Curtis Hanson, né le 24 mars 1945 à Reno (Nevada) et mort le 20 septembre 2016 à Los Angeles (Californie), est un réalisateur, producteur et scénariste américain.
Il est principalement connu pour ses films La Main sur le berceau, 8 Mile ou encore L.A. Confidential (1997), pour lequel il obtient l'Oscar du meilleur scénario adapté.

Je ne peux pas parler de la façon dont Michael [Douglas] l'a abordé en termes de son processus.

Je ne l'ai pas considéré comme une transition tellement, car je n'avais jamais eu l'intention d'avoir une carrière de journaliste, écrivant sur des gens qui font des films.

Bien sûr, Sam [Fuller] était comme, "pas de problème", car il l'a traité comme une échéance du journal. Nous avons travaillé de longues heures, souvent très tard dans la nuit, dans son garage, qui avait été converti en bureau. Il faisait froid à l'extérieur et il n'y avait pas de chaleur dans le garage, donc il avait un petit radiateur à ses côtés et j'avais une couverture qu'il m'a gracieusement donnée pour drapé autour de mes épaules comme un Indien navajo. Et il m'a aussi donné des cigares, bien sûr.

Quand je jette une photo, je pense qui j'aimerais y voir si j'étais assis dans un théâtre. Qui me surprendrait?

J'adore les films à suspense, car dans un sens, ils sont les plus oniriques de tous les genres, et je suis sûr que j'en ferai un autre.

En surface, Wonder Boys semblait être un tel départ de L.A. Confidentiel - c'est drôle, c'est contemporain, et ainsi de suite - et pourtant à un certain moment, j'avais le sentiment qui m'a rappelé ce que je ressentais quand je tournais L.A. Je l'ai analysé pendant un certain temps et j'ai pensé à quel point j'étais émotionnellement impliqué avec les personnages. Ensuite, j'ai réalisé que dans les deux films, il y a trois personnages masculins principaux et une femme, et tous ont du mal à comprendre ce qu'ils font de leur vie, indépendamment les uns des autres.

Bad Influence, qui est un de mes premiers films que j'aime beaucoup. Ce fut une expérience malheureuse lorsque cette photo a été publiée, car elle coïncidait avec ce scandale ridicule de la vidéo de Rob Lowe.

Ce fut une expérience unique de plusieurs manières, car je ne pense pas que Sam [Fuller] ait jamais collaboré avec un autre écrivain pendant toute sa carrière.

En termes de parler avec mes collaborateurs au fur et à mesure qu'ils sont venus à bord - Jeannine Oppewall, notre concepteur de production, Dante Spinotti, notre directeur de la photographie, etc. - je leur ai dit: "Prétendons que c'est un endroit comme Honolulu. Ignorez le fait que Tous ces autres films ont été réalisés ici depuis des décennies et essaient d'y venir avec un œil neuf, comme s'il s'agissait d'une ville exotique que les gens ne connaissent pas. Et présentons notre propre vision, créez un monde qui Unique à ce film [L.A Confidentiel].

Ici [dans Wonder Boys], j'avais ce groupe de personnages où vous ne saviez pas quels étaient les importants ou dans quelle direction ils dirigeaient.

Son autodiscipline [Sam Fuller] était incroyable. Peu importe ce qui s'est passé, il allait toujours à sa machine à écrire royale debout et continuerait de travailler sur ses histoires, ses "fils" comme il les appelait.

Tout d'abord, Sam Fuller a quitté un groupe de films extraordinaires qui sont uniques, qui sont «plus fulrants», comme on pourrait le dire, ce qui les distingue de tout autre film de réalisateur.

Je n'ai jamais été critique. J'étais journaliste et j'ai écrit sur les cinéastes, mais je n'ai pas passé en revue les films en soi. Je fais cette distinction uniquement parce que je suis venu strictement en tant que personne qui n'était qu'un amateur de conteurs et de conteurs cinématographiques. Et je suis toujours. Je suis toujours un grand fan de cinéma, et moi, cet amour des films est très vivant en moi. J'approche les films que je fais en tant qu'amateur de cinéma autant qu'un cinéaste.

