"Il allait faire ce à quoi personne ne s'attendait. Il allait investir son argent dans Birnam Wood." 

UN THRILLER POLITIQUE ET PSYCHOLOGIQUE PAR L'AUTRICE DU BEST-SELLER INTERNATIONAL LES LUMINAIRES.

Un grand naïf, une militante écologiste, un milliardaire aux ambitions démesurées. De quels compromis, de quels renoncements seront-ils capables à l'heure où leurs idéaux sont mis à l'épreuve ?

Birnam Wood

Nouvelle-Zélande, 1866. En pleine ruée vers l’or, l’île voit débarquer sur ses côtes tout ce que la vieille Europe compte d’ambitieux et de désespérés. Parmi eux, Walter Moody, un jeune Britannique bien décidé à faire fortune. Mais une étrange assemblée l’attend dans le petit hôtel où il a trouvé refuge. Là, douze hommes du cru tiennent une réunion secrète pour tenter d’élucider des faits étranges qui agitent la communauté. Un notable a disparu, une prostituée a tenté de mettre fin à ses jours, et on a découvert une immense fortune dans la maison d’un pauvre ivrogne, mort lui aussi. Moody succombe bientôt à l’irrésistible attrait du mystère et se retrouve plongé dans un entrelacs d'intrigues où la fièvre de l’or est reine.

Les Luminaires

Nouvelle-Zélande, 1866. En pleine ruée vers l’or, l’île voit débarquer sur ses côtes les ambitieux et les désespérés. Parmi eux, le jeune Britannique Walter Moody se retrouve à son insu au cœur d’une réunion secrète tenue dans son hôtel. Là, douze hommes que tout oppose essaient d’élucider des faits étranges qui ont récemment agité la communauté : dans la même nuit, un riche chercheur d’or a disparu, une prostituée a tenté de mettre fin à ses jours et un pauvre ivrogne est mort chez lui en possession d’une immense fortune. Moody succombe alors à l’irrésistible attrait d’un mystère aux mille et un arcanes, aussi vertigineusement envoûtant qu’un ciel étoilé.Formidable entrelacs d’intrigues dont l’ambitieuse construction emprunte à l’astrologie, Les Luminaires se déploie en harmonie avec le mouvement des planètes tel un horoscope funeste, dévoilant dans ses ramifications un inoubliable roman d’amour, une histoire de fantômes, des jeux de pouvoirs et quelques énigmes insolubles.Avec cette fresque lumineuse, Eleanor Catton s’est imposée comme l’étoile montante de la littérature mondiale et a remporté, à 28 ans seulement, le prix Man Booker et le Prix littéraire du Gouverneur général.Traduit de l’anglais par Erika Abrams

Un scandale éclate dans un lycée de jeunes filles : M Saladin, le professeur de musique est renvoyé pour avoir entretenu des relations coupables avec l'une de ses élèves, Victoria.
Les camarades de classe de l'adolescente et sa jeune soeur se confient tour à tour à leur professeur de saxophone. Toutes sont en émoi, comme brusquement propulsées dans un monde de désir, de choix, de fantasmes dont elles pressentent obscurément qu'ils forgent la vie tout entière. Les adultes, englués dans leurs angoisses et leur lâcheté, essaient tant bien que mal d'endiguer l'onde de choc. L'affaire agite les conversations jusqu'à l'obsession et l'école de théâtre locale finit même par l'adapter en pièce de fin d'année, brouillant définitivement les frontières entre réalité et fiction.
En cours de saxophone ou sur les planches, les jeunes personnages expérimentent leur propre désir et celui d'autrui. En sortiront-ils indemnes ? De cette affaire tristement banale, Ellie Catton tire un formidable roman d'apprentissage - juste, bouleversant et, surtout, extrêmement original.

La répétition

Un scandale éclate dans un lycée de jeunes filles : M Saladin, le professeur de musique, est renvoyé pour avoir entretenu des relations coupables avec l'une de ses élèves, Victoria. Les camarades de classe de l'adolescente et sa jeune sœur se confient tour à tour à leur professeur de saxophone. Toutes sont en émoi, comme brusquement propulsées dans un monde de désir, de choix, de fantasmes dont elles pressentent obscurément qu'ils forgent la vie toute entière. Les adultes, englués dans leurs angoisses et leur lâcheté, essaient tant bien que mal d'endiguer l'onde de choc. L'affaire agite les conversations jusqu'à l'obsession et l'école de théâtre finit même par l'adapter en pièce de fin d'année, brouillant définitivement les frontières entre réalité et fiction. En cours de saxophone ou sur les planches, les jeunes personnages expérimentent leur propre désir et celui d'autrui. En sortiront-ils indemnes ? De cette affaire tristement banale, Eleanor Catton tire un formidable roman d'apprentissage - juste, bouleversant et, surtout, extrêmement orignal.

