David Bennun had lived in Africa his whole life. At the age of 18 he came to Britain, the mother country. The country he had read about in Punch magazine or seen in films like Chariots of Fire. He was in for a shock. A very big shock indeed: 'I could not have been less prepared had I spent my life up to that point listening to 30-year-old broadcasts of the Light Programme.' In this timely follow-up to the critically acclaimed Tick Bite Fever, David Bennun shows us our own country through the eyes of an alien. With his brilliantly witty turn of phrase we follow his life as a student, his brushes with Bohemia, his troubles renting and buying property, his discovery of British food and his horrors at entering the world of work. From DIY to architecture, sport to alcohol, transport to music and entertainment, David Bennun brilliantly and with ruthless wit deconstructs all these subjects, many of them so dear to the British heart.

BRITISH AS A SECOND LANGUAGE - TRAVELS AMONG THE ENGLISH

British As a Second Language

La question devient désormais sur la définition de vos conditions. Qu'est-ce que la littérature? À moins que nous ne lui permettez d'englober la tradition orale à partir de laquelle il a grandi, ce qui signifie le ramener à Homer et au-delà, il exige le mot écrit - la poésie et la prose. [Bob] Dylan n'est pas en reste à l'écrit, à la fois à part entière, et transcrit à partir de ses paroles, qui ont souvent été acclamées comme poésie et peuvent bien se tenir en tant que telles. Mais ce n'est pas son métier.

Bob Dylan, lauréat du prix Nobel. Un nouveau fait si choquant que même les décès les plus notables de l'année ne l'ont pas dépassé pour le volume (dans les deux sens) de réaction instantanée; Si source de division, cela fait que le Brexit, la direction du travail et l'élection présidentielle américaine semblent moins de ruptures.

Cependant, beaucoup plus des non semblent parfaitement sincères. Ils peuvent vraiment détester [Bob] Dylan; Ils peuvent même l'apprécier ou l'admirer, mais ne pensez pas qu'il est tout ça. Assez juste. La réaction de ces gens semble être principalement étonnante teintée de détresse: ils lui ont donné quoi? Vous plaisantez.

Sur un autre front de l'argument de catégorie-error se trouvent les Fogeys insupportables qui pensent que le prix [Nobel] est une outrage sur la littérature elle-même. Que le problème n'est pas simplement une erreur peut avoir été commis au sujet des définitions, mais que les horribles vulgariens empiètent sur leurs lieux sacrés. [Bob] Dylan, pour eux, est le signe avant-coureur de la foule basse culturelle; Le dernier d'un nombre sans fin de pailles finales, ou l'extrémité mince d'un coin qui ne semble jamais devenir plus épais.

[Bob] Dylan peut, pour des raisons qui lui sont propres, ne rien faire de tel avec le comité Nobel. Là-haut sur le Parnasse, c'est son indiscutable prérogative. Mais ici sur ma fourmilière, c'est à moi de dire : oh, allez vous faire foutre, snobs ineffables.

Sans musique, il n'y a pas la moindre chance [Bob Dylan] que des mots seraient désormais garantis comme ils le sont.

Regardez, mon cher! Comme c'est adorable. Lorsque Pop Music essaie le plus très dur, il peut être presque aussi bon que Sven Hassel.

[J'ai mon propre avis sur le prix Nobel de Bob Dylan. C'est-à-dire que je suis fermement dans le camp de Nay. Je pense que le prix est une erreur de catégorie, mais ce n'est pas la raison. Pas en soi. Ce qui me dérange, c'est le statut perçu des catégories. Si les paroliers pop étaient systématiquement pris en considération pour le prix, au même titre que les auteurs et les poètes, je continuerais à penser qu'il s'agit d'une erreur, mais je ne m'en soucierais guère. Mais je suis certain que Joni Mitchell et Leonard Cohen, par exemple, tous deux au moins égaux à Dylan en tant qu'écrivains, n'ont jamais été en lice et ne le seront jamais.