Je n'ai jamais eu l'intention d'avoir une carrière de journaliste, écrivant sur des gens qui font des films. Je l'ai fait comme quelque chose qui était vraiment gratifiant à faire, étant donné l'occasion de m'exprimer à propos de quelque chose qui me souciais, et aussi d'apprendre beaucoup en regardant les cinéastes que j'admirais. Dans un sens, c'était mon école de cinéma. Après l'avoir fait quelques années, j'ai décidé que le moment était venu de le rassembler et de faire mon propre travail. Même pour un film bon marché, vous avez besoin de films de films et d'équipements et d'acteurs. Alors que pour écrire, tout ce dont vous avez besoin est du papier et une idée, donc j'ai senti que l'écriture pourrait être mon tremplin.

Ce fut juste une expérience merveilleuse, une pour le livre de mémoire à coup sûr. Ce qui est triste, c'est que l'image est passée sous ce nuage absurde de controverse. Il y avait un film basé sur le thème central que le racisme est quelque chose qui est enseigné, et il est illustré par cette histoire d'un chien et les efforts des humains pour le reconstituer après qu'il ait été formé pour aller après les Noirs. Et cela a créé cette controverse ridicule et a fini par être le dernier film hollywoodien que Sam [Fuller] a fait.

J'ai arrêté de faire cela [photojournalisme] et j'ai écrit des scénarios sur la spéculation, car même si je voulais diriger, diriger, vous avez besoin de beaucoup d'argent. Même pour un film bon marché, vous avez besoin de films de films et d'équipements et d'acteurs.

J'avais écrit le script quelques années plus tôt pour Paramount, puis j'ai été embauché avec Sam [Fuller] pour écrire un script entièrement nouveau qu'il allait diriger. Et c'était l'un des grands sensations de ma vie professionnelle.

Conscience de soi et estime de soi. Ce ne sont pas des problèmes féminins, ce sont des problèmes humains.

Pittsburgh a ce riche passé industriel, quand c'était le cœur de l'industrie sidérurgique américaine, et il s'est épuisé alors que l'industrie s'est épuisée et s'est déplacée ailleurs.

Il y a beaucoup de gens qui veulent faire des films et très peu d'opportunités pour eux de le faire. J'ai eu un début de carrière en début de carrière avec beaucoup d'expériences très malheureuses où les photos ont été enlevées, recoupées, rédigées ... tous les cauchemars dont on entend parler. Par conséquent, il est tellement gratifiant de faire une image qui réussit et vous donne un effet de levier pour avoir de meilleures circonstances que vous n'en avez jamais eu, avant la prochaine fois.

J'ai eu un début de carrière en début de carrière, avec certitude, avec beaucoup d'expériences très malheureuses où les photos ont été enlevées, recoupées, remises ... tous les cauchemars dont on entend parler.

J'ai grandi en tant que lecteur ainsi que comme un amateur de cinéma, tant de romanciers que j'admirais - et tant de grands cinéastes que j'aimais - étaient autodidactes.

Ce que j'essaie de faire, c'est donner à chaque acteur un environnement dans lequel il peut faire de son mieux.

Par conséquent, les images sont destinées à certains publics, que ce soit une comédie pour adolescents ou un film d'action ou autre chose. C'est regrettable, car même si cela peut entraîner de gros brosses d'ouverture, de nombreuses images qui sont un peu différentes et ne s'intègrent pas aussi bien dans un marché de niche ou une approche marketing à haut concept peuvent se perdre dans le shuffle. C'est une chose malheureuse.

Mon tout premier crédit d'écriture professionnel a été sur un film intitulé The Dunwich Horror, et Roger Corman était le producteur exécutif.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Curtis_Hanson

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