The Red Sea Ecosystem and Fisheries

« Ce livre raconte une histoire simple dont le dernier acte se joue peut-être sous nos yeux : celle de la transformation de la nature. Pour les animaux et les plantes, la vie sur Terre et dans les océans est une question de reproduction suivant des cycles annuels qui ont émergé il y a des millions d'années. Or, depuis que l'homme moderne a émergé, nous sommes en expansion permanente, et nous exploitons, de manière effrénée, les ressources naturelles de la planète. Cette incompatibilité pourrait conduire à la destruction de la nature si nous ne mettons pas en place des modes d'action respectant les cycles naturels et rompant avec notre expansion aveugle. Si nous le faisons, nous aurons inventé la durabilité. Si nous ne le faisons pas, il nous faudra nous contenter de manger des méduses ! » P. C. et D. P. Deux des meilleurs spécialistes au monde des ressources naturelles démontent la mécanique infernale de la pression sur la nature exercée par l'homme, tout en proposant des solutions viables pour un futur désirable. Philippe Cury est directeur de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et dirige le Centre de recherche méditerranéenne et tropicale à Sète. Professeur d'halieutique au Fisheries Centre de l'Université de Colombie-Britannique à Vancouver, Daniel Pauly est l'un des plus grands spécialistes mondiaux des ressources marines.

Mange tes méduses ! - Réconcilier les cycles de la vie et la flèche du temps

« Ce livre raconte une histoire simple dont le dernier acte se joue peut-être sous nos yeux : celle de la transformation de la nature.
Pour les animaux et les plantes, la vie sur Terre et dans les océans est une question de reproduction suivant des cycles annuels qui ont émergé il y a des millions d'années. Or, depuis que l'homme moderne a émergé, nous sommes en expansion permanente, et nous exploitons, de manière effrénée, les ressources naturelles de la planète.
Cette incompatibilité pourrait conduire à la destruction de la nature si nous ne mettons pas en place des modes d'action respectant les cycles naturels et rompant avec notre expansion aveugle.
Si nous le faisons, nous aurons inventé la durabilité. Si nous ne le faisons pas, il nous faudra nous contenter de manger des méduses ! »  P. C. et D. P.

Deux des meilleurs spécialistes au monde des ressources naturelles démontent la mécanique infernale de la pression sur la nature exercée par l'homme, tout en proposant des solutions viables pour un futur désirable.

Mange tes méduses

« Ce livre raconte une histoire simple dont le dernier acte se joue peut-être sous nos yeux : celle de la transformation de la nature. Pour les animaux et les plantes, la vie sur Terre et dans les océans est une question de reproduction suivant des cycles annuels qui ont émergé il y a des millions d'années. Or, depuis que l'homme moderne a émergé, nous sommes en expansion permanente, et nous exploitons, de manière effrénée, les ressources naturelles de la planète. Cette incompatibilité pourrait conduire à la destruction de la nature si nous ne mettons pas en place des modes d'action respectant les cycles naturels et rompant avec notre expansion aveugle. Si nous le faisons, nous aurons inventé la durabilité. Si nous ne le faisons pas, il nous faudra nous contenter de manger des méduses ! » P. C. et D. P. Deux des meilleurs spécialistes au monde des ressources naturelles démontent la mécanique infernale de la pression sur la nature exercée par l'homme, tout en proposant des solutions viables pour un futur désirable. Philippe Cury est directeur de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et dirige le Centre de recherche méditerranéenne et tropicale à Sète. Professeur d'halieutique au Fisheries Centre de l'Université de Colombie-Britannique à Vancouver, Daniel Pauly est l'un des plus grands spécialistes mondiaux des ressources marines.

Méthodes pour l'évaluation des ressources halieutiques

Les gens ne connaissent pas le passé, même si nous vivons dans des sociétés alphabétisées, car ils ne font pas confiance aux sources du passé.

Je développe une théorie physiologique de la croissance et des besoins en oxygène. S'il est bien compris comment les poissons nécessitent une croissance de l'oxygène, nous pouvons comprendre comment gérer l'impact du réchauffement climatique.

Les pêcheries à petite échelle ne devraient pas être favorisées aux opérations à grande échelle sur les notions romantiques de petits opérateurs accidentés qui luttent contre les éléments et les sociétés anonymes. [Ils doivent être soutenus] en raison des preuves scientifiques disponibles pour confirmer l'inférence de bon sens que les pêcheurs locaux, s'ils sont accordés par un accès privilégié, auront tendance à éviter de saccager leurs stocks locaux, tandis que les pêcheurs étrangers n'ont pas une telle motivation.

Alors que la crise climatique attire régulièrement l'attention de la première page, les gens - même ceux qui professent une grande conscience environnementale - continuent de manger du poisson comme s'il s'agissait d'une pratique durable.

Personnellement, j'aime l'idée de l'aquaculture des crustacés. Ce sont des animaux qui restent silencieux, ils restent là où vous les mettez et ils nettoient l'eau.

Dans la mer de Java en Indonésie, j'ai vu des pêcheurs sortir le matin, dont six qui sortent et reviennent avec cinq livres de poisson. C'est le point final, une livre de poisson par personne par jour pour vendre du riz. C'est là que les pêcheries vont si vous le laissez se produire. C'est là qu'il se stabilise. Ces gens ne peuvent pas nourrir leurs familles.

Manger un rouleau de thon dans un restaurant de sushi ne doit pas être considéré comme plus bénin de l'environnement que de conduire un Hummer ou de harponner un lamantin.

La crise de la pêche est similaire à notre économie. Ce n'est pas une pêche qui échoue, mais l'ensemble du système.

Il n'y a pas besoin d'une fin de poisson ou de pêche d'ailleurs. Mais il y a un besoin urgent pour les gouvernements de se libérer du complexe de pêche-industriel et de son programme Ponzi, pour arrêter de subventionner le complexe de pêche-industriel et d'attribuer des droits de pêche, alors qu'il devrait en fait payer le privilège de pêcher.

Un animal qui est très abondant, avant qu'il ne disparaisse, il devient rare. Ainsi, vous ne perdez pas d'animaux abondants. Vous perdez toujours des animaux rares. Par conséquent, ils ne sont pas perçus comme une grosse perte.

Nous transformons le monde, mais nous ne nous en souvenons pas. Nous ajustons notre ligne de base au nouveau niveau, et nous ne nous souvenons pas de ce qui était là.

Si nous ne gérons pas cette ressource, nous nous retrouverons avec un régime de méduses et de ragoût de plancton.

Nous suggérons que dans les prochaines décennies, la gestion des pêches devra souligner la reconstruction des populations de poissons intégrées dans les réseaux alimentaires fonctionnels, dans de grandes zones marines `` sans prise ''.

Si vous considérez avoir une famille comme étant aimée comme un enfant, soigné - je n'ai pas vécu cela.

Le tilapia a souvent été représenté comme le poulet aquatique, et il est parfaitement justifié.

Nos océans ont été les victimes d'un programme géant de Ponzi, mené d'une callousie de Bernie Madoff par les pêcheries du monde.

Ses oeuvres

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