Deborah Butterfield
@deborahButterfield
Qu'est-ce que vous craignez le plus en entendre parler de votre travail?
Deborah Butterfield
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@deborahButterfield
Qu'est-ce que vous craignez le plus en entendre parler de votre travail?
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La transformation de la maladie, illustrée par le cas du diabète, est un concept précieux et élégant qui nous rappelle que la feuille de décompte pour la science médicale doit transporter une colonne de débit ainsi que du crédit.
@deborahButterfield
Mon travail ne concerne pas si ouvertement le mouvement. Les gestes de mes chevaux sont vraiment assez calmes, car les vrais chevaux se déplacent tellement mieux que je ne pouvais faire semblant de faire bouger les choses. Pour les pièces que je fais, le geste est vraiment plus dans le corps, c'est comme un geste intériorisé, qui concerne plus le contenu, l'état d'esprit ou d'être à un instant donné. Et donc c'est plus comme une peinture ... le geste et le mouvement sont à peu près contenus dans le corps.
@deborahButterfield
Mon travail ne concerne pas si ouvertement le mouvement. Les gestes de mes chevaux sont vraiment assez calmes, car les vrais chevaux se déplacent tellement mieux que je ne pouvais faire semblant de faire bouger les choses. Pour les pièces que je fais, le geste est vraiment plus dans le corps, c'est comme un geste intériorisé, qui concerne plus le contenu, l'état d'esprit ou d'être à un instant donné. Et donc c'est plus comme une peinture ... le geste et le mouvement sont à peu près contenus dans le corps.
@deborahButterfield
Dans les années 1970, j'ai fait des chevaux à partir de vraies boue et de bâtons. Ils étaient en partie destinés à refléter à quel point un cheval fait partie de son environnement. J'ai combiné la figure et le sol.