Dans ces nouvelles douces amères, Elizabeth Bowen ― qui fut comparée à Jane Austen ou à Virginia Woolf ―, glisse derrière le paravent des bonnes manières l’indifférence ou la cruauté d’une amie, d’une sœur, d’une jeune nièce. Sous les conversations anodines couvent des passions inavouées, où parfois s’invite l’ombre d’un fantôme…

Petits Bavardages sans importance

Publié en 1938, sixième roman d'Elizabeth Bowen, Les Coeurs détruits demeure le plus connu de son auteur. À travers le portrait de Portia, orpheline de seize ans recueillie à contre-coeur à Londres par  son demi-frère Thomas et sa belle-soeur Anna,  la romancière trace un portrait poignant de l'amour adolescent et de la trahison de l'innocence. Perdue dans une demeure luxueuse mais vide d'émotions, la naïve Portia s'attache au protégé d'Anna, Eddie, un jeune séducteur insouciant. Tous les deux, dans ce monde policé des années 30, sont un peu des exclus, et leur rencontre ne peut que bouleverser une société prompte à dissimuler la cruauté des rapports humains derrière la rigidité des conventions.

Les coeurs détruits

Trois anciennes camarades de classe se retrouvent après s'être perdues de vue quelque cinquante années plus tôt. Elles s'étaient séparées d'un cœur léger l'été de leurs dix ans, en se jurant, face à la vie qui s'annonçait de décrocher monts et merveilles. Un demi-siècle plus tard, tout annonce qu'elles ont " réussi ". Dicey, veuve et mère de famille apparemment comblée, est devenue une drôle de vieille dame indignes hantée par le passage du temps. Sheikie est professeur d'université. Mumbo dirige une chaîne de magasins. Mais. regardant en arrière et retrouvant l'absence de complaisance qui est celle des enfant, elles réalisent qu'elles ont bel et bien raté leur vie...
Sort-on jamais de l'enfance ? Et si l'on pense un jour en sortir, est-ce pour aller quelque part . Ces questions ; Elizabeth Bowen, sans doute en son siècle la plus sûre Héritière de Jane Austen et de Virginia Woolf, les soulève... et se garde bien sûre d'y répondre, car nos certitudes sont les plus grandes ennemies de nos émotions.

Les Petites Filles - Occasion

Trois anciennes camarades de classe se retrouvent après s'être perdues de vue quelque cinquante années plus tôt. Elles s'étaient séparées d'un cœur léger l'été de leurs dix ans, en se jurant, face à la vie qui s'annonçait, de décrocher monts et merveilles. Un demi-siècle plus tard, tout proclame qu'elles ont "réussi" leur existence mais, reportant leur regard en arrière, elles ne peuvent s'empêcher de se dire qu'elles l'ont bel et bien ratée-les adultes, sur ce chapitre-là, sont tellement plus indulgents avec eux-mêmes que les enfants... Sort-on jamais de l'enfance? Et si l'on pense un jour en sortir, est-ce pour aller quelque part? Pour aller où? Ces questions, Elizabeth Bowen (1899-197:3) -sans doute en son siècle la plus sûre héritière de Jane Austen et de Virginia Woolf-les pose (à peine). Et se garde bien sûr d'y répondre. Nos certitudes sont les plus grandes ennemies de nos émotions. Publié en 1903, Les Petites filles, que tous les amoureux d'Elizabeth Bowen considèrent connue l'un de ses plus grands romans, était depuis des années absent des librairies de langue française.

Les petites filles

Dernier automne est un mélange réussi de comédie sociale et de descriptions tout en finesse de l'âme humaine.
 Un brillant récit de la vie des anglo-irlandais au début des troubles en irlande dans les années 20.  le tableau d'un monde voué à sa perte dans une unité de temps et de lieu - le manoir familial, le mois de septembre - sur fond d'atmosphère politique particulière.  par intérêt et tradition, la famille de " danielstown " et ses invités sont du côté des anglais, mais ils ont des liens affectifs avec les résistants alentour.
 Sur fond d'embuscades et d'incendies, les tennis parties et les bals continuent ! loïs, l'héroïne, est une jeune femme de la transition.  le temps n'est pas immobile, le destin s'approche de cet endroit encore immunisé ; un soudain accès de violence et les plus jeunes seront désespérément libres, les plus âgés simplement désespérés.

Dernier automne

Dernier automne est un mélange réussi de comédie sociale et de descriptions tout en finesse de l'âme humaine. Un brillant récit de la vie des Anglo-Irlandais au début des troubles en Irlande dans les années 20. Le tableau d'un monde voué à sa perte dans une unité de temps et de lieu - le manoir familial, le mois de septembre - sur fond d'atmosphère politique particulière. Par intérêt et tradition, la famille de " Danielstown " et ses invités sont du côté des Anglais, mais ils ont des liens affectifs avec les résistants alentour. Sur fond d'embuscades et d'incendies, les tennis parties et les bals continuent ! Loïs, l'héroïne, est une jeune femme de la transition. Le temps n'est pas immobile, le destin s'approche de cet endroit encore immunisé ; un soudain accès de violence et les plus jeunes seront désespérément libres, les plus âgés simplement désespérés.

