Deborah Turbeville
@deborahTurbeville
J'ai un instinct pour trouver l'emplacement étrange, le visage licencié, l'atmosphère étrange, l'humeur opprimée.
Deborah Turbeville
Deborah Lou Turbeville, née le 6 juillet 1932 à Stoneham, Massachusetts, et morte le 24 octobre 2013 à Manhattan, est une photographe de mode américaine. Ses photographies caractérisées par des compositions étranges et hors du temps et par le grain de ses images, et réalisées dans le cadre de ses collaborations avec des magazines de mode, comme Vogue, et des campagnes publicitaires pour des marques telles que Valentino, ont participé du renouveau dans la photographie de mode. Jusqu'à sa disparition, elle vivait entre Mexico, New York, Paris et Saint-Pétersbourg, où elle enseignait la photographie.
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@deborahTurbeville
J'ai un instinct pour trouver l'emplacement étrange, le visage licencié, l'atmosphère étrange, l'humeur opprimée.
@deborahTurbeville
Souvent, il y avait de grosses erreurs, mais je montrais au directeur artistique et il disait, oui, allons-y. Il y aurait un recadrage étrange ou une fille nette et trois en dehors ou un flou. Mais je finirais par aimer les erreurs et les incorporer dans mon travail. Et je suis devenu connu pour ça.
@deborahTurbeville
En ces temps, le goût esthétique est rejeté comme non pertinent. Eh bien, je suis pervers, pour cette raison, je suis plus attiré que jamais. J'ai été décrit comme ayant du style, d'être un photographe maniéré ... c'est la querelle de certaines personnes avec mon travail et la fascination des autres.
@deborahTurbeville
Je ne considère pas [mes] photographies de photographies de mode. Les photographies étaient pour la mode, mais en même temps, ils avaient une arrière-pensée, quelque chose de plus à voir avec le monde en général.
@deborahTurbeville
Sur mes photos, vous ne savez jamais, c'est le mystère. C’est juste une suggestion et vous laissez le public à mettre ce qu’il veut. C'est la mode déguisée.