La seule arme dont nous devons nous opposer aux mauvais effets de la technologie est la technologie elle-même. Il n'y a pas d'autre. Nous ne pouvons pas nous retirer dans une éden nonchnologique qui n'a jamais existé ... Ce n'est que par l'utilisation rationnelle de la technologie pour contrôler et guider ce que la technologie fait que nous pouvons garder les espoirs d'une vie sociale plus désirable que la nôtre: ou dans fait d'une vie sociale qui n'est pas épouvantable à imaginer.

La poursuite du bonheur est une phrase la plus ridicule: si vous poursuivez le bonheur, vous ne le trouverez jamais.

Je pense, dans l'ensemble, les scientifiques font des maris et des pères un peu meilleurs que la plupart d'entre nous, et je les admire pour cela.

D'ici 2070, nous ne pouvons pas dire, ou il serait imbécile de le faire, que tout homme vivant pourrait comprendre l'expérience shakespearienne mieux que Shakespeare, alors que tout étudiant décent de physique de dix-huit ans connaîtra plus de physique que Newton.

Je cherchais quelque chose un peu plus qu'une métaphore fringante, beaucoup moins qu'une carte culturelle: et à ces fins, les deux cultures sont à peu près correctes.

Lorsque vous pensez à l'histoire longue et sombre de l'homme, vous trouverez des crimes plus hideux commis au nom de l'obéissance que jamais commis au nom de la rébellion.

Le principal problème [de la révolution scientifique] est que les habitants des pays industrialisés s'enrichissent, et ceux des pays non industriels sont au mieux immobiles: l'écart entre les pays industrialisés et le reste s'élargit chaque jour. À l'échelle mondiale, c'est l'écart entre les riches et les pauvres.

La plupart des scientifiques que j'ai bien connus ont ressenti - tout aussi profondément que les non-scientifiques que j'ai bien connus - que l'état individuel de chacun est tragique. Chacun de nous est seul: parfois nous échappons à la solitaire, à travers l'amour ou l'affection ou peut-être des moments créatifs, mais ces triomphes de la vie sont des piscines de lumière que nous nous faisons tandis que le bord de la route est noir: chacun de nous meurt seul.

J'ai souvent assisté à des réunions de personnes qui, selon les normes de la culture traditionnelle, étaient considérées comme très instruites et qui exprimaient avec beaucoup d'enthousiasme leur incrédulité face à l'analphabétisme des scientifiques. Une ou deux fois, j'ai été provoqué et j'ai demandé à la compagnie combien d'entre eux étaient capables de décrire la deuxième loi de la thermodynamique. La réponse a été froide : elle était aussi négative. Pourtant, je demandais quelque chose qui est à peu près l'équivalent scientifique de : "Avez-vous lu une œuvre de Shakespeare ? Avez-vous lu une œuvre de Shakespeare ?

Aucun scientifique ou étudiant en sciences, n'a jamais besoin de lire une œuvre originale du passé. En règle générale, il ne pense pas à le faire. Rutherford était l'un des plus grands physiciens expérimentaux, mais aucun scientifique nucléaire étudierait aujourd'hui ses recherches il y a cinquante ans. Leur substance a toutes été imprégnées de l'accord commun, des manuels, des articles contemporains, du présent vivant.

Il faut une tête très forte pour garder les secrets pendant des années et ne pas devenir légèrement fou. Il n'est pas sage d'être conseillé par quiconque légèrement fou.

Ce que nous devons faire est d'humaniser le scientifique et de simoniser l'humaniste.

La civilisation est horriblement fragile ... Il n'y a pas grand-chose entre nous et les horreurs en dessous, à peu près une couche de vernis.

Je sentais que je déménageais parmi deux groupes [intellectuels littéraires et scientifiques] comparables en intelligence, identiques dans la race, pas très différente d'origine sociale, gagnant les mêmes revenus, qui avaient presque cessé de communiquer du tout, qui dans l'intellectuel, la morale et Le climat psychologique avait si peu en commun qu'au lieu d'aller de Burlington Hom ou South Kensington à Chelsea, on aurait pu traverser un océan.

Davy était le type de tous les deuxième rateurs de tous les temps.

Pour la première fois, j'ai vu un mélange de faits aléatoires se calmer en ligne. Toutes les jubles et recettes et le hotchpotch de la chimie inorganique de mon enfance semblaient s'intégrer dans le schéma sous mes yeux, bien que l'on se tenait à côté d'une jungle et il s'est soudainement transformé en un jardin néerlandais.

Que penseront les gens du futur de nous? Diront-ils, comme Roger Williams l'a dit à propos des Indiens du Massachusetts, que nous étions des loups avec l'esprit des hommes? Penseront-ils que nous avons démissionné de notre humanité? Ils auront le droit.

Le processus scientifique a deux motifs: l'un est de comprendre le monde naturel, l'autre est de le contrôler.

Neuf traditions anglaises sur dix datent de la seconde moitié du XIXe siècle.

Cette capacité à intégrer le passé donne l'outil de diagnostic le plus net, si l'on demande si un ensemble de connaissances est une science ou non. Les praticiens actuels doivent-ils revenir à une œuvre originale du passé? Ou a-t-il été incorporé? ... La science est cumulative et incarne son passé.

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