La Répétition

Un scandale éclate dans un lycée de jeunes filles : M. Saladin, le professeur de musique, est renvoyé pour avoir entretenu des relations coupables avec l'une de ses élèves, Victoria. Les camarades de classe de l'adolescente et sa jeune soeur se confient tour à tour à leur professeur de saxophone. Toutes sont en émoi, comme brusquement propulsées dans un monde de désir, de choix, de fantasmes dont elles pressentent obscurément qu'ils forgent la vie tout entière. Les adultes, englués dans leurs angoisses et leur lâcheté, essaient tant bien que mal d'endiguer l'onde de choc. L'affaire agite les conversations jusqu'à l'obsession et l'école de théâtre locale finit même par l'adapter en pièce de fin d'année, brouillant définitivement les frontières entre réalité et fiction. En cours de saxophone ou sur les planches, les jeunes personnages expérimentent leur propre désir et celui d'autrui. En sortiront-ils indemnes ? De cette affaire tristement banale, Ellie Catton tire un formidable roman d'apprentissage - juste, bouleversant et, surtout, extrêmement original.

Un scandale éclate dans un lycée de jeunes filles : M. Saladin, le professeur de musique, est renvoyé pour avoir entretenu des relations coupables avec l'une de ses élèves, Victoria. Les camarades de classe de l'adolescente et sa jeune sœur se confient tour à tour à leur professeur de saxophone. Toutes sont en émoi, comme brusquement propulsées dans un monde de désir, de choix, de fantasmes dont elles pressentent obscurément qu'ils forgent la vie toute entière. Les adultes, englués dans leurs angoisses et leur lâcheté, essaient tant bien que mal d'endiguer l'onde de choc. L'affaire agite les conversations jusqu'à l'obsession et l'école de théâtre finit même par l'adapter en pièce de fin d'année, brouillant définitivement les frontières entre réalité et fiction. En cours de saxophone ou sur les planches, les jeunes personnages expérimentent leur propre désir et celui d'autrui. En sortiront-ils indemnes ? De cette affaire tristement banale, Eleanor Catton tire un formidable roman d'apprentissage - juste, bouleversant et, surtout, extrêmement orignal.

Eleanor Catton, née le 24 septembre 1985 à London en Ontario (Canada), est une écrivaine néo-zélandaise.

C'est moins amusant de parler de ce que je ressens plutôt que de ce que je pense. Dire «Je me sens génial» n'est pas vraiment intéressant ou interrogateur.

La fiction est censée être immersive et censée être divertissante et narrative, donc les structures doivent être enterrées un peu. S'ils viennent trop au premier plan, cela cesse d'être de la fiction et commence à être de la poésie - quelque chose de plus concret et hors du temps.

Je préfère de loin un roman tracé à un roman vraiment conceptuel.

Le théâtre est un concentré de vie comme d'habitude. Le théâtre est une version purifiée de la vraie vie, une extraction, une essence de comportement humain qui est plus étrange et plus tragique et plus parfaite que tout ce qui est ordinaire à propos de moi et de vous.

Je pense que, en principe, un atelier est une si belle idée - un environnement dans lequel les écrivains qui sont collectivement apprentis dans le métier d'écriture peuvent se réunir afin de s'améliorer collectivement.

Ma mère était bibliothécaire pour enfants, alors j'ai passé beaucoup de temps dans la bibliothèque. Ma vie en lecture, en raison du travail de ma mère, a été uniformément divisée entre les auteurs américains, canadiens, australiens et britanniques.

Il y a beaucoup de gens de ma génération dans la littérature néo-zélandais, de jeunes écrivains dans leurs premier ou deuxième livres, qui me passionnent vraiment. Il semble y avoir un grand écart entre la génération ci-dessus et nous; Il semble être assez radicalement différent en termes de forme et d'approche.

"The Luminaries" est un livre tellement différent de "The Rehearsal". Il n'y a que deux choses qui relient les deux livres : il y a une certaine préoccupation à regarder les relations de l'extérieur, à être exclu de l'intimité humaine ; et puis il y a la structuration.

Le défi que je me suis mis pour moi était de voir si l'intrigue et la structure pouvaient coexister ou pourquoi c'est que nous devions toujours privilégier les uns au-dessus de l'autre.

