Edward Hirsch
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@edwardHirsch
L'éducation de style cafétéria, combinée à la réticence de nos écoles à imposer les demandes aux élèves, a entraîné une diminution constante des informations couramment partagées entre les générations et entre les jeunes eux-mêmes.
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Après la mort de mon grand-père, je suis descendu au sous-sol de ma maison familiale où ma famille gardait des livres, des anthologies et des choses et il y avait une anthologie sans aucun nom qui lui était attaché et j'ai lu un poème appelé Spellbound et je l'ai en quelque sorte attaché à la mort de mon grand-père et je pensais que mon grand-père l'avait écrit.
@edwardHirsch
J'ai l'idée que la poésie lyrique est une poésie motivée par le sens de la présence de la mort. Qu'il y a quelque chose d'insubable dans le fait que nous allons mourir et que nous ne pouvons pas le supporter et je pense que vous le découvrirez dans l'enfance et que vous ne l'avez pas vraiment - du moins je l'ai découvert dans l'enfance et je l'ai trouvé Difficile de surmonter.
@edwardHirsch
Lisez des poèmes à vous-même au milieu de la nuit. Allumez une seule lampe et lisez-les pendant que vous êtes seul dans une pièce autrement sombre ou pendant que quelqu'un d'autre dort à côté de vous. Lisez-les lorsque vous êtes éveillé tôt le matin, entièrement alerte. Dites-les à vous-même dans un endroit où le silence règne et le vacarme de la culture - le bruit de bourdonnement constant qui nous entoure - s'est momentanément arrêté. Ces poèmes sont venus d'une grande distance pour vous trouver.
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Gertrude Stein a dit: "J'écris pour moi et les étrangers." Je dirais que j'écris pour moi-même, des étrangers et les grands morts.
@edwardHirsch
Je dirais que les gens ont besoin d'aide avec la poésie parce que je pense que la poésie nous aide à nous emmener dans des endroits où les Américains ne sont pas toujours habitués à aller.
@edwardHirsch
Mais c'était le début, même si je n'ai pas commencé à écrire avant d'être au lycée et quand j'étais au lycée, j'ai vraiment commencé à écrire de la poésie avec une grande énergie et un enthousiasme.
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Et parfois, vous regardez les premiers poèmes de quelqu'un et vous dites: "Ils ont de la fraîcheur et un sentiment d'émerveillement qui n'est plus jamais recapturé par ce poète."
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Je faisais une fois une période de questions et réponses avec la romancière Jane Smiley dans une librairie et quelqu'un nous a demandé quels étaient nos processus et Jane a dit le sien, puis j'ai dit le mien et Jane a dit: "Eh bien, si j'avais un étudiant comme ça. D le force à ne plus jamais écrire comme ça parce que vous ne pourriez plus jamais écrire un roman dans la façon dont vous écrivez de la poésie. "
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J'ai été fasciné au fil des ans au fait de se refroidir le travail. Pensez, disons, des refrains dans les ballades de Yeats. Idéalement, chaque fois que le refrain revient dans un poème, il est à la fois identique et différent. Il fonctionne par contrepoint et réitération. Il accumule le sens.
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Gertrude Stein a dit: "J'écris pour moi et les étrangers." Je dirais que j'écris pour moi-même, des étrangers et les grands morts.
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Et c'était le titre du 13 août pendant la majeure partie du chemin, puis vers la fin, à un moment donné, j'ai eu l'idée que ce serait peut-être un titre un peu fade et j'ai eu l'idée de gratitude sauvage, ce que je suis très fier comme titre. Donc, je pense que cela fonctionne mieux lorsque vous le trouvez dans le processus.
@edwardHirsch
Et chaque année, il y a un bref moment surprenant quand nous nous arrêtons au milieu d'une longue marche à la maison et ressentons quelque chose d'invisible et de toxicant en avançant nos épaules, balayant les airs: c'est le vent d'automne qui pressent contre notre corps; c'est la lumière changeante de l'évolution de la lumière de l'automne tombant sur nous.
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Je n'ai jamais considéré la poésie dans la province exclusivement de la littérature anglaise et américaine et j'ai découvert une grande quantité de lecture de la poésie polonaise et d'autres poèmes d'Europe de l'Est et lisant la poésie russe et la lecture de la poésie latino-américaine et espagnole et j'ai toujours trouvé des modèles dans ceux Autres poéties de poètes qui pourraient m'aider sur mon chemin.
