Cuba Michael Gooding, Jr. est un acteur et producteur de cinéma américain, né le 2 janvier 1968 dans le Bronx à New York.

En tant qu'acteur, lorsque vous gagnez le moment, il y a une vérité dans votre intention. Vous pourriez en rire ou vous pourriez y pleurer, mais je pense que votre réaction viscérale est une réaction à la vérité du moment.

Je parle à mon agent de grands rôles, et il dit: «Ils vont tous à Will Smith.

Je pense que je suis un marteau pour le travailleur de la construction qui est le cinéaste.

Je rembobine le téléviseur toutes les deux minutes. Si quelqu'un fait quelque chose d'intéressant, je dois le voir encore et encore.

Quand j'ai commencé dans l'entreprise, vous avez fait la télévision, puis quand vous avez eu de la chance, vous avez obtenu un projet de prestige d'un film.

Je me souviens quand Heath Ledger a parlé de jouer du Joker ... Je regardais toujours de mon œil, "ouais, acteurs." Mais il y a vraiment une obscurité lorsque vous jouez à quelqu'un psychotique - vous devez y aller mentalement.

Je pense que le plus grand compliment qu'un acteur puisse avoir est de savoir si les gens oublient qui ils regardent et se perdent dans le personnage.

J'étais fan du football. J'étais plus un fan des Raiders, mais je savais qui O.J. était. Je connaissais le jus, et je me souviens des publicités Hertz avec lui qui couraient à l'aéroport et ainsi de suite. Il était donc une célébrité de Highbrow à mes yeux.

Je n'ai jamais pris de décision basée sur la race et je ne le ferai jamais.

Je suis un fan de hockey passionné et je joue depuis environ 17 ans, et quelqu'un m'a récemment dit que les premières équipes de hockey organisées au Canada étaient toutes noires. Raconter ces histoires serait cool.

Qu'est-ce qui vous fait penser que ce que vous savez est différent de ce que je sais? J'avais différents professeurs.

On m'a donné ce don de travailler avec Jack Nicholson et James Coburn et certaines personnes qui sortent de nulle part entre les histoires - parlant de travailler avec Alfred Hitchcock ou Kubrick. C'est ma vraie récompense de ma carrière.

Il y a des rôles que je veux que mon agence ne veuille pas que je fasse à cause du sujet ou quoi que ce soit. Ou il y a des rôles que les gens ne m'apporteront pas parce qu'ils ne pensent pas que je le ferai. Et c'est une grande pression parce qu'un acteur veut agir

C'est le travail du réalisateur de reconstituer ma performance, son interprétation de mes prises, chaque prise et de les enchaîner et de faire une déclaration. Je suis de la peinture rouge sur une toile pour un peintre.

Je comprends tout. Je peux écrire mon propre billet pour un ou deux films. Mais s'ils ne sont pas les bons, mon billet se fait arracher. Je comprends que c'est comme ça que cela fonctionne, et je suis d'accord avec ça.

Avant d'être acteur, j'étais danseuse de pause, l'un de ces artistes de rue que vous voyez. Je suppose que mon introduction dans le monde professionnel de la performance a été un passage en tant que danseuse de Back Up pour Lionel Richie et je me suis joué lors de la cérémonie de clôture aux Jeux olympiques de 1984.

Je pense que les policiers sont des héros modernes. Je pense qu'ils nous protègent.

J'ai eu cette histoire d'amour intéressante avec Londres et l'Angleterre, bien que je ne sache pas ce que Londres pense de moi.

La vérité est que vous ne décidez jamais d'un rôle, pas lorsque vous commencez pour la première fois. Vous auditionnez pour le rôle, et vous avez la chance de l'obtenir.

Maintenant, j'ai des offres de grosses monnaie sur trois films, et j'ai l'approbation du réalisateur. C'est un peu effrayant », dit-il. «Aucun réalisateur n'a été attaché. C'est beaucoup de pression sur moi.

C'est un travail de réalisateur de raconter une histoire et il connaît très bien des histoires avec un peu de comédie en eux et de garder le rythme du film correctement et c'est exactement ce qu'il a fait. Il était attentif à un monde qu'il ne comprenait pas, mais il a raconté une merveilleuse histoire.

Jonathan Lynn est l'un des derniers acteurs utilisés par Orsen Welles dans une production. C'était merveilleux. Il est très net, très vif. C'est drôle qu'on m'a demandé à quel point il était bizarre d'avoir un Britannique faire un film évangélique d'église.

Il m'a fallu un mois pour sortir de l'état d'esprit d'O.J. Mais même maintenant, je pense que cela pourrait avoir fait quelque chose à mes cordes vocales. Je suis allé voir le médecin, et il me disait: «Je ne vois rien. Tu vas bien.' Mais mentalement, j'aurais peut-être un peu brisé.

En tant qu'acteur, vous devez apporter à la table votre contribution créative. Mais quand un réalisateur comme Ridley Scott dit que je veux que vous fassiez cela de cette façon, vous savez quand il arrive dans la salle de montage, il a une raison à cela. C'est comme regarder un chef-d'œuvre.

Je pense que tous mes personnages me hantent. Surtout celles réelles, comme Master Chief Carl Brashear, les aviateurs de Tuskagee. Chaque fois que je vois un militaire, cela me donne un tel sentiment de fierté mais aussi un sentiment de responsabilité de projeter l'excellence lorsqu'il les représente.

Les Oscars ont été une nuit incroyable. Je sais que j'ai un peu perdu la tête. Je m'excuse pour cela. Cette nuit est allée si vite que je ne me souviens pas de ce que j'ai dit ou de ce qui s'est passé.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cuba_Gooding_Jr.

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