Claude Nicollier, né le 2 septembre 1944 à Vevey, est un astrophysicien et astronaute suisse de l'Agence spatiale européenne. Il devient en 1992 le premier Suisse dans l'espace (Mission STS-46). Il a effectué quatre missions à bord de différentes navettes, dont deux ont été consacrées à la réparation et à la maintenance du télescope spatial Hubble. Lors de la première mission, il était chargé du pilotage du bras télémanipulateur de la navette et à ce titre a effectué la première capture en orbite du télescope spatial.

Les objets qui sont d'énergie modérée, comme notre soleil ou la plupart des étoiles que nous voyons dans le ciel nocturne à l'œil nu, sont des objets dans lesquels des processus d'énergie relativement modérés ont lieu.

Vous pouvez voir ces boîtes recouvertes de feuilles métalliques pour des raisons thermiques, et elles sont également, la plupart du temps, contrôlées thermiquement à l'intérieur pour maintenir une température raisonnable à l'intérieur de chacun de ces conteneurs.

Nous avons les beaux capteurs de guidage, dont l'un nous échangerons sur trois. Un autre que nous avons changé lors de la dernière mission de service et lors de la quatrième mission de service en 2003 ou 2004, la troisième sera échangée.

Mon premier rêve en tant qu'enfant a été de devenir pilote. Mon deuxième rêve était de devenir astronome, et j'ai poursuivi dans des efforts parallèles et des études dans ces deux domaines.

Je pense qu'un avantage est que nous essayons de le mettre dans un court laps de temps. D'après la décision de faire cette mission jusqu'à ce que nous volons, il est six mois et une semaine environ, donc c'est très peu de temps.

En ce qui concerne les ondes radio faisant partie du spectre, nous pouvons les faire de manière adéquate depuis le sol car l'atmosphère est fondamentalement transparente à nos ondes radio.

Nous avons déjà développé, avant la première mission de service, cela a été développé dans la deuxième mission de service et nous l'avons affiné cette fois, toute la terminologie.

Je me sens très privilégié de faire partie de cette mission, et lorsque ma nomination a été annoncée, j'étais vraiment très, très heureux d'être sélectionné pour cette mission.

Le futur télescope spatial infrarouge couvrira cette zone de manière beaucoup plus efficace.

Ensuite, beaucoup plus tard, mon prochain rêve était de devenir astronaute, et j'ai eu la chance de réaliser ce rêve aussi.

D'une part, pour pouvoir passer d'une direction dans le ciel pour étudier un tel objet dans une autre direction pour étudier un autre objet, et d'autre part pour pouvoir maintenir avec précision la position dans l'espace.

Le télescope spatial de prochaine génération, qui sera situé beaucoup plus loin de la terre que le télescope spatial Hubble actuellement, explorera également la partie infrarouge du spectre.

Hubble est très proche de mon cœur, et retourner à Hubble, car j'étais là une fois en 1993, est vraiment un grand privilège pour moi.

Je dirais que le plus d'aide que j'ai obtenue était de mon père. Mon père est ingénieur civil en Suisse; Il a 90 ans maintenant, donc il n'est plus actif en tant qu'ingénieur civil, mais toujours une personne très active.

En général, les objets de l'univers qui sont des objets très énergiques, ou les processus qui sont des processus à haute énergie, rayonnent davantage dans la plage de longueurs d'onde courte vers les rayons gamma ou les rayons X.

Mon nom était sur la liste très tôt après que ces annonces ont été faites via les journaux en Europe.

Ce sera une expérience de la façon dont cela fonctionne, et je vois que j'ai toutes les raisons de croire que cela fonctionnera bien. Mais c'est peu de temps. Et nous avons également poussé les limites ici un peu au-delà de ce qui a été fait dans le passé.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Nicollier

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