John et Dave, deux losers fans de ciné travaillant plus ou moins dans un club vidéo. À un concert, John rencontre un type passablement déglingué, le " Jamaïcain ", qui lui fait essayer une nouvelle drogue. Les effets sont radicaux. En plein " bad trip ", John hallucine sévèrement. Peu rassuré, Dave le conduit à l'hôpital. À la suite de quoi la police leur fait subir un interrogatoire en règle. Il semblerait en effet que tous ceux qui ont pris ce soir-là la drogue du Jamaïcain soient morts ou se soient évaporés. Ensuite, autant vous prévenir : ça devient vraiment chelou. Un téléphone-hot-dog, une balle qui aurait dû tuer mais ne tue pas, une conférence apocalyptique sur le paranormal à Las Vegas, une télé qui vous regarde et tout un tas de rencontres que l'on aimerait qualifier autrement que de " non euclidiennes "... " Ce n'est pas parce que je suis paranoïaque qu'ils ne sont pas tous après moi. "

John meurt à la fin

Ne touchez pas à ce livre. il pique !
Les nouvelles aventures, toujours plus délirantes, de John et Dave !

Une année s'est écoulée depuis les événements décrits dans John meurt à la fin. John (qui n'est donc pas vraiment mort à la fin, et essaie désormais de se dégoter un vrai job) et son copain Dave ont repris le cours de leur existence.
 
Une nuit, une énorme araignée invisible attaque ce dernier dans son lit, puis prend le contrôle de l'officier de police venu enquêter sur l'incident, le transformant en ce qu'il faut bien appeler une saloperie de zombie. Une vague de panique déferle alors et une quarantaine est décrétée.
 
Tandis que David est enfermé dans l'hôpital avec des centaines d'autres victimes présumées et tente de s'enfuir (mais est-ce une si bonne idée ?), John parvient à quitter les lieux et se met en tête de retrouver Amy, la petite amie de son pote. Dès lors, qualifier la situation de chaotique reviendrait grosso modo à expliquer que le bombardement d'Hiroshima était « un peu irritant ».

Ce livre est plein d'araignées

Vous êtes drogué ? cinglé ? paranoïaque ? Vous pouvez lire ce livre, mais nous déclinons par avance toute responsabilité.

Vous êtes drogué ? cinglé ? paranoïaque ? Vous pouvez lire ce livre, mais nous déclinons par avance toute responsabilité.

Sans doute, il existe des gens qui ont déjà fait des trucs plus tarés qu'essayer de résumer ce bouquin. Le souci, c'est que personne ne sait ce qu'ils sont devenus.
Ça commence avec deux potes, John et Dave, deux losers fans de ciné travaillant plus ou moins dans un club vidéo. À un concert, John rencontre un type passablement déglingué, le " Jamaïcain ", qui lui fait essayer une nouvelle drogue. Les effets sont radicaux. En plein " bad trip ", John hallucine sévèrement. Peu rassuré, Dave le conduit à l'hôpital. À la suite de quoi la police leur fait subir un interrogatoire en règle. Il semblerait en effet que tous ceux qui ont pris ce soir-là la drogue du Jamaïcain soient morts ou se soient évaporés. Ensuite, autant vous prévenir : ça devient vraiment chelou. Un téléphone-hot-dog, une balle qui aurait dû tuer mais ne tue pas, une conférence apocalyptique sur le paranormal à Las Vegas, une télé qui vous regarde et tout un tas de rencontres que l'on aimerait qualifier autrement que de " non euclidiennes "...
" Ce n'est pas parce que je suis paranoïaque qu'ils ne sont pas tous après moi. "

OK, vous voulez savoir ce que serait Le Livre sans nom si Hunter S. Thompson l'avait cauchemardé dans la baignoire d'une chambre d'hôtel ? À quoi ressemblerait un roman écrit par Quentin Tarantino et Robert Rodriguez si ces malheureux se servaient de l'humour comme un épileptique d'une mitraillette et se défonçaient à l'acide en pensant gober des smarties ? Vous avez envie de crever de rire en essayant de tourner les pages et de devenir un genre de zombie livrophage ? Bienvenue dans le monde de John : le mec qui risque fort de mourir à la fin.

