Dan Stevens est un acteur et producteur britannique, né le 10 octobre 1982.
Il s'est fait connaître grâce au rôle de Matthew Crawley dans la série télévisée Downton Abbey créée par Julian Fellowes.

Vous ressentez une certaine obligation de montrer qui augmente votre profil comme l'affaire «Downton». Mais il existe certainement d'autres opportunités passionnantes.

C'est le défi d'essayer d'évoquer toute sorte de sympathie pour un rôle qui, normalement, nous dirions: "Oh, c'est un méchant" et le licencie.

Je n'ai jamais été très content à l'école.

Nous tenons tellement de nos libertés pour acquises de nos jours - je peux voyager où j'aime, je peux avoir un bébé quand j'aime, je peux faire n'importe quel travail que je veux - mais je pense que la chevalerie a été un peu perdue.

Je ne suis que récemment intéressé par le film, et c'est une façon étrange de travailler à bien des égards. Mais en fait, quand il est à son meilleur, c'est une façon assez extraordinaire de travailler entre un réalisateur et un acteur, pour vraiment explorer une vie intérieure.

Vous pouvez vous intéresser romantiquement à quelqu'un et les aimer et, je pense, être vraiment intéressé par les choses et un certain mode de vie que cette personne pourrait fournir.

Tous mes premiers bulletins scolaires depuis l'âge de 5 ans étaient 'Daniel doit apprendre à ne pas distraire les autres.'

Je n'ai pas fait autant de films que je l'aurais souhaité.

Je voudrais faire quelque chose de moderne et peut-être drôle.

J'ai exploré beaucoup de voies différentes avec un certain nombre de cinéastes et d'écrivains très différents et très excitants. Cela a été le voyage. J'aime trouver quelque chose de très, très différent de la dernière chose que j'ai faite, ce qui pourrait être similaire à quelque chose que j'ai fait auparavant, mais tant que c'est différent de la dernière chose que j'ai faite, cela me divertit.

Mais même écrire la chronique du "Telegraph", cette idée de respecter les délais, ce qui, en tant qu'acteur, n'est pas quelque chose que vous devez faire de la même manière. Cela m'a donné envie d'en faire un peu plus.

A 13 ans, dans ma première année de Tonbridge, je suis monté pour le rôle de Macbeth. J'étais contre les 17 et 18 ans, mais pour une raison quelconque, j'ai obtenu le rôle. Cela m'a rendu incroyablement impopulaire auprès de mes pairs, mais ce sont les professeurs d'anglais et de théâtre qui sont intervenus pour me sauver lorsque d'autres voulaient que je sois expulsé de l'école.

C'est bien de mettre vos chiffons heureux pour des récompenses comme les Baftas, mais cela n'arrive pas tout le temps.

J'ai la chance d'être mariée à quelqu'un qui obtient entièrement ce que je fais. Elle est totalement sympathique à la vie de l'acteur. Sa propre mère était une actrice, alors elle a en quelque sorte grandi avec.

Je veux passer autant de temps que possible avec ma famille, mais je suis conscient d'avoir à ramener le bacon à la maison.

Je n'ai jamais tout à fait taillé la ligne. J'étais un peu perturbateur. Tous mes premiers rapports scolaires de l'âge de 5 ans étaient «Daniel doit apprendre à ne pas distraire les autres». Et maintenant, c'est ce que je fais dans la vie.

Je n'ai jamais été un fan des réalisateurs qui encombrent un morceau avec toutes sortes d'idées préconçues folles ou d'idées étranges.

Tant que j'ai eu l'occasion de continuer à jouer et de continuer à explorer dans n'importe quel médium, je serai heureux. Tant que je passe du temps avec ma famille, je serai heureux. Tant que je peux écrire sous une forme, je serai heureux. Ce sont les choses essentielles comme ce que j'assimile au bonheur.

C'est la tête et le cœur. J'aime nourrir les deux. J'ai toujours voulu être acteur. Mais le côté culturel-intellectuel des choses m'a toujours excité. Je ne voudrais pas laisser aller.

Chaque soir, une demi-heure avant le rideau, les cloches de St. Malachy's, la chapelle des acteurs sur la 49th Street de New York, tournent à hauteur `` Il n'y a pas d'affaires comme le show business ''. Si vous marchez dans les rues du quartier de théâtre avant un spectacle et voyez les vastes lignes enthousiastes, cela ressemble à une vocation: il n'y a certainement pas de place comme Broadway.

Ce n'est pas une mauvaise leçon à apprendre pendant les mois plus sombres: comment vous voyez une tempête est une question de perspective; À condition que vous trouviez le bon rocher pour le regarder, ce pourrait être la chose la plus incroyable dont vous aurez jamais été témoin.

La zone de confort est le grand ennemi de la créativité; Aller au-delà cela nécessite l'intuition, qui à son tour configure de nouvelles perspectives et conquiert les craintes.

Au 21e siècle, je pense qu'il est juste de dire que l'homosexualité est plus acceptée en Grande-Bretagne et c'est merveilleux que ma génération ait pu grandir avec cela.

Je suis choqué d'être reconnu. Vous allez dans des endroits que vous ne pensez pas que vous seriez et encore, vous l'êtes. Les chauffeurs de taxi me reconnaissent souvent ... mais je n'ai pas encore de trajet gratuit.

Revenir au théâtre est quelque chose que je souhaite faire pour le reste de ma vie. Il recharge mes batteries, pour ainsi dire.

Un porche britannique est une pièce renfermée, interdite, dans laquelle on peut jeter un parapluie détrempé ou une paire de bottes boueuses ; un garde-fou contre les éléments et les étrangers. À l'inverse, le bon vieux porche américain semble être synonyme de positivité et d'ouverture ; une plate-forme d'où l'on peut accueillir ou saluer ; un endroit où des choses importantes peuvent se produire.

Tout est tellement accéléré maintenant.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dan_Stevens

Ses oeuvres