Quand Morris Schutt, éminent chroniqueur, passe en revue l'année qui vient de s'écouler, il ne voit que des catastrophes. Son fils a été tué en Afghanistan, sa femme, psychiatre de renom, s'éloigne de plus en plus de lui, une de ses filles semble avoir une liaison avec son professeur, et son journal l'a mis en congé pour une durée indéterminée. Que doit faire un homme qui pense, si ce n'est se tourner vers les grands philosophes, en quête des moyens d'être heureux? À moins de prendre contact avec une de ces discrètes « agences de rencontre » ? Ou d'entreprendre une liaison épistolaire avec une femme qui a, elle aussi, perdu son fils à la guerre? Mais trouver la vérité et le bonheur, comme va le constater Morris, n'est pas chose simple... Dans ce roman à la fois mélancolique et mordant, le canadien David Bergen, l'auteur d'Un passé envahi d'ombres et de Loin du monde, dissèque la vie d'un homme à un moment critique de sa vie, et s'impose comme un formidable interprète des complexités de l'âme humaine. « Lumineux, intelligent, provocateur et émouvant. Sans doute le meilleur livre de David Bergen. » The Edmonton Journal

La Mécanique du bonheur

Quand Morris Schutt, éminent chroniqueur, passe en revue l'année qui vient de s'écouler, il ne voit que des catastrophes. Son fils a été tué en Afghanistan, sa femme, psychiatre de renom, s'éloigne de plus en plus de lui, une de ses filles semble avoir une liaison avec son professeur, et son journal l'a mis en congé pour une durée indéterminée. Que doit faire un homme qui pense, si ce n'est se tourner vers les grands philosophes, en quête des moyens d'être heureux ? A moins de prendre contact avec une de ces discrètes "agences de rencontre" ? Ou d'entreprendre une liaison épistolaire avec une femme qui a, elle aussi, perdu son fils à la guerre ? Mais trouver la vérité et le bonheur, comme va le constater Morris, n'est pas chose simple... Dans ce roman à la fois mélancolique et mordant, le canadien David Bergen, l'auteur d'Un passé envahi d'ombres et de Loin du monde, dissèque la vie d'un homme à un moment critique de sa vie, et s'impose comme un formidable interprète des complexités de l'âme humaine.

Quand Morris Schutt, éminent chroniqueur, passe en revue l'année qui vient de s'écouler, il ne voit que des catastrophes. Son fils a été tué en Afghanistan, sa femme, psychiatre de renom, s'éloigne de plus en plus de lui, une de ses filles semble avoir une liaison avec son professeur, et son journal l'a mis en congé pour une durée indéterminée.
Que doit faire un homme qui pense, si ce n'est se tourner vers les grands philosophes, en quête des moyens d'être heureux? À moins de prendre contact avec une de ces discrètes « agences de rencontre » ? Ou d'entreprendre une liaison épistolaire avec une femme qui a, elle aussi, perdu son fils à la guerre? Mais trouver la vérité et le bonheur, comme va le constater Morris, n'est pas chose simple...
Dans ce roman à la fois mélancolique et mordant, le canadien David Bergen, l'auteur d'Un passé envahi d'ombres et de Loin du monde, dissèque la vie d'un homme à un moment critique de sa vie, et s'impose comme un formidable interprète des complexités de l'âme  humaine. 
  « Lumineux, intelligent, provocateur et émouvant. Sans doute le meilleur livre de David Bergen. » The Edmonton Journal

