plus beaux endroits du pays.

La tradition, en particulier dans les choses de détective britannique à l'ancienne, est que tout le monde est dans le salon ou la bibliothèque, et ils sont tous rassemblés, et le détective se promène et leur dit où ils étaient cette nuit-là, et vous voyez les flashbacks.

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