La vie quotidienne de la famille Watson, dans l'état du Michigan au début des années 60, est celle d'une famille noire des plus normales, avec son lot de bons souvenirs, de chamailleries, de projets raisonnables et de serrages de vis. Joetta est une bonne petite, Kenny travaille si bien à l'école que tout le monde l'appelle Einstein. Mais Byron, le fils aîné, est en train de mal tourner. Alors, pour lui apprendre à vivre tant qu'il en est encore temps, les parents décident de l'envoyer en pension chez sa grand-mère du Sud, là où la vie est difficile pour les Noirs, là où leurs toilettes, leurs autobus, leurs écoles et leurs églises sont séparées de celles des Blancs. Tout le monde profite des grandes vacances pour l'accompagner, et pour que ce long voyage soit tout de même une partie de plaisir, Papa Watson équipe sa voiture, la Grosse Bombe, d'une électrophone dernier-cri où chacun peut jouer ses disques préférés. Et la famille prend la route, avec sandwiches au beurre de cacahuète et bagages. C'est l'été 1963. Dans le Sud, le mouvement pour les droits civiques bat son plein, les foules noires protestent pacifiquement contre la ségrégation, les racistes ripostent en posant des bombes jusque dans les églises. C'est l'été 1963. Il fait chaud. Dans quinze jours, le 15 septembre, Martin Luther King prononcera son immortel discours : J'ai fait un rêve...

Voyage à Birmingham

Qui a eu l'idée d'aller vivre dans le Michigan, où il fait toujours tellement froid ? Daniel Watson, le père. Qui voudrait retrouver sa famille en Alabama, à l'autre bout des Etats-Unis ? Wilona Watson, la mère. Qui travaille si bien à l'école qu'on le surnomme Einstein et qu'on lui fait toutes les misères ? Kenny Watson. Qui est une gentille petite soeur ? Joetta Watson. Qui invente une bêtise par jour, joue avec le feu et, s'il continue sur cette pente, risque de devenir un délinquant pour de bon ? Byron Watson. Il est grand temps de remédier à tout cela. Aux prochaines vacances, c'est décidé, on mettra le cap vers Birmingham pour retrouver Mémé Sands. Mais ce sera l'été 1963, en pleine période de lutte pour les droits civiques. Et dans le sud des Etats-Unis, pour une famille noire comme les Watson, ce sera un voyage au coeur de l'Histoire.

Little Charlie n'a pas eu grand-chose dans la vie. Il n'a jamais appris à lire, son père ouvrier agricole est très loin d'être riche, mais jusqu'alors il avait l'essentiel : il était libre. En Caroline du Sud, en 1858, tout le monde n'a pas cette chance. Les plantations emploient de nombreux esclaves, certains s'enfuient vers le nord ou au Canada, et des chasseurs de tête comme le cruel Captain Buck se lancent à leur poursuite, avec la complicité des autorités. A la mort de son père, Little Charlie n'a que douze ans. Il n'a plus le choix : le Captain Buck vient réclamer le remboursement d'une dette, et il l'oblige à travailler pour lui. Et maintenant c'est à son tour de passer l'épreuve de la liberté.

La longue route de Little Charlie

Kids. They think they got it so rough these days. But nobody has it worse than Papa Red did when he was a kid. And you better listen up when he talks. A short story from the acclaimed collection Guys Read: Funny Business, edited by Jon Scieszka.

Guys Read: "What? You Think You Got It Rough?" - A Short Story from Guys Read: Funny Business

. . . les gens utilisent des astuces pour vous faire penser comme ils le font ou vous priver de quelque chose qu'ils veulent. Une façon dont ils le font est d'interrompre votre façon de penser normale et de vous prendre par la main et de vous guider sur le chemin qu'ils veulent que vous preniez. Père dit qu'ils vous font faire un tout petit pas dans leur direction, puis ils commencent à vous pousser un peu plus loin sur le chemin et avant que vous ne vous en rendiez compte, vous courez à toute vitesse avec eux dans une direction que vous auriez probablement ' je ne suis pas parti seul.

Travaillez dans votre métier, écrivez tous les jours et suivez vos rêves parce que les rêves se réalisent.

Outre l'effet apaisant que cela a, je pense que ma partie préférée de l'écriture est de pouvoir utiliser mon imagination et ma créativité pour donner vie à de nouvelles idées, à des personnes et à des situations.

Faire un petit pipi dans votre pantalon devait être meilleur que le dîner pour un peu de redneck.

Un bourgeon est une future fleur. Une fleur en attente. En attendant juste la bonne chaleur et les bons soins pour s'ouvrir. C'est un petit poing d'amour qui attend de se déployer et d'être vu par le monde. Et c'est toi.

... c'était les règles et les choses de Bud Caldwell pour avoir une vie amusante et faire de vous un meilleur menteur Numéro 83... Si un adulte vous dit de ne pas vous inquiéter et que vous n'étiez pas inquiet avant, vous feriez mieux de vous dépêcher et Commencez parce que vous êtes déjà en retard.