La mécanique du bonheur

"Une preuve de plus, s'il en était besoin, que David Bergen est l'un des meilleurs écrivains du Canada". The Montreal Gazette Au début des années 70, deux adolescents vont se rencontrer alors que tout, ou presque, les sépare. Leur idylle ne durera que le temps d'un été, à l'écart de la "vraie vie" , dans un endroit sauvage au nord de l'Ontario. Les conventions de la société, leurs familles respectives, le poids du passé, tout contredit les sentiments qui peuvent unir Lizzy Bird, une jeune Blanche et Raymond Seymour, un Indien Ojibwé. Dans un monde où les adultes ont perdu leurs repères, ce sont leurs enfants qui paient le prix de leur petitesse et de leurs préjugés. Avec Loin du monde, magnifique roman sur les illusions de l'adolescence et son idéalisme, l'éveil des sentiments et la complexité des relations, David Bergen nous bouleverse. Mais ce qui caractérise avant tout ce livre, c'est la beauté et la force de son écriture. "Une pudeur qui n'empêche pas la force, une délicatesse qui n'interdit pas l'intensité, une émotion d'autant plus forte qu'elle est toujours retenue". Le Figaro

Loin du monde

C'était juste avant l'aube, par une froide matinée.Trois coups secs à la porte qui annoncent cette terrible nouvelle : la mort d'un fils. Pour Paul, le père, c'est un plongeon vertigineux dans le vide, le doute, et bientôt l'absence. Comment survivre à cette perte, à cet événement dévastateur ? De jour en jour, Paul s'isole, pour tenter de comprendre. Jusqu'à cette rencontre inattendue qui le sauvera ou le perdra définitivement. Après Une année dans la vie de Johnny Fehr, le second roman de l'écrivain canadien David Bergen est une magnifique exploration de l'amour et du deuil.Avec une grande subtilité, il saisit ces instants fragiles, ces moments de flottement entre la réalité quotidienne et le vertige de nos existences. Juste avant l'aube est un superbe portrait : celui d'un homme confronté au chagrin, à la culpabilité, prêt à tout pour se racheter, fut-ce au prix de contradictions et d'égarements.

Juste avant l'aube / See The Child

" Il lui prend la main.
Il aime sa crédulité. En un sens, elle lui ressemble, de belles intentions mais une certaine incapacité à les mener à bien. Ce sont les choses de la chair qui les égarent et c'est pour ça qu'ils feraient un mauvais couple. Mais cela n'arrête pas Johnny, en l'occurrence. " Johnny est un homme partagé entre le désir et la culpabilité, qui veut aimer et être aimé pour finalement détruire les femmes qu'il aime.
Histoire d'amour et de rédemption, ce premier roman du jeune écrivain canadien David Bergen saisit avec sobriété et dépouillement le conflit intérieur entre la lumière et l'obscurité, le bien et le mal, le péché et la grâce. Un conflit incarné par le personnage de Johnny Fehr, poignant de vérité.

Une annee dans la vie de johnny fehr

David Bergen est un écrivain canadien né à Port Edward en Colombie-Britannique le 14 janvier 1957.

L'échec est essentiel. Des essais et des erreurs sont nécessaires.

Un jour, à mon bureau, j'ai écrit quelques noms, dates et notes, et j'ai écrit un titre, «L'âge du désespoir», puis d'autres «âges» - innocence, dieu, raison, espoir - et j'ai écrit ceci Aussi: «La femme, née en 1930, vit jusqu'à l'âge de 80 ans environ, souffre de dépression, épouse un marchand de voitures, a des enfants qui grandissent pour la confondre».

J'ai toujours un livre que j'utilise qui inspire en quelque sorte mes romans.

Je pense qu'un projet de construction pour moi est comme écrire un roman. Je ne peux pas faire le projet à moins que je puisse imaginer la sorte de toute la structure et voir quel pourrait être le résultat final.

J'ai abandonné l'écriture pendant sept ans (très biblique) et je l'ai repris, toujours sans aucune idée et à la recherche de l'exotique, quand j'avais vingt et un.

À l'âge de vingt ans, n'ayant rien publié et n'ayant pas eu de conseils dans ma lecture, j'ai décidé que je voulais écrire.

J'étais un grand lecteur de Zane Gray en tant que jeune garçon, et donc les chevaux et l'Ouest ont figuré grand dans mon imagination.

