Dean Potter est un alpiniste, grimpeur, équilibriste et parachutiste américain né le 14 avril 1972 aux États-Unis et mort le 16 mai 2015  lors d'un accident de wingsuit au parc national de Yosemite (Californie). 
Il est connu pour ses escalades solo, sa pratique du BASE jump et du free base, c'est-à-dire grimper en solo intégral, mais avec un parachute. Il est aussi connu pour ses ascensions au Yosemite et en Patagonie.

Faire des choses avec de graves conséquences, que ce soit la mort ou que je me mangage sérieusement, me met dans un état hyper-conscient et est devenu une dépendance pour moi.

Je veux que ma santé soit parfaite lorsque je pousse le bord.

Je pense que tout le monde a le rêve de voler au moins une fois dans sa vie. Pour moi, ça fait encore et encore un rêve récurrent. C'est surtout ça. Ce désir d'être aussi libre que les oiseaux, d'être sans entrave. J'ai commencé comme - et je suis toujours - un grimpeur solo gratuit. Donc, être dans l'air est une énorme peur de la mienne. Il y a donc une combinaison d'aller vers ma peur et d'être fasciné par l'air.

Quand je vais sans être attaché, les sentiments que je glisse, je meurs, me submerge totalement. Je suis après le sentiment de contrôle total. Je suis après cela dans toute la vie, et pour l'instant c'est comme ça que je le trouve.

Chaque fois que j'ai des difficultés, je me concentre sur la respiration, sur une respiration détendue.

Je passe plus de temps avec un murmure qu'avec n'importe qui d'autre. Je l'ai choisie à l'âge de trois ou quatre jours, je l'ai eu depuis qu'elle avait neuf semaines. C'est une mini-chien de bétail australien; Les chiens de bétail doivent avoir un travail et son travail ne fait que marcher après moi.

J'ai toujours été un peu solitaire. Je semble prendre plus de temps seul que la personne moyenne.

Faisée par le vol d'un corbeau, je regarde son ombre se déplacer sans effort contre le granit doré et chatoyant. Je désire être aussi libre, volant au-dessus du monde encombré de la normalité, où tant de gens sont à moitié vivants.

Monter pour moi, c'est être libre. C'est juste pour bouger et être décomplété et ressentir et puiser dans la connexion avec la nature.

Pour une raison quelconque, le saut de base est mal compris et notre gouvernement l'interdit et le rend illégal dans la plupart des endroits du pays. Je suis donc en quelque sorte un criminel ici aux États-Unis pour avoir poursuivi le rêve de vol, mais partout ailleurs, tous les autres pays, je suis en quelque sorte admiré ou fasciné pour le vol que je fais.

Je n'ai jamais essayé d'être le leader. Tout ce sur quoi je me concentre, c'est grimper.

Je peux me calmer par une volonté intense, et aussi par la simple capacité de me concentrer dans la situation la plus dangereuse sur la respiration et rien d'autre.

Je ne ferais jamais de film juste pour faire un film.

Quand je pense à faire quelque chose, je pense: Vais-je survivre à un million d'un million de fois?

Les gens pensent que pour que la nature soit sacrée, vous devez vous en séparer.

L'homme qui peut voler" illustre ma quête d'un véritable vol humain. Cette quête de l'inconnu et la poursuite de rêves qui peuvent ou non être réalisés sont les principes les plus importants que nous dépeignons dans le National Geographic Special.

La mort de dépliants aussi qualifiés comme mon très bon ami Sean Leary me fait voir que s'il y a une question de sécurité, il vaut toujours mieux attendre ou descendre.

Je pense que le rêve de mon père était vraiment d'avoir une bonne famille, de les traiter bien, de les garder ensemble, et il a fait tout ce qui est en son pouvoir et cela s'est simplement effondré sur lui.

Une partie de moi dit que c'est un peu fou de penser que vous pouvez piloter votre corps humain. Une autre partie de moi pense que nous avons tous eu le rêve que nous pouvons voler. Pourquoi ne pas le poursuivre?

Nous appelons les Rangers «l'outil». Ce sont juste un outil d'outil de la machine gouvernementale. Ils n'utilisent pas leur propre esprit.

Ça va faire mal si je tombe. Je ne veux pas faire face à cela, je veux prouver que cela peut être fait pendant une longue vie, jusqu'à ce que je sois un vieil homme.

Je me considère comme un grimpeur de roche mais la définition de l'escalade comme cela a changé.

Je n'ai pas de pensée d'une vie après la mort. Je pense que mourir, c'est comme quand tu aswat une mouche - c'est fini.

J'avais un style unique, je ne me souciais pas de la façon dont les choses se faisaient dans le passé, et je faisais juste ce qui me semblait naturel, «pas de règles».

Chaque fois que je sors et fais quelque chose, Hans panique et commence à essayer de me battre. Il est comme un chien qui vous bosse la jambe.

Je ne suis pas si doué pour m'asseoir sur le sol et méditer.

J'ai commencé des routes plus dures et plus difficiles, ce qui me prouve que je pouvais prendre le contrôle de cela, à peu près la plus grande peur que j'ai eu - en tombant à ma mort.

Quand je fais des choses où la mort pourrait être une réelle conséquence, cela me donne envie de vivre correctement.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dean_Potter

Ses oeuvres