Le Père Dominique Pire, né Georges Charles Clément Ghislain Pire le 10 février 1910 à Leffe près de Dinant en Belgique, et décédé  le 30 janvier 1969 à Louvain en Belgique, est un prêtre et religieux dominicain belge qui reçut le prix Nobel de la paix en 1958 pour son travail en faveur des réfugiés après la Seconde Guerre mondiale.

De quel bien une autre conférence sur la paix serait-elle? La paix n'est pas quelque chose sur laquelle donner des conférences, mais quelque chose à mettre en pratique.

Nous devons faire un pont de confiance basé sur la moralité naturelle et élémentaire qui correspond à la nature de l'homme et qui serait respectée par tous les hommes. Je suis peut-être naïf là-dedans, mais je pense qu'il vaut mieux être naïf que sceptique.

Agir sans connaissance, c'est la folie, savoir sans agir, c'est la lâcheté.

Il n'y a peut-être pas de route plus sûre vers la paix que celle qui commence des petites îles et des oasis de véritable gentillesse, des îles et des oasis qui se développent constamment en nombre et se réunissant continuellement jusqu'à ce qu'ils finissent par sonner le monde.

Le vainqueur inconnu d'une ville inconnue, située dans un pays inconnu, est l'homme.

Que l'on ait remporté ou non le prix Nobel, chacun de nous vivant en contact avec nos semblables ressent une responsabilité conjointe pour toutes les formes de souffrance, à la fois physiques et morales.

Ne parlons pas de tolérance. Ce mot négatif implique des concessions à contrecœur par les consciences suffisantes. Parlons plutôt de la compréhension mutuelle et du respect mutuel.

Grâce à l'amour, nous nous approchons du cœur de nos frères - au début, tout au long de la fin de notre vie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique_Pire

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