La musique pop, à travers ses innombrables itérations, est une forme d'art vaste, incroyable et passionnante. Toute vie est dedans. Il se tient pour lui-même. Il en va de même pour la littérature, mais personne ne se sent obligé de jeter Philip Roth un Grammy juste pour le prouver.

Le sentiment général parmi les Yes est: aucune distinction n'est trop élevée pour leur homme; Et le Nobel étant, littéralement, l'étalon-or parmi les prix, c'est sûrement son [Bob Dylan] dû.

Les oui sont relativement uniformes. Ils considèrent [Bob] Dylan comme l'un des plus grands artistes de son époque ou de toute ère, qui mérite d'être pris aussi au sérieux que n'importe quel littérateur. Là où ils varient, dans certains cas, n'accepter même pas la distinction: Dylan dans leurs yeux est un titan littéraire, et le prix du prix Nobel de littérature est simplement une affirmation officielle de ce qu'ils savaient déjà.

Tout d'abord, il y a ceux qui ne se soucient tout simplement pas de [Bob] Dylan, ou du moins, ne pensent pas qu'il est si génial. Certains des anciens sonnent beaucoup comme s'ils sont affligés du type de contrarialisme élevés par l'orthodoxie culturelle - Dylan est massivement évalué un géant et une merveille, dont ils se sentent être de rigueur; Et plutôt que de juger pour eux-mêmes, ils embrassent la vue opposée.

Le prix [Nobel] est destiné à la littérature. [Bob] Dylan est un auteur-compositeur. C'est là que l'argument commence à devenir intéressant, car c'est là que ce n'est plus une question d'orthodoxie culturelle ou de goût personnel.

Il en va de même pour le classer ainsi contre toute œuvre de littérature. [Bob Dylan] a été fait, sans faute de sa part, l'objet du tokenisme odieux.

Les paroles ne devraient pas avoir besoin de se tenir seules; Beaucoup de [Bob] Dylan's font, mais en commun avec d'autres grands paroliers, il a écrit beaucoup qui vacille sur la page mais s'envole en chanson.

[Bob Dylan] est principalement un artiste d'enregistrement, et s'il ne l'était pas, il est impensable qu'il aurait eu un tel impact. Il doit être entendu en premier et lu en second. Eh bien, qu'en est-il des jeux, vous pourriez raisonnablement demander. [William] Shakespeare n'est-il pas de la grande littérature ? Oui, évidemment : mais son œuvre est de la grande littérature même pour ceux qui ne l'ont jamais connue. Ce n'est évidemment pas le cas de Dylan.

Le [Nobel] Award [de Bob Dylan] n'est pas un affront à la littérature; C'est une insulte de la musique pop. C'est un volant condescendant des cheveux de Pop tout en lui remettant une sucette. Un acte de rayonnage de condescendance dont le message transparent est: "Ce gars, et juste ce gars, il est si bon, il transcende son idiome trivial et s'élève dans notre significatif."

Il n'y a aucune raison - pas encore, de toute façon - croire [Bob] Dylan lui-même approuve une telle attitude; ou qu'il se considérerait comme un destinataire plus profond et plus digne que, par exemple, l'un des brillants paroliers de Motown ou Girl-Groupe qui sont plus susceptibles d'avoir reçu un prix Nobel de chimie que pour la littérature. Qu'il y ait plus de vérité et d'humanité dans ses meilleures paroles que dans ABBA, ou moins, n'est pas quantifiable, et il serait mérétricant de tenter un tel calcul en contestant un argument dans lequel il a été entraîné.

Le fait n'est pas que [Bob] Dylan n'a pas besoin d'un Nobel pour attester de sa qualité (bien qu'il ne le fasse pas.) C'est cette musique pop, la musique pop d'aucune sorte, n'a pas besoin du comité Nobel pour avec le léger éloge d'un tel prix à son seul représentant choisi.

À quel point il est encourageant de savoir que Ken Loach est toujours là-bas pour faire du cinéma polémique engagé, tant que vous n'avez pas à le regarder. Ne vous approchez jamais d'un film de Ken Loach à moins que vous n'essayiez de coucher avec un socialiste. Si vous êtes, cependant, la terre et la liberté devraient faire l'affaire.

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