Lui, c'est David Wong. Son meilleur pote s'appelle John. Fans de ciné, ils bossent dans un vidéoclub minable et, à leurs heures perdues, règlent des "situations inhabituelles". C'est lors d'un concert qu'ils rencontrent le Jamaïcain : un énergumène passablement inquiétant qui fait essayer à John la sauce soja, une drogue aux effets radicaux. L'histoire se termine à l'hôpital, et la police ne tarde pas à s'en mêler : il semblerait en effet que tous ceux qui ont pris ce soir-là la drogue du Jamaïcain soient morts ou aient disparu. On aimerait vous raconter la suite mais on n'est pas tarés, nous. Disons qu'il sera notamment question d'une chienne extralucide, d'un téléphone-hot-dog, d'une balle qui aurait dû tuer mais en fait non, de monstres à faire passer Lovecraft pour un boy-scout atrophié du cortex, d'une conférence apocalyptique sur le paranormal à Las Vegas, d'une télé qui vous regarde et de tout un tas de rencontres non euclidiennes - avec l'apocalypse en potentielle toile de fond.

David Wong, né le 10 janvier 1975 à Lawrenceville dans l'Illinois, est un écrivain américain de science-fiction. Il est le rédacteur en chef du site humoristique Cracked.com (en).

Il n'y a pas de mot dans la langue anglaise pour le sentiment que quelqu'un ressent quand il réalise soudainement qu'ils se tiennent à côté d'un monstre impie imitant un humain. Monstrarisation, peut-être?

J'avais déjà vu ce regard, sur les visages des touristes visitant le dépôt de livre du Texas à Dallas où Lee Harvey Oswald a pris les coups de feu à JFK. J'ai fait cette tournée et j'ai rencontré des buffs de complot, nous nous tenant tous à la fenêtre du tireur et en regardant à l'endroit où le cortège est passé. Il est là sous la fenêtre, un coup facile dans une voiture lente. Pas de mystère, juste un enfant et un fusil et une tragédie. Ils sont venus à la recherche de révélations sombres et terribles et ont plutôt découvert quelque chose de plus sombre et terrible: que leur vie était banale et ennuyeuse.

À ce stade, deux gardes de sécurité âgés en parkas, les gars qui travaillent normalement à la réception de l'usine, ont demandé à John de se placer derrière la bande. John prétend qu'ici, il a dit aux gardes qu'il ne pouvait pas parler anglais et quand cela n'a pas réussi à les persuader, il a simulé une crise violente. Je ne suis pas clair quant au but de cette partie de son plan. John s'est jeté par terre et a commencé à rouler dans la neige, se débattant des membres et criant "EL SEIZURE !!! NON ES BUENO !!!” avec un accent mexicain.

Ce que les humains veulent le plus, c'est avoir raison. Même si nous avons raison sur notre propre destin. Si nous croyons qu'il y a des monstres dans le coin suivant prêt à nous déchirer, nous préférerions littéralement avoir raison sur les monstres, que d'être démontré pour être faux aux yeux des autres et que cela a l'air stupide.

La résolution de l'énigme suivante révélera le terrible secret derrière l'univers, en supposant que vous ne deviendrez pas complètement fou dans la tentative. Si vous connaissez déjà l'érein du secret derrière l'univers, n'hésitez pas à sauter.

Il a fouetté la chaise et a en fait divisé l'une des choses en deux avec l'impact, renversant le spray de sang réfléchissant, comme le mercure. John Bellowsa, "Quelqu'un d'autre veut donner du sang à la chaise?" Il se pencha dans la porte et frappa un monstre dans la perruque, criant: "Il y a un dessert! Avec une chaise sur le dessus!

Tomber amoureux d'une maison ou d'une voiture ou d'une paire de chaussures, c'était une impasse. Vous sauvez votre amour pour les choses qui peuvent vous aimer.

La guerre consiste à refaire le monde en fonction des caprices d'un groupe puissant sur les caprices d'un autre groupe puissant. Les morts ne sont que les étincelles qui volent du métal alors qu'ils le broyent.

... la vie est une bougie vacillante que nous portons tous sur nous. Un coup de vent, un accident insignifiant, une microseconde d'inattention, et elle s'éteint. Pour toujours.

Différentes moralités doivent partager certaines caractéristiques générales si elles veulent remplir leurs fonctions de coordination des êtres ayant des types de motivations particulières. La moralité est une construction culturelle dans quelque chose comme la façon dont les ponts sont. Il n'y aurait pas de ponts à moins que les êtres humains ne les utilisent pour se déplacer à travers des corps d'eaux ou des dépressions sur la terre, mais un bon pont ne peut pas être conçu en fonction du caprice, mais plutôt selon ce qui remplirait adéquatement leur fonction et la nature des matériaux qui sont disponibles pour leur construction.

Ce n'est pas simplement l'individu qui profite et est protégé par les droits, mais la société dans son ensemble. Les libertés protégées à la dissidence et critiquer les personnes au pouvoir aident à garder les abus du pouvoir en échec. Ils luttent contre les tendances des élites à être isolées et ignorantes des personnes qu'ils affectent profondément à travers leurs décisions.

