Lady Chatterley's Lover is a novel by D. H. Lawrence written in 1928.

Printed privately in Florence in 1928, it was not printed in the United Kingdom until 1960 (other than in an underground edition issued by Inky Stephensen's Mandrake Press in 1929). Lawrence considered calling this book Tenderness at one time and made significant alterations to the original manuscript in order to make it palatable to readers. It has been published in three different versions.

The publication of the book caused a scandal due to its explicit sex scenes, including previously banned four-letter words, and perhaps because the lovers were a working-class male and an aristocratic female.

The story is said to have originated from events in Lawrence's own unhappy domestic life, and he took inspiration for the settings of the book from Ilkeston in Derbyshire where he lived for a while. According to some critics the fling of Lady Ottoline Morrell with "Tiger", a young stonemason who came to carve plinths for her garden statues, also influenced the story.

Lady Chatterley's Lover

This fascinating volume contains a collection of travel writings by D. H. Lawrence, first published after his death in 1932. In this text Lawrence compares the vibrant world of the Etruscan civilisation with the dilapidation of Benito Mussolini's Italy during the late 1920s. The Etruscan civilisation is the relatively modern moniker given to the civilisation originating from ancient Italy in the areas of modern Tuscany, western Umbria, and northern Lazio. Not much is known of the Etruscans, and in this fascinating exploration of their culture Lawrence pieces together what he can in order to furnish a unique insight into this lost race. The chapters of this volume include: D. H. Lawrence, Cervereri, Targuinia, The Painted Tombs of Tarquinia, Vulci, and Volterra. We are republishing this antiquarian volume now complete with a new prefatory biography of the author.

Etruscan Places

Éperdu, en fuite après un grave incident, un soldat se réfugie chez la timide servante à laquelle il est fiancé. D'abord partagée entre son sens du devoir et son amour, la jeune fille finit par s'abandonner...L'auteur de L'Amant de lady Chatterley nous offre trois portraits de femmes prisonnières des convenances, mais aussi de leurs désirs.

L'épine dans la chair

The prussian officer and other stories

Roman quasi autobiographique, il s'agit d'un jeune homme, Paul Morel, qui malgré l'amour que peuvent lui porter certaines jeunes femmes, ne consent à se séparer de sa mère. Un amour pesant qui l'éloigne de toute indépendance affective à l'égard de sa mère.

Amants et fils

Dans ce roman, deux couples affrontent le problème de l'amour et du mariage. Le plus brillant, formé de l'artiste Gudrun et du superbe Gérald, finira par une mort dramatique. Le second, qui unit Ursule, la petite institutrice, et Birkin, l'inspecteur d'école infirme, ira dans la direction du bonheur. Comme L'Amant de lady Chatterley, cette grande oeuvre romanesque fit scandale et dut attendre quatre ans avant de trouver un éditeur.

Femmes amoureuses

D. H. Lawrence visited Etruria in April, 1927. It was his "last pilgrimage". There sprang from it a documentary account which is both literary guide and spiritual testament, a global vision of the Etruscan civilization.

Promenades étrusques

À travers l'histoire de trois générations de femmes, Lydia, Anna et Ursula, D. H. Lawrence livre le premier volet de sa grande fresque des femmes amoureuses. Dans l'Angleterre de la fin du XIX&esur; siècle, en pleine mutation, qui, progressivement, passe d'un monde rural à la société industrielle, Ursula Brangwen réalise enfin les aspirations de sa mère et de sa grand-mère, et incarne une jeune femme moderne accédant enfin à la pleine conscience d'elle-même.Paru en 1915, L'arc-en-ciel est immédiatement censuré et interdit, en raison d'«outrances» qui paraissent aujourd'hui bien timides. D. H. Lawrence, par la force d'un art qui est toujours au plus près de la vie, par la volonté presque forcenée de rendre compte de ce qui se passe au plus profond d'un être, n'a de cesse de «proclamer que les mystères et les passions de la chair sont aussi sacrés que les mystères et les passions de l'esprit».

L'Arc-en-ciel

Même le vrai scientifique travaille dans le sens de l'émerveillement. La pitié est que lorsqu'il sort de son laboratoire, il met de côté sa merveille avec son appareil et essaie de le rendre parfaitement didactique.

Une femme doit vivre sa vie ou vivre pour se repentir de ne pas l'avoir vécu.

Le moi vivant n'a qu'un seul but: entrer dans sa propre plénitude de l'être.

J'aime écrire quand je me sens malveillant. C'est comme avoir un bon éternuement. (Lettre à Cynthia Asquith, novembre 1913)

Ses oeuvres

Ses derniers livres