J'essaie de rendre l'écriture aussi régulière et régimeuse que possible. Je me lève généralement vers 5 heures du matin et je lis ce que j'ai écrit la veille. Parfois, après avoir lu, je pense que l'écriture est très bonne et la fois que je me sens gênée par ce que j'ai écrit. Vous devez apprendre à ne pas accorder trop d'attention à ces sentiments.

Il y a une bonne chose à avoir des ennuis: il semble que vous le fassiez en étapes. Il semble que vous ne vous retrouviez pas simplement dans des ennuis, mais que vous vous alliez en quelque sorte dans vous. Il semble également que le problème soit le problème, plus vous vous en éloignez, plus il y a de mesures pour y arriver. Un peu comme vous obtenez un tas de petits avertissements sur le chemin; Un peu comme si vous le vouliez vraiment, vous pourriez vous retourner.

Chaque rencontre avec une femme doit être considérée comme une négociation, ... la différence étant au lieu de les amadouer sur les toits, vous les amadiez dans la romance. Et rappelez-vous, le négociateur est toujours en contrôle.

J'écris parce que j'aime. Je suis très, très chanceux d'avoir trouvé quelque chose que j'aime faire qui gagne aussi ma vie. Mais pour être honnête, j'écrirais même si je n'étais pas payé.

Je pense qu'il est important de considérer l'écriture comme un travail et de vous engager comme si vous deviez vous engager dans un niveau régulier de neuf à cinq.

Je suis sûr qu'il y a une philosophie qui dit que l'une des meilleures façons de faire face à l'un de vos problèmes est de reprendre profondément et de s'éloigner pendant un certain temps, l'écriture fait cela pour moi.

C'est formidable de créer une histoire, puis de la soumettre à votre éditeur et de voir quelle est sa réaction. C'est formidable de demander à votre éditeur de dire quelles sont ses suggestions et idées pour l'histoire. C'est formidable d'expliquer à votre éditeur pourquoi ses idées et ses suggestions sont bizarres et de lui demander pourquoi elle essaie-t-elle de ruiner mon histoire.

L'écriture a toujours été un sanctuaire ou un refuge pour moi, chaque fois que je suis stressé ou anxieux ou inquiet, je trouve que quelques heures m'exprimant en écrivant semblent toujours avoir un effet calmant sur moi.

Les grandes roues en acier ont grincées plusieurs fois, puis ont commencé à bouger.

Byron dit qu'il n'ira pas là-bas. Il donne à Kenny et Joey une histoire sur "Wool Pooh", le jumeau maléfique supposé de Winnie-the-Pooh. Ils le croient, mais Kenny veut toujours y aller.

Les choses ne sont jamais ce qu'elles semblent être lorsque vous les regardez pour la première fois. Ce qui est important, c'est que vous gardez votre esprit grand ouvert et que vous essayiez de comprendre ce qui se passe sous de nombreux angles différents.

Règles et choses numéro 63: Ne dites jamais, jamais quelque chose de mal à propos de quelqu'un que vous ne connaissez pas - surtout lorsque vous êtes autour d'un tas d'étrangers. Vous ne pouvez jamais dire qui pourrait être parent de cette personne ou qui pourrait être un espion à grande bouche à lèvres.

Ouah. Qui voudrait un poisson pour un animal de compagnie alors qu'il pourrait avoir une tortue ?!

Tout comme quand il y a un temps qu'une personne intelligente sait assez, il y a un moment où vous savez que vous devez vous battre.

La seule chose qui n'est pas géniale est le moment où je sais que je suis très proche de terminer l'écriture réelle de l'histoire et que je suis surmonté par ce sentiment de perte. Je pense que c'est parce que je sais que je ne "parlerai plus" du personnage principal, c'est un peu comme ce que vous ressentez quand vous savez qu'un ami s'éloigne et que vous ne la reverrez probablement pas.

En tant qu'écrivain, vous êtes le maître de marionnette et pouvez tout contrôler. Croyez-moi, c'est très amusant parce que ce n'est pas quelque chose qui va se produire très souvent dans la vraie vie!

Il arrive un moment où vous perdez un combat que cela n'a tout simplement pas de sens de continuer à se battre. Ce n'est pas que vous êtes un abandon, c'est juste que vous avez le sens de savoir quand il suffit de suffisamment.

J'ai le même âge que ma langue et un peu plus âgée que mes dents.

Je dis souvent aux jeunes qu'en tant qu'écrivain, vous êtes très puissant, que vous pouvez faire absolument quelque chose.

Dès que je suis entré dans la bibliothèque, j'ai fermé les yeux et pris une profonde inspiration. J'ai senti une odeur de cuir sur tous les vieux livres, une odeur qui devenait très forte si vous en preniez un et que vous colliez votre nez tout près de lui lorsque vous tourniez les pages. Et puis il y avait l'odeur du tissu qui couvrait les livres tout neufs, des livres qui faisaient un bruit de craquement quand on les ouvrait. Ensuite, je pouvais sentir le papier, cette odeur douce, poudrée, somnolente qui se dégage de la page par petites bouffées quand on lit quelque chose ou qu'on regarde des photos, une sorte d'odeur hypnotisante.

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