Mon père est un Américain expatrié; Il est tombé amoureux de la Nouvelle-Zélande dans sa jeunesse et n'est jamais rentré chez lui.

Je n'avais jamais lu de romans victoriens avant d'aller à l'étranger. J'ai lu une poignée d'auteurs, mais je ne m'étais pas immergé dans la littérature du 19e siècle.

Mon deuxième roman, «The Luminaries», se déroule dans les ruée vers l'or néo-zélandais des années 1860, bien que ce ne soit pas vraiment un roman historique au sens conventionnel. Jusqu'à présent, je l'ai décrit comme «un mystère de meurtre astrologique».

Ce que je voulais créer avec `` les luminaires '', c'est un livre qui avait des modèles structurels construits dans ce qui n'a pas d'importance, mais si vous vous souciez d'eux, vous pouvez regarder le livre et les voir.

J'ai grandi sur l'île sud de la Nouvelle-Zélande, dans une ville choisie et aimée par mes parents pour sa proximité avec les montagnes - Christchurch est à deux heures de la selle usée du col d'Arthur, le village de montagne qui était et est le spirituel de mon père Touchstone, sa chapelle et sa cathédrale à l'état sauvage.

J'ai observé que les écrivains masculins ont tendance à se demander ce qu'ils pensent et les femmes ce qu'elles ressentent ", dit-elle. À quel point ils ont de la chance d'être là où ils sont - sur la chance et l'identité et comment l'idée les a frappés. Les interviews beaucoup plus rarement s'engagent avec la femme en tant que penseur sérieux, philosophe, en tant que personne ayant des préoccupations qui les soutiendront toute leur vie.

Je n'ai pas l'impression que la littérature a le pouvoir d'aliéner. Je pense que c'est quelque chose que les gens ressentent s'ils ne se connectent pas avec une œuvre d'art. Mais je ne pense pas qu'une œuvre d'art puisse rejeter activement la personne qui la regarde ou la lit.

Je pense que c'est ce qu'est l'écriture de fiction. Il s'agit d'essayer de résoudre des problèmes de manière créative.

Une chose intéressante à propos de la Nouvelle-Zélande, vous savez, la littérature, c'est qu'elle n'a pas vraiment commencé avant le 20ème siècle.

Le lectorat des romans victoriens, lorsqu'ils ont été publiés, était beaucoup moins diversifié. Les gens étaient probablement blancs et avaient assez d'argent pour être alphabétisé. Très souvent, il y a des phrases en italien, en allemand et en français qui ne sont pas traduites.

C'est une marque de la profondeur de leurs blessures qu'ils prétendent l'avoir soupçonné depuis le début. Tout ce qu'ils ont vu et ont été informés de l'amour jusqu'à présent a été une perspective intérieure, et ils ne sont pas préparés au poids écrasant de cette exclusion. Il se pose maintenant à quel point ils n'ont jamais vu et combien ils étaient peu recherchés, et avec cette naissance vient une réinvention douloureuse de soi en tant que périphérique, non invitée et tout à fait mineure.

En recherchant «les luminaires», j'ai lu beaucoup de crimes du 20e siècle. Mes favoris étaient James M. Cain, Dassiell Hammett, Raymond Chandler et Graham Greene et Patricia Highsmith.

Quand j'écrivais «The Luminaries», j'ai lu beaucoup de romans criminels parce que je voulais comprendre lesquels m'avaient fait aller: «Ah! Je ne savais pas que ça allait!

Une femme tombée n'a pas d'avenir ; un homme ressuscité n'a pas de passé.

Ne sous-estimez jamais à quel point il est extrêmement difficile de comprendre une situation du point de vue d'une autre personne.

Je suis une Balance. Je suis heureux d'être un signe d'air, mais je pense que j'ai un peu trop d'air dans mon graphique dans son ensemble - un peu plus d'eau serait utile, surtout dans ma vie personnelle, en tant que contrepoids émotionnel à toute cette abstraction.

Les livres qui ont vraiment eu un impact sur moi n'étaient pas fixés en Nouvelle-Zélande. Certains étaient des romans néo-zélandais, mais leur Nouvelle-Zélande n'était pas ce qui m'a porté ou m'excitait.

Le prestige est-il conféré par le prix de l'homme Booker pour le livre ou moi? Je le préférerais au livre et pour moi d'être traité normalement.

Toute description d'une personne qui vient de l'extérieur est très difficile à gérer. Les gens n'aiment pas être résumés. C'est agréable de recevoir un compliment, mais cela me met un peu mal à l'aise.

La bonne façon de comprendre tout système social était de le voir d'en haut.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Eleanor_Catton

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