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Un roman se déroule dans le temps. C'est un récit historique, et il doit avoir une série de pics et de vallées et le passage. Vous ne pouvez pas simplement commencer au ton le plus élevé et y rester, mais vous pouvez le faire dans un poème lyrique.
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Lisez des poèmes à vous-même au milieu de la nuit. Allumez une seule lampe et lisez-les pendant que vous êtes seul dans une pièce autrement sombre ou pendant que quelqu'un d'autre dort à côté de vous. Lisez-les lorsque vous êtes éveillé tôt le matin, entièrement alerte. Dites-les à vous-même dans un endroit où le silence règne et le vacarme de la culture - le bruit de bourdonnement constant qui nous entoure - s'est momentanément arrêté. Ces poèmes sont venus d'une grande distance pour vous trouver.
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Je veux dire, quand j'étais jeune, je pouvais écrire toute la nuit et j'ai adoré travailler tard dans la nuit. Maintenant que je suis plus âgé, je travaille très bien tôt le matin lorsque vos synapses tirent un peu mieux. Mais je travaille à différents moments de la journée.
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Mais c'était le début, même si je n'ai pas commencé à écrire avant d'être au lycée et quand j'étais au lycée, j'ai vraiment commencé à écrire de la poésie avec une grande énergie et un enthousiasme.
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Mais, quelque chose doit être travaillé à travers formellement et émotionnellement. Maintenant, quand ces deux choses se réunissent, j'ai quelque chose, je pense, dont je peux être fier.
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Je marche avec Federico Garcia Lorca dans l'Upper West Side à Manhattan parce que c'était un quartier dans lequel il vivait et j'imagine que Paris avec Cesar Vallejo, un grand poète péruvien qui vivait à Paris. Et je crée en quelque sorte la promenade comme une sorte de drame de mon apprentissage.
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Et c'était le titre du 13 août pendant la majeure partie du chemin, puis vers la fin, à un moment donné, j'ai eu l'idée que ce serait peut-être un titre un peu fade et j'ai eu l'idée de gratitude sauvage, ce que je suis très fier comme titre. Donc, je pense que cela fonctionne mieux lorsque vous le trouvez dans le processus.
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Un stress sur le système et je pense une chose douloureuse pour de nombreux jeunes poètes qui cherchent à trouver une vie dans la poésie qu'ils ne pourront pas trouver.
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Mais, les meilleurs moments que j'ai trouvés, dans ma vie, sont tard dans la nuit ou tôt le matin et je pense que c'est parce que vous êtes en dehors du royaume social.
@edwardHirsch
Je pense que le côté obscur des programmes MFA est qu'ils génèrent plus de poètes que la culture ne peut absorber et qu'il y a plus de gens qui écrivent de la poésie que de le lire ou peuvent certainement gagner sa vie.
@edwardHirsch
Et quand mon deuxième livre est sorti, "Wild Gratitude", je suis allé à la classe de Pearl London et elle a travaillé sur différentes ébauches de poèmes et il y avait les ébauches de mon poème, "Wild Gratitude", et j'ai vu que j'avais commencé le poème avec le titre "13 août."
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Je faisais une fois une période de questions et réponses avec la romancière Jane Smiley dans une librairie et quelqu'un nous a demandé quels étaient nos processus et Jane a dit le sien, puis j'ai dit le mien et Jane a dit: "Eh bien, si j'avais un étudiant comme ça. D le force à ne plus jamais écrire comme ça parce que vous ne pourriez plus jamais écrire un roman dans la façon dont vous écrivez de la poésie. "
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Après la mort de mon grand-père, je suis descendu au sous-sol de ma maison familiale où ma famille gardait des livres, des anthologies et des choses et il y avait une anthologie sans aucun nom qui lui était attaché et j'ai lu un poème appelé Spellbound et je l'ai en quelque sorte attaché à la mort de mon grand-père et je pensais que mon grand-père l'avait écrit.
@edwardHirsch
La rêverie est l'une des principales sources de poésie - un poème commence souvent comme une Daydream qui trouve son chemin dans la langue - et la marche semble apporter une sorte de vigilance différente, une sorte de pensée associative, un état d'esprit dérivant.
@edwardHirsch
Il est très important pour moi d'être un poète américain, un poète juif, un poète qui est devenu majeur dans les années 1960.
@edwardHirsch
J'ai essayé de me souvenir tout au long de la fait que la poésie est faite par des êtres humains chair et sang. C'est un art sanglant. Il vit sur une échelle humaine et prospère lorsqu'il est passé de main à la main.