The life of one of the greatest British Prime Ministers - by an author who knows the scene from his years as a senior Minister in Margaret Thatcher's Cabinet.
Robert Peel (1788-1850), as much as any man in the nineteenth century, transformed Great Britain into a modern nation. He invented our police force, which became a model for the world. He steered through the Bill which allowed Catholics to sit in Parliament. He reorganised the criminal justice system. Above all he tackled poverty by repealing the Corn Laws. Thanks to Peel the most powerful trading nation chose free trade and opened the door for our globalised world of today.
Peel was not all politics. He built two great houses, filled them with famous pictures and was devoted to a beautiful wife. Many followers never forgave him for splitting his Party. But when in 1850 he was carried home after a fall from his horse crowds gathered outside, mainly of working people, to read the medical bulletins. When he died a few days later, factories closed, flags flew at half-mast and thousands contributed small sums to memorials in his honour. He was the man who provided cheap bread and sacrificed his career for the welfare of ordinary people.

Robert Peel

Noisy popular liberal interventionism? Or a more conservative, diplomatic approach concentrating on co-operation between nations? This is the debate that lies at the heart of modern politics and Hurd traces its most interesting and influential exponents.
He starts with Canning and Castelreagh in post Waterloo Britain; to a generation later, the victory of the interventionist Palmerston over Aberdeen; then to Salisbury (Imperialism) and Grey (European balance of power); and finally to Eden and Bevin who combined to lay the foundations of a post-war compromise.
That delicate balance has served its purpose for over half a century, but as we enter a new era of terrorism and racial conflict, the old questions and divisions are re-surfacing . . .

Choose Your Weapons

Certaines personnes ont du mal à discuter avec une femme Premier ministre et à se ratatiner.

La guerre contre l'Irak court le risque de transformer le Moyen-Orient en un terrain de recrutement inépuisable pour le terrorisme anti-occidental.

Ten Downing Street est une maison, pas un bureau. C'est sa caractéristique la plus importante.

Mais l'Allemagne souffrira toujours, je le crains, du caractère intensément dramatique des crimes du Troisième Reich.

Nous, en Grande-Bretagne et en Allemagne, ne pouvons pas être heureux de notre gestion de la guerre en Irak.

Il n'y a rien de faux ou d'un arrogant dans la fierté allemande pour les compétences techniques et commerciales allemandes.

Margaret Thatcher avait peur de l'unification allemande parce qu'elle pensait que cela apporterait une augmentation immédiate et formidable de la force économique à une Allemagne qui était déjà le partenaire économique le plus fort d'Europe.

Il n'y a pas encore de consensus aujourd'hui sur les mérites de Napoléon - et certainement aucun accord sur les droits et les torts des origines de la Première Guerre mondiale.

La diplomatie est démodée dans le monde de la réaction instinctive et la morsure du son dogmatique à la télévision.

Des hommes comme Hitler et Staline et leurs lieutenants immédiats ne peuvent pas plaider pour défendre leurs actions que ceux-ci étaient justifiés par les valeurs acceptées de cette époque.

Les deux premiers premiers ministres que j'ai servi, Ted Heath et Margaret Thatcher ont tiré des leçons étonnamment différentes de la Seconde Guerre mondiale.

La tragédie du 11 septembre a galvanisé la superpuissance américaine, nous laissant en Europe divisé dans son sillage.

L'histoire ne fournit aucune directive précise.

Les gens savent qu'ils manquent de quelque chose, ils veulent constamment une sorte de guidage spirituel.

C'est essentiellement pour l'autodéfense que nous sommes allés à la guerre en Afghanistan et que nous allions en guerre en Irak.

Je me trompe peut-être là-dedans, mais non, je pense à poser les questions. Dans notre démocratie moderne, le gouvernement n'a pas besoin d'un unanime mais d'un soutien général à la guerre avant de ordonner à nos forces de combattre.

Margaret Thatcher, grandissant dans une Grande-Bretagne bombardée et battu, a tiré une méfiance qui a grandi avec les années non seulement de l'Allemagne mais de toute l'Europe continentale.

Nous devons admettre que l'histoire est agréable dans une large mesure car elle nous permet de porter un jugement sur le passé.

Le silence est considéré comme une sorte de péché maintenant, et il doit être rempli de beaucoup de potins et de sonores.

Nous devrions nous méfier des politiciens qui prétendent suivre l'histoire tout en ne remarquant que ces panneaux d'histoire qui pointent dans la direction qu'ils favorisent eux-mêmes.

Malgré ce manque d'équilibre lamentable dans notre éducation, je ne pense pas que les enfants ou les adultes de mon pays soient imprégnés par une hostilité généralisée en Allemagne.

Mais cela ne peut pas s'ensuivre que parce que des armes et des troupes sont maintenant déployées, nous sommes obligés d'entrer en guerre.

Aucun calendrier militaire ne devrait obliger la guerre lorsqu'un résultat réussi, à savoir un Irak désarmé peut être possible sans guerre, par exemple en permettant plus de temps aux inspecteurs de l'ONU.

Il est normal pour les politiciens de tous les pays de se professer les élèves de l'histoire, soucieux de tirer les bonnes leçons de son enseignement.

Un Irak véritablement démocratique pourrait bien servir d'aiguillon.

Cela dépend de la façon dont cela se fait, mais dans ce que nous dérivons, c'est que les gens grandissent sans aucun sens d'une dimension spirituelle à la vie, c'est simplement l'appauvrissement.

Ses oeuvres

Ses derniers livres