David Bergen
@davidBergen
L'échec est essentiel. Des essais et des erreurs sont nécessaires.
David Bergen
Auteur
David Bergen est un écrivain canadien né à Port Edward en Colombie-Britannique le 14 janvier 1957.
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Citations
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David Bergen
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Un jour, à mon bureau, j'ai écrit quelques noms, dates et notes, et j'ai écrit un titre, «L'âge du désespoir», puis d'autres «âges» - innocence, dieu, raison, espoir - et j'ai écrit ceci Aussi: «La femme, née en 1930, vit jusqu'à l'âge de 80 ans environ, souffre de dépression, épouse un marchand de voitures, a des enfants qui grandissent pour la confondre».
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J'ai toujours un livre que j'utilise qui inspire en quelque sorte mes romans.
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Je pense qu'un projet de construction pour moi est comme écrire un roman. Je ne peux pas faire le projet à moins que je puisse imaginer la sorte de toute la structure et voir quel pourrait être le résultat final.
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J'ai abandonné l'écriture pendant sept ans (très biblique) et je l'ai repris, toujours sans aucune idée et à la recherche de l'exotique, quand j'avais vingt et un.
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À l'âge de vingt ans, n'ayant rien publié et n'ayant pas eu de conseils dans ma lecture, j'ai décidé que je voulais écrire.
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J'étais un grand lecteur de Zane Gray en tant que jeune garçon, et donc les chevaux et l'Ouest ont figuré grand dans mon imagination.
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Il m'a fallu dix ans pour écrire une histoire appropriée. J'ai pataugé d'essayer de façonner quelque chose, en comptant sur le «sentiment» que j'ai eu comme je l'ai écrit, pour découvrir en relisant mon travail que le sentiment avait disparu, et ce qui restait était un obus vide.
David Bergen
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L'histoire a écrit rapidement. Je l'ai appelé «d'où vous venez» et je l'ai envoyé, car j'avais de nombreuses autres histoires au fil des ans. Sauf que cette fois, j'ai récupéré une lettre disant qu'elle serait publiée. Quelqu'un avait aimé l'histoire. J'avais trente et un ans.
David Bergen
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C'est un peu une contradiction, .. Je suppose que plus la voix est silencieuse, plus il est nécessaire de le pousser. Ça ne va pas vous sauter vers vous et crier. Je ne peux pas non plus contrôler comment un livre est commercialisé. Pour dire que le marketing du livre est agressif, très bien, j'en suis satisfait. Pousser le livre. Cela ne signifie pas que ma personnalité ou mon style d'écriture change.
David Bergen
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Pour moi, quand je «découvre» une histoire, il y a un sentiment de flottabilité et de clarté, peut-être similaire à tôt le matin sur une autoroute des prairies, lorsque l'obscurité se soulève et révèle le contour des fermes et des flics d'arbres au loin.
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Un éditeur est un complice, qui regarde de l'extérieur. Cette vision objective est essentielle. Nous n'écrivons pas dans le vide, et nous ne publions pas dans le vide.
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Un mentor, un «professeur», est comme un éditeur. J'apprécie absolument mon éditeur, qui est mon professeur.
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Bien que j'aimais les livres en tant que jeune garçon, j'aimais encore plus le sport. Je voulais être un quart-arrière dans la LCF.
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Invitez des personnages de caractère surprenant et moral, ou du moins ceux qui se frappent avec ce qui est juste ou ceux qui prennent des décisions qui choquent.
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Un jour, à mon bureau, j'ai écrit quelques noms, dates et notes, et j'ai écrit un titre, «L'âge du désespoir», puis d'autres «âges» - innocence, dieu, raison, espoir - et j'ai écrit ceci Aussi: «La femme, née en 1930, vit jusqu'à l'âge de 80 ans environ, souffre de dépression, épouse un marchand de voitures, a des enfants qui grandissent pour la confondre».
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C'est un peu une contradiction, .. Je suppose que plus la voix est silencieuse, plus il est nécessaire de le pousser. Ça ne va pas vous sauter vers vous et crier. Je ne peux pas non plus contrôler comment un livre est commercialisé. Pour dire que le marketing du livre est agressif, très bien, j'en suis satisfait. Pousser le livre. Cela ne signifie pas que ma personnalité ou mon style d'écriture change.
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Le premier morceau d'écriture accepté est le plus excitant. Aucune autre expérience de publication ne l'a fait correspondre. Peut-être que l'ictère s'installe ou que les attentes sont augmentées, ou que l'on commence à penser que l'on est meilleur que la vérité.
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C'est le travail du romancier: décoller les couches et regarder en dessous.
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Je n'ai peut-être pas écrit les histoires que j'ai écrites si je n'avais pas fini à Niverville. Je ne sais pas; Je ne sais pas. Comment peux-tu savoir?
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En 1989, j'ai eu de la chance avec ma première histoire publiée lorsqu'elle a été sélectionnée pour l'anthologie du prix Journey. Ensuite, j'ai eu de la chance trois fois de plus. Il est étonnant de voir combien d'écrivains publiés dans l'anthologie ont continué à publier de grandes collections et romans d'histoires. L'anthologie est une manne pour l'écrivain et le lecteur.
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Dans ma brève vie d'écriture, cela signifie que j'ai encore de la chance d'avoir au moins un autre roman à terminer. Je ne m'attends pas à ce qu'une histoire arrive simplement parce qu'il est temps d'écrire un autre roman. Cela ne se produit pas de cette façon.
David Bergen
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En 1970, à l'âge de 14 ans, j'ai participé à un concours de nouvelles offrant un grand prix d'un dollar. J'ai gagné. C'était ma première incursion dans l'écriture de fiction. J'ai adoré lire et pensé qu'il ne devrait pas être si difficile d'écrire une histoire.
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L'histoire a écrit rapidement. Je l'ai appelé «d'où vous venez» et je l'ai envoyé, car j'avais de nombreuses autres histoires au fil des ans. Sauf que cette fois, j'ai récupéré une lettre disant qu'elle serait publiée. Quelqu'un avait aimé l'histoire. J'avais trente et un ans.
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J'ai tendance à pousser tout ce qui regarde par-dessus mon épaule lorsque j'écris. C'est une fois que la boîte de livres arrive que je dis que je vais être pilori pour ceci ou cela. Mais alors vous réalisez que c'est fait, et je ne peux rien faire. Je suis fier du livre.
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L'IMPAC est un prix terriblement important.
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Les livres en général sont super, mais je suis un amoureux de la fiction et je continuerai à le faire.
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Dans ma brève vie d'écriture, cela signifie que j'ai encore de la chance d'avoir au moins un autre roman à terminer. Je ne m'attends pas à ce qu'une histoire arrive simplement parce qu'il est temps d'écrire un autre roman. Cela ne se produit pas de cette façon.
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Je soumets généralement un roman à un certain nombre de mots, et lorsque j'ai fini de travailler avec mon éditeur, le roman est plus long que lorsque je l'ai soumis. J'ai besoin de mon éditeur pour m'aider à ouvrir l'histoire.
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C'est un peu une contradiction, .. Je suppose que plus la voix est silencieuse, plus il est nécessaire de le pousser. Ça ne va pas vous sauter vers vous et crier. Je ne peux pas non plus contrôler comment un livre est commercialisé. Pour dire que le marketing du livre est agressif, très bien, j'en suis satisfait. Pousser le livre. Cela ne signifie pas que ma personnalité ou mon style d'écriture change.
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