Betrayed by his club but beloved by the fans, former Chelsea manager Claudio Ranieri was a constant headline-maker in 2004. Occasionally puzzling, often eccentric, but always fascinating and refreshing, the Italian describes the highs and lows of an extraordinary season at Stamford Bridge - and the dramatic end to his English journey.

 'Hello, my sharks. Welcome to the funeral.'

 'People have said I am a dead man walking - but I am still moving!'

 'Tonight I am a crazy man and Roman Abramovich is also going mad like me!'

 We rejoiced with him. We laughed with him. And we cried with him. In what turned out to be a year for the Blues resembling more a soap opera than a season of football, Claudio Ranieri reveals the highlights and the hurt of his farewell twelve months in England.

 This collaboration between Italian journalist Massimo Marianella and Ranieri promises to reveal the inside story of a rollercoaster year at Stamford Bridge, with a first-hand account of coaching the most expensively assembled team in the Premiership, alongside the increasing pressures of satisfying his bosses as Chelsea's season threatened to turn into anticlimax.

 How did Ranieri keep all his players contented, when the value of his subs bench often exceeded that of most Premiership teams? What were the skills required to mould a group of exciting individuals into a team capable of challenging the likes of Arsenal and Manchester United at the top of the tree?

 With the media suggesting an uneasy alliance between Ranieri and Roman Abramovich, what was it that drove their complex relationship? What was the real truth behind the allegations that Ranieri's position was being undermined by his bosses? And when did the 'Tinkerman' discover his final denouement?

 Just some of the questions that will be answered in this book by arguably the most talked-about man in English football in 2004.

Proud Man Walking

Le football est ouvert; Il ne s'agit pas seulement de garder la possession du ballon et de faire plus de passes.

Tout le temps, je disais à mes joueurs : 'Je me fiche du nom sur le badge ou du nom des adversaires.'

Parfois, le manager dit une chose et fait une autre chose!

Je me demande toujours, mais je dis toujours: «Allez, nous pouvons faire quelque chose de bien.

Chaque pays est différent, chaque ligue est différente - toute la culture.

C'est avec passion que j'aime mon travail. Mais c'est avec un caractère que je suis capable de continuer à attendre. Pas seulement au-delà des critiques ou de mauvais résultats, mais aussi au-delà des bons moments aussi. Tout doit être un équilibre.

Ils m'appellent le Tinkerman. Partout où je vais, les gens disent «Ah ha, il y a le Tinkerman».

Il est très important d'être humble mais de maintenir la conviction que nous pouvons faire quelque chose de bien.

La pression est sur les grandes équipes.

C'est une chose qui l'essaie à l'entraînement et un autre entièrement sur le terrain.

Buffon est un gentleman ne pensant qu'au ballon [après le fort tacle de Gianluigi Buffon sur Andy Carroll lors d'un ami avec Newcastle

Ce qui est important, c'est de trouver la meilleure solution pour vos joueurs.

Je me souviens que lorsque j'étais pour la première fois en Serie A, nous étions en bas, personne ne parlait de Cagliari. Et nous étions en sécurité, un jour avant le match final. Avec Parme, nous sommes descendus, mais nous étions positifs jusqu'à la fin. Il y a les petits détails, mais vous devez continuer.

Si vous êtes un perdant dans ce sport, vous êtes également un perdant dans la vie.

En Italie, l'entraîneur est un parachutiste qui saute de l'avion mais ne sait pas si le parachute s'ouvrira ou non.

Nous devons respecter l'arbitre à chaque fois.

Il n'est pas important du nombre d'erreurs que vous faites; Il s'agit du nombre de chances que vous créez et du nombre de buts que vous marquez. C'est ma philosophie.

Lorsque vous jouez en Ligue des champions, vous êtes allumé - très, très intelligent et concentré sur chaque situation.

Le jour où mes joueurs se détendent, je deviens fou. Ils le savent.

J'ai remporté la ligue la plus importante en Europe, je pense - pas seulement l'Europe mais le monde - la Premier League.

La deuxième équipe de tout le monde en Italie est Leicester. En Thaïlande, la première équipe est Leicester. J'ai reçu des lettres du Paraguay, de l'Uruguay, du Brésil - partout «Leicester, Leicester, quelle légende».

Il y a trop de malheur dans le football, non?

C'était fantastique de remporter le titre avec Leicester.

Tous mes joueurs doivent être prêts car, tôt ou tard, j'aurai besoin d'eux.

J'avoue que j'étais curieux de l'entraîner une équipe nationale, mais mon expérience avec la Grèce était suffisante.

Le football concerne les rêves, de ressentir une sensation particulière, de donner une surprise et une joie inspirante.

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