Deborah Cavendish, duchesse de Devonshire
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Le père était un bon conducteur et aimait conduire, mais la vue d'une femme en charge d'un véhicule était parfois trop pour lui. Si une voiture se rapprochait ou faisait la plus petite erreur avec les règles de la route, il a crié, "chauffeur de femme explosive", à laquelle ma mère était souvent capable de dire, avec la vérité, "une chose drôle, elle est habillée en homme".
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Le mot «manquant» est particulièrement cruel, partant comme il fait une lueur d'espoir que la personne se présente en sécurité et bien, même dans les circonstances les plus condamnées. Au fil des jours, cela devient de plus en plus improbable et pourtant et pourtant ...
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Récemment, un jeune journaliste est venu m'interviewer sur ce que je faisais le jour où la guerre a éclaté. Au cours de l'interview, j'ai raconté la mort de mon seul frère, le seul frère de mon mari, un beau-frère et mes quatre meilleurs amis. "Alors", a-t-elle dit, la guerre vous a-t-elle affectée d'une manière ou d'une autre?
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Deborah, duchesse de Devonshire, raconte sa décision de quitter son mari après des décennies de lutte avec son alcoolisme. Plusieurs jours plus tard, il lui a écrit: "Le miracle s'est produit; j'ai réalisé qu'en plus de toutes les souffrances que j'avais causées, je n'étais pas mon propre maître. J'ai décidé que cet esclavage devait s'arrêter une fois pour toutes." Et ça l'a fait.
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Nos sous-vêtements étaient des gilets et des culottes en laine et une concoction extraordinaire, mais apparemment nécessaire, appelée un corsage Liberty, qui n'avait aucune liberté, alors comment il a obtenu son nom, je ne peux pas imaginer. Il était fait de choses dures, avec ici et là des sangles et des boutons qui n'ont rien fait.