David Maisel
@davidMaisel
La chose qui m'a le plus frappé dans le projet Mount St. Helens n'était pas la dévastation de l'éruption, mais l'industrie de l'exploitation forestière - la terre transformée à cette échelle par les humains.
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La chose qui m'a le plus frappé dans le projet Mount St. Helens n'était pas la dévastation de l'éruption, mais l'industrie de l'exploitation forestière - la terre transformée à cette échelle par les humains.
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Cette expérience d'être à Mt. St. Helen's a été vraiment formatrice. Je ne sais même pas si je serais photographe. Ce fut un moment essentiel pour moi.
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Je tourne encore un film. J'aime ce que fait le film, comment ça fait des choses, aussi, lorsque je tire de l'air, je veux avoir un aussi grand négatif que possible.
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Ce n'est qu'après un certain temps, après avoir photographié des mines et une coupe claire des forêts dans le Maine, que j'ai réalisé que je regardais les composantes de la photographie elle-même. La photographie utilise du papier à base d'arbres, d'eau, de métaux et de chimie. D'une certaine manière, je regardais toutes ces choses qui alimentaient la photographie.
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Ce n'est qu'après un certain temps, après avoir photographié des mines et une coupe claire des forêts dans le Maine, que j'ai réalisé que je regardais les composantes de la photographie elle-même. La photographie utilise du papier à base d'arbres, d'eau, de métaux et de chimie. D'une certaine manière, je regardais toutes ces choses qui alimentaient la photographie.
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J'ai commencé en tant que photographe en noir et blanc, mais les couleurs que je voyais étaient tellement lurides et convaincantes et horribles à la fois. Ils m'ont fait regarder d'autres arts contemporains. Je gravitais de plus en plus vers le travail qui avait un pouvoir viscéral, qui ne faisait pas nécessairement d'être belle mais qui avait une sorte d'horreur dans la palette.
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Les impressions qui en résultent de «l'ombre de l'histoire» rendent l'invisible visible et exprimant à travers la photographie signifie la nature de changement de forme du temps lui-même et la présence continue du passé contenue en nous.
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Je pense que le sentiment d'être un peu dépassé fait presque partie de l'esthétique de l'œuvre.
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Je vis au 20e siècle. J'ai des rivets en cuivre sur mon jean.
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Les impressions qui en résultent de «l'ombre de l'histoire» rendent l'invisible visible et exprimant à travers la photographie signifie la nature de changement de forme du temps lui-même et la présence continue du passé contenue en nous.
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Les étangs de résidus actifs et abandonnés que j'ai photographiés, par exemple, sont étrangement beaux - mais ils sont également remplis de cyanure, qui est utilisé dans la récupération des particules microscopiques d'or à partir des déchets de résidus de mines de cuivre.