Diana Nyad est née le 22 août 1949, c'est une nageuse américaine qui, le 2 septembre 2013 a relié Cuba à la Floride (Key West) en 52 heures, 54 minutes et 18 secondes.

Si vous voulez toucher assez mal l'autre rivage, sauf une situation impossible, vous le ferez. Si votre désir est dilué pour une raison quelconque, vous ne le réussirez jamais.

Je pense que 60, c'est quand beaucoup de gens ont atteint leur apogée. Nous élitons beaucoup de nos présidents dans la soixantaine. À cet âge, les gens sont pleins d'idées et de leur mieux. Je voulais creuser dans mon potentiel et faire ressortir mon meilleur moi.

Je pense que je vais sur ma tombe sans nager de Cuba à la Floride.

Vous ne dites pas simplement à quelqu'un de sortir et de gagner le match de tennis. Vous dites «bougez vos pieds» ou «regardez le fuzz sur le ballon» pour vraiment entrer dans le zen. Vous rassemblez tout cela, puis vous pourriez bien tenir la plaque de Wimbledon ... il ne s'agit pas de gagner la première place, mais d'apporter chaque élément d'effort à tout ce que vous faites.

L'intégrité et l'estime de soi acquises en remportant la bataille contre l'extrémité sont les trésors les plus riches de ma vie

Il y a tellement d'audace dans la vie de cette façon, et nous avons tout fait, et personne ne peut nous l'éloigner.

Vers la 50e heure, j'allais commencer à penser au bord de l'univers. Y a-t-il un bord? Est-ce une enveloppe dans laquelle nous vivons, ou non, va-t-elle à l'infini dans le temps et dans l'espace ? Et il n'y a rien comme nager pendant 50 heures dans l'océan qui vous fait penser à des choses comme ça.

Quand je monte sur ce rivage en Floride, je veux que des millions de ces sœurs et frères AARP me regardent et disent: «Je vais aller écrire ce roman, je pensais qu'il était trop tard pour faire. Je vais travailler en Afrique dans cette ferme dans laquelle ces gens ont besoin d'aide. Je vais adopter un enfant. Il n'est pas trop tard, je peux toujours vivre mes rêves.

Lorsque vous réalisez vos rêves, ce n'est pas tant ce que vous obtenez, c'est qui vous devenez.

Vous avez un rêve et vous avez des obstacles devant vous comme nous le faisons tous. Aucun de nous ne passe jamais à travers cette vie sans chagrin, sans agitation, et si vous croyez et que vous avez la foi et vous pouvez vous faire renverser et vous remettre et vous croire à la persévérance comme une grande qualité humaine, vous trouvez votre chemin.

Écrivez ce roman. Démarrez cette entreprise que vous avez toujours voulu. Le sommet ultime de la vie est l'engagement à poursuivre quelque chose.

Il n'est pas trop tard, je peux toujours vivre mes rêves.

Chaque être humain sur cette planète a sa douleur et son chagrin et c'est à nous tous de retrouver notre chemin vers la lumière.

Tout est authentique. C'est une grande histoire. Vous avez un rêve il y a 35 ans - ne vous concrétise pas, mais vous avancez avec la vie. Mais c'est quelque part là-bas. Ensuite, vous avez 60 ans, et votre maman meurt, et vous cherchez quelque chose. Et le rêve sort de votre imagination.

L'animal le plus venimeux qui vit dans l'océan est la méduse de la boîte. Et chacun de ces barbes envoie ce venin dans ce système nerveux central. Alors d'abord, j'ai envie de bouillir de l'huile chaude dans laquelle j'ai été plongé. Et je crie: «Feu! Feu! Feu! Feu! Aide-moi! Quelqu'un m'aide!' Et la prochaine chose est la paralysie.

Il y a quelques jours où je mangerai 8 000 calories par jour, un jour avant une baignade de 12, 14, 18 heures. Pour une femme de 61 ans, c'est beaucoup! Et j'essaie de ne pas manger trop de sucre raffiné - biscuits, desserts, ce genre de choses.

"J'ai trois messages", a déclaré Nyad, essoufflée : "Le premier est qu'il ne faut jamais abandonner. Deuxièmement, on n'est jamais trop vieux pour poursuivre ses rêves. Et le troisième, c'est qu'il s'agit d'un sport solitaire, mais qu'il faut une équipe".

Vous n'êtes jamais trop vieux pour poursuivre votre rêve.

J'ai nagé. Nous l'avons fait, notre équipe, des rochers de Cuba à la plage de la Floride, à la mode éthique et grinçante.

La natation est probablement l'ultime des sports épuiseurs.

Beaucoup d'athlètes ont ce genre d'invincibilité : [La méduse] devrait s'inquiéter pour moi. Je ne m'inquiète pas pour eux. Je vais juste nager à travers eux.

Je veux voir tous les pays du monde et apprendre toutes les langues. Je veux avoir des milliers d'amis et je veux que tous mes amis soient différents. Je veux jouer six instruments. Je veux être le meilleur du monde à deux choses. Je veux être un grand athlète et je veux être un grand chirurgien. J'ai besoin de m'entraîner très fort tous les jours. J'ai besoin de dormir le moins possible. J'ai besoin de lire au moins un livre majeur chaque semaine. Et je dois me rappeler que mes soixante-dix ans vont passer trop rapidement.

Je m'intéresse à l'inconnu, et le seul chemin vers l'inconnu est de briser les barrières, un processus souvent douloureux.

Je ne veux pas être la folle qui le fait pendant des années, des années et des années, et essaie et échoue et essaie et échoue et essaie et échoue, mais je peux nager de Cuba à la Floride, et je nagerai de Cuba à la Floride .

L'esprit est plus grand que le corps. Le corps est pathétique par rapport à ce que nous avons en nous

En nageant, en particulier à vous entraîner dans l'océan et les eaux libres, vous avez des lunettes embuées, vous êtes coincé avec vos propres pensées - il y a de grands avantages à cela, une profonde pensée comme celle-là après de nombreuses heures, mais il y a aussi une énorme solitude. Vous vous épuisez. Vous voulez courir, sauter, skier, faire n'importe quoi. Donc, à 30 ans, j'avais fini.

Il n'y a ... rien de plus de plus que de toucher le rivage après avoir traversé un grand plan d'eau en sachant que je l'ai fait avec mes deux bras et jambes.

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