Dimitar D. Sasselov (en bulgare Димитър Д. Съселов), né en 1961, est un astronome bulgare vivant aux États-Unis. Il est professeur d'astronomie à l'université Harvard et directeur de la Harvard Origins of Life Initiative. En 2002, Sasselov était à la tête du groupe de chercheurs qui ont découvert la planète connue la plus éloignée dans la Voie lactée.

Nous nous soucions des planètes comme la Terre, car nous avons maintenant compris que la vie en tant que système chimique a vraiment besoin d'une planète plus petite avec de l'eau et des rochers et avec beaucoup de chimie complexe à provenir, à émerger, à survivre.

Mes parents m'ont donné un petit télescope, puis j'ai construit le mien, et une chose en a conduit à une autre. C'est ainsi que j'ai fini par passer d'un astronome de passe-temps à un astronome professionnel.

Il y a un immense potentiel puissant dans la vie dans cet univers - surtout maintenant que nous savons que des endroits comme la terre sont communs. Et ce potentiel, ce puissant potentiel, est aussi notre potentiel, de vous et de moi.

La question que nous posons est - s'il y a la vie sur d'autres planètes, si nous nous attendons à ce qu'elle soit basée sur les mêmes molécules, c'est-à-dire être universelles - ou si nous nous attendons à ce qu'elle dépend des conditions locales, c'est-à-dire de la géochimie de la planète. Donc, pour le savoir, nous essayons des expériences sur les biomolécules, en commençant par de telles conditions de géochimie.

La vie est extrêmement résiliente une fois qu'elle s'installe, mais elle nécessite une chimie riche, de grandes sources d'énergie et une stabilité, dès le début. La planétologie comparative de notre système solaire donne l'impression que ces conditions initiales sont difficiles à trouver.

J'ai grandi en Bulgarie dans une petite ville sur la côte de la mer Noire, donc j'étais très intéressé par la mer, la vie marine et tout ce qui y est lié. Mais c'était aussi un endroit très sombre la nuit, donc je pouvais voir les étoiles. Et je me suis très intéressé à cela.

Lorsque nous découvrirons la nouvelle Terre - une planète que nous pourrions appeler chez nous - la question de la pluralité des mondes viendra avant et au centre, nous rappelant encore une fois que nous ne sommes pas le centre de l'univers.

En science, il est rare qu'un changement transformationnel se produise au cours de nos vies.

Les gens pensent assez souvent à la question «sommes-nous seuls dans l'univers? En termes d'autres civilisations: des formes de vie qui ont atteint au moins notre niveau de développement technologique.

Il est possible de rencontrer d'autres formulaires de vie sensibles et de mener le commerce avec eux. Nous n'avons plus la technologie pour voyager physiquement en dehors de notre système solaire pour qu'un tel échange ait lieu, mais nous sommes comme Columbus il y a des siècles, apprenant rapidement à obtenir un endroit où peu de gens pensent possible.

Lorsque nous découvrirons une nouvelle Terre - une planète que nous pourrions appeler chez nous - la question de la «pluralité des mondes» arrivera devant et au centre, nous rappelant encore une fois que nous ne sommes pas le centre de l'univers.

Nous aimons notre planète Terre. Nous devrions - c'est notre maison, et il n'y a pas d'endroit comme la maison. Il ne peut jamais y avoir de meilleur endroit que la Terre.

Il est génial de découvrir une planète, comme toute découverte de la science, sauf qu'elle a plus de sensation d'exploration - vous pouvez y retourner et le regarder. Cependant, je ne peux jamais visiter.

Lorsque nous pensons à ce qui est nécessaire pour le phénomène que nous appelons la vie, nous pensons à la compartimentation, en gardant les molécules qui sont importantes pour la vie dans une membrane, isolée du reste de l'environnement, mais pourtant, dans un environnement dans lequel ils pourrait provenir.

Les planètes océaniques peuvent être très courantes dans l'univers car l'eau est très courante dans les environnements à basse température où les planètes se forment et évoluent. Cela pourrait être particulièrement vrai pour les super-terrains, qui peuvent conserver plus facilement les volatiles grâce à leur masse et leur gravité de surface plus importantes.

La vie et l'univers se comparent les uns aux autres comme un enfant et un parent, un parent et une progéniture.

Des explications profondes et élégantes concernent les phénomènes naturels ou sociaux et l'observateur n'a souvent pas sa place.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dimitar_Sasselov

Ses oeuvres