Dernier Automne

L'amant démoniaque - Occasion

Petits bavardages sans importance

Elizabeth Bowen, née le 7 juin 1899 à Dublin et morte le 22 février 1973 à Londres, est une romancière et nouvelliste irlandaise.

J'ai pitié des gens qui ne se soucient pas de la société. Ils sont plus pauvres pour l'oblation qu'ils ne font pas.

Mais en général, aux fins de la plupart des romanciers, le nombre d'objets vraiment nécessaires. . Le décès d'une scène se trouvera très petit.

Les personnages devraient dans l'ensemble, être sous plutôt que trop articulé. Ce qu'ils ont l'intention de dire devrait être plus évident, plus frappant (en raison de sa plus grande importance intérieure pour l'intrigue) que de ce qu'ils arrivent à dire.

La passion de la vanité a ses propres profondeurs dans l'Esprit et est puissamment militante.

Le dialogue devrait transmettre un sentiment de spontanéité mais éliminer la répétitivité des discussions réelles.

Un homme romantique se sent souvent plus édifié avec deux femmes qu'avec une seule : son amour semble atteindre la cible idéale quelque part entre deux visages différents.

Je soupçonne les victimes; Ils gagnent à long terme.

Souvent, lorsque j'écris, j'essaie de faire en sorte que les mots fassent l'œuvre de ligne et de couleur. J'ai la sensibilité du peintre à la lumière. Une grande partie de mon écriture est une peinture verbale.

La raison ne peut jamais réconcilier à la vie: rien n'allame les désirs que l'on ne peut expliquer.

Nous sommes mineurs dans tout sauf nos passions.

... il me semble que les problèmes, inhérents à toute écriture, prennent une ampleur démesurée lorsqu'on se projette dans l'avenir. Si rien n'est facile, peu de choses sont impossibles.

Le pardon devrait être un acte, mais c'est un État avec lui.

L'imagination de mon genre est la plus prise, la plus licenciée, la plus travaillée par les inconnues: j'ai Thrivenon les changements et les chances, les dislocations et les contrôles qui ont inventé tant de ma vie.

Si un thème ou une idée est trop proche de la surface, le roman devient simplement un tractus illustrant une idée.

Le dialogue devrait montrer les relations entre les gens.

Toutes les vérités poétiques n'ont-elles pas été déjà énoncées? L'essence d'une vérité poétique est qu'aucune déclaration ne peut être définitive.

Les écrivains ne trouvent pas les sujets: les sujets les trouvent. Il n'y a pas tant de recherches qu'un état de sensibilité ouverte.

Les sacrifiateurs ne sont pas ceux qui ont pitié. Ceux qui ont pitié sont ceux qu'ils sacrifient.

L'automne arrive tôt le matin, mais le printemps à la fin d'une journée d'hiver.

Je sais que j'ai dans mes couches de maquillage d'expériences synthétiques, et que les plus puissantes de mes souvenirs ne sont qu'à moitié vraies.

Nous désertons ceux qui nous déserte; Nous ne pouvons pas nous permettre de souffrir; Nous devons vivre comment nous pouvons.

Certaines idées, comme les pissenlits dans les pelouses, frappent de manière ténacieusement: vous pouvez retirer le haut, mais la racine reste, abat des ventouses et peut même pousser à nouveau.

D'après mon expérience, une chose que vous n'apportez pas est quelque chose que quiconque est mis en place pour être une leçon; Ce que vous devez savoir que vous prenez au fur et à mesure.

Ceci, mon premier [vélo] avait une beauté intrinsèque. Et cela m'a ouvert une époque, sauf vol, qui traverse vide la théâtre, la commune de lame d'or améliorée. Rien depuis n'a égalé cette liberté d'oiseaux.

Le silence était assis dans le taxi, comme si un étranger était entré.

Le style est la chose qui est toujours un peu bidon, et en même temps que vous ne pouvez pas écrire sans style.

Si vous regardez la vie dans un sens, il y a toujours une cause d'alarme.

L'enfant vit dans le livre; Mais autant que le livre vit dans l'enfant.

Rien n'arrive sur le papier comme il a commencé, et tant d'arrive qui n'a jamais commencé. Écrire, c'est toujours rave un peu-même si l'on savait une fois ce que l'on voulait dire

https://fr.wikipedia.org/wiki/Elizabeth_Bowen

Ses oeuvres

Ses derniers livres