Professionnellement, j'ai réalisé mon premier film à 20 ans dans une zone de guerre au Kosovo.

Mes parents sont tous deux des immigrants et nous avons beaucoup voyagé.

En son cœur, «Meru» est une histoire personnelle.

Les meilleurs grimpeurs du monde avaient tenté cette montée et ne pouvaient pas le faire. Cette histoire est ce qui rend Meru spécial.

J'ai eu la chance de venir d'une famille qui soutenait mes rêves.

« Free Solo » n'a rien à voir avec la politique, pour ainsi dire, mais pourquoi le public y réagit-il autant qu'il l'a fait ? Je pense que c'est parce que nous donnons aux gens l'occasion de voir quelqu'un. De plus, il est capable de se connecter lorsque vous pensez qu'il ne pourrait pas se connecter. C'est un répit.

Grandir biracial et parler quatre langues - français, chinois, portugais et anglais - m'a donné un objectif différent. J'ai toujours été très conscient de venir d'un point de vue différent. Je pense que cela a vraiment contribué à ce que j'ai choisi de faire de ma vie.

J'ai toujours cherché à donner des opportunités aux femmes, aux personnes qui viennent d'un milieu différent, à ajouter de la diversité au mélange - en ce sens que je pense que cela améliore notre travail.

Les documentaires nécessitent une énorme quantité de grain et d'empathie - et c'est quelque chose que les femmes sont incroyablement fortes.

Vous espérez juste que vos enfants trouvent ce qu'ils aiment faire et respecter la loi et prendre de bonnes décisions. Le mieux que vous puissiez faire est de leur inculquer de telles valeurs.

Je n'étais pas étranger à risquer moi-même, après avoir fait des documentaires dans des conditions dangereuses au Kosovo, en Afghanistan et en Afrique.

La mission des grimpeurs professionnels est presque incroyablement difficile par le design: leur moyen de subsistance est basé sur la réalisation du sans précédent. Leurs expéditions sont compliquées, épuisantes, souvent mortelles. Le risque est le carburant qui les fait avancer.

Il y a très peu de choses de virtuosité ou de génie dont vous pouvez réellement être témoin.

Il y a eu de merveilleux films d'escalade, mais pour la plupart, ce sont des reconstitutions.

Je crois vraiment que notre travail est une extension de qui nous sommes, et je m'efforce constamment de pousser moi-même et mes équipes.

Je suis allé à Princeton pour Major dans la littérature comparative. Je ne suis jamais allé à l'école de cinéma, mais j'ai étudié la narration sur des médiums - poèmes, littérature, cinéma et journalisme.

J'aimerais pouvoir dire que j'ai suivi YouSou n'adour toute ma vie. Je n'ai pas.

La couleur est tout. C'est un autre morceau du langage visuel pour exprimer ce que vous essayez de dire.

C'est ce qui se passe dans les documents de fonctionnalité. Plus vous passez de temps, plus la nuance émerge, plus une histoire évolue - mais elle est différente de la fiction, où vous pouvez rechapper quelque chose.

Dans le passé, je pense que mes films axés sur des sujets africains ont eu du mal sur le marché en raison de leur sujet.

Mon père m'a filmé tout le temps quand j'étais enfant, et c'est ainsi que j'ai été exposé pour la première fois à une caméra.

En tant que documentariste, 'Meru' était un défi irrésistible. Vous pouvez passer des années à chercher la bonne histoire, mais celle-ci avait tous les éléments : les obstacles, les personnages et le drame.

En tant que réalisateur, les gens vous font confiance pour leur vie, avec leurs histoires.

Mon amour était toujours dans les livres. Je n'étais qu'un de ces lecteurs passionnés. Les films