Il m'a fallu dix ans pour écrire une histoire appropriée. J'ai pataugé d'essayer de façonner quelque chose, en comptant sur le «sentiment» que j'ai eu comme je l'ai écrit, pour découvrir en relisant mon travail que le sentiment avait disparu, et ce qui restait était un obus vide.

L'histoire a écrit rapidement. Je l'ai appelé «d'où vous venez» et je l'ai envoyé, car j'avais de nombreuses autres histoires au fil des ans. Sauf que cette fois, j'ai récupéré une lettre disant qu'elle serait publiée. Quelqu'un avait aimé l'histoire. J'avais trente et un ans.

C'est un peu une contradiction, .. Je suppose que plus la voix est silencieuse, plus il est nécessaire de le pousser. Ça ne va pas vous sauter vers vous et crier. Je ne peux pas non plus contrôler comment un livre est commercialisé. Pour dire que le marketing du livre est agressif, très bien, j'en suis satisfait. Pousser le livre. Cela ne signifie pas que ma personnalité ou mon style d'écriture change.

Pour moi, quand je «découvre» une histoire, il y a un sentiment de flottabilité et de clarté, peut-être similaire à tôt le matin sur une autoroute des prairies, lorsque l'obscurité se soulève et révèle le contour des fermes et des flics d'arbres au loin.

Un éditeur est un complice, qui regarde de l'extérieur. Cette vision objective est essentielle. Nous n'écrivons pas dans le vide, et nous ne publions pas dans le vide.

Un mentor, un «professeur», est comme un éditeur. J'apprécie absolument mon éditeur, qui est mon professeur.

Bien que j'aimais les livres en tant que jeune garçon, j'aimais encore plus le sport. Je voulais être un quart-arrière dans la LCF.

Invitez des personnages de caractère surprenant et moral, ou du moins ceux qui se frappent avec ce qui est juste ou ceux qui prennent des décisions qui choquent.

Le premier morceau d'écriture accepté est le plus excitant. Aucune autre expérience de publication ne l'a fait correspondre. Peut-être que l'ictère s'installe ou que les attentes sont augmentées, ou que l'on commence à penser que l'on est meilleur que la vérité.

C'est le travail du romancier: décoller les couches et regarder en dessous.

Je n'ai peut-être pas écrit les histoires que j'ai écrites si je n'avais pas fini à Niverville. Je ne sais pas; Je ne sais pas. Comment peux-tu savoir?

En 1989, j'ai eu de la chance avec ma première histoire publiée lorsqu'elle a été sélectionnée pour l'anthologie du prix Journey. Ensuite, j'ai eu de la chance trois fois de plus. Il est étonnant de voir combien d'écrivains publiés dans l'anthologie ont continué à publier de grandes collections et romans d'histoires. L'anthologie est une manne pour l'écrivain et le lecteur.

Dans ma brève vie d'écriture, cela signifie que j'ai encore de la chance d'avoir au moins un autre roman à terminer. Je ne m'attends pas à ce qu'une histoire arrive simplement parce qu'il est temps d'écrire un autre roman. Cela ne se produit pas de cette façon.

En 1970, à l'âge de 14 ans, j'ai participé à un concours de nouvelles offrant un grand prix d'un dollar. J'ai gagné. C'était ma première incursion dans l'écriture de fiction. J'ai adoré lire et pensé qu'il ne devrait pas être si difficile d'écrire une histoire.

J'ai tendance à pousser tout ce qui regarde par-dessus mon épaule lorsque j'écris. C'est une fois que la boîte de livres arrive que je dis que je vais être pilori pour ceci ou cela. Mais alors vous réalisez que c'est fait, et je ne peux rien faire. Je suis fier du livre.

L'IMPAC est un prix terriblement important.

Les livres en général sont super, mais je suis un amoureux de la fiction et je continuerai à le faire.

Je soumets généralement un roman à un certain nombre de mots, et lorsque j'ai fini de travailler avec mon éditeur, le roman est plus long que lorsque je l'ai soumis. J'ai besoin de mon éditeur pour m'aider à ouvrir l'histoire.

https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Bergen

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