Pour les confuceciens, nous sommes des êtres tellement sociaux que les intérêts individuels et sociaux ne sont pas finalement considérés comme fondamentalement incompatibles. Bien qu'il y ait des conflits, la mission centrale de la philosophie morale et politique est de favoriser des approches qui les rendront compatibles ou si cela n'est pas possible dans certains cas, de garder un équilibre raisonnable afin qu'aucune partie ne soit toujours sacrifiée pour le bien du bien autre.

Il faut reconnaître qu'une proportion croissante de la population mondiale vit dans les villes, dans des environnements presque complètement fabriqués par l'homme. Mais nous devons également reconnaître qu'il y a encore un nombre considérable de personnes qui souhaitent vivre en harmonie avec la nature, et que la mondialisation a rendu leur mode de vie difficile à maintenir.

La mondialisation signifie en partie que beaucoup de gens entrent dans la pièce et, dans certains cas, deviennent des voix influentes ou même dominantes dans la conversation. Parfois, ils sont comme des crasses de fête qui entrent et poussent les gens, ramassant les objets de valeur et mangeant la nourriture dans les frigodes - soudoyant les dirigeants politiques, sapant les économies traditionnelles et les modes de vie qui sont entrelacés par eux, les remplaçant par une nouvelle économie modèles qui exploitent efficacement les pays en développement pour leur travail et leurs ressources.

Je suis sympathique à la forme générale du point de vue d'Aristote: l'exercice de capacités complexes et plus inclusives n'est rien en soi ou devrait nécessairement être valorisée sur des capacités simples et moins inclusives. La valeur dépend plutôt des capacités et des extrémités auxquelles ils sont mis.

Nous pouvons coopérer plus facilement avec ceux qui nous sont plus facilement intelligibles, qui nous sont plus familiers. Mais les avantages de la spécialisation du travail nous poussent souvent dans la direction de travail avec des personnes qui ont des points forts et des points de vue différents de nous. Je pense que c'est l'une des principales raisons pour lesquelles les moralités sont toujours sujettes à changer, car certaines des personnes avec lesquelles nous coopéreront seront différentes de nous d'une manière qui les a souvent conduits à avoir des orientations de valeur différentes de celles-ci; Et interagir avec eux peut nous changer.

La nouvelle technologie n'est pas bonne ou mauvaise en soi. Tout dépend de la façon dont les gens choisissent de l'utiliser.

L'attrait taoïste à la simplicité peut être très attrayant pour beaucoup d'entre nous qui estiment que la vie contemporaine est écrasante. "Moins c'est plus" peut être un appel pour identifier ce dont nous avons vraiment besoin et apprécier pour lui-même, par opposition à ce que nous avons socialisé dans le désir, souvent à notre détriment, ou à consommer par l'activité que nous ne serions jamais Faites pour lui-même mais seulement pour autre chose.

Vous voyez, Frank a découvert à la dure que les choses sombres cachées dans la nuit ne hantent pas de vieilles maisons ou des navires abandonnés. Ils hantent les esprits.

Vous voyez, le temps est un océan, pas un tuyau de jardin. L'espace est une bouffée de fumée, une faillite de nuages.

Et fais attention à Molly. Voyez si elle fait quelque chose d'inhabituel. Il y a quelque chose en quoi je ne fais pas confiance à la façon dont elle a explosé puis est revenue d'entre les morts comme ça.

La situation a une vraie sensation de Lovecraft. Cependant, vous savez, si vous venez, ce sera plus une situation d'Anne Rice. Si vous savez ce que je veux dire. "" Qui est- "" Parce que vous êtes gay.

Cette capacité à voir le bon choix, mais pas avant que plusieurs heures ne se soient écoulées depuis que la mauvaise? C'est ce qui fait d'une personne un idiot, des amis.

Zhuangzi est particulièrement perspicace sur la prétention humaine à savoir. Le Zhuangzi raconte une histoire sur une grenouille qui vit bien dans les cavaliers. Parce qu'il est le seigneur de ce petit monde de son, roi des Pollywogs, il est très fier de lui. Mais il ne sait pas à quel point son monde est petit jusqu'à ce qu'une tortue vienne et lui parle de l'immensité de la mer. Nous, les êtres humains, sommes comme la grenouille, ne réalisant pas à quel point nos mondes sont peu.

J'ai vu une fois Arnold Schwarzenegger tuer un homme dans un film en attrapant sa tête et en le tordant jusqu'à ce que le cou se casse. Était-ce difficile? Un homme pourrait-il le faire sans beaucoup de pratique?

Ses oeuvres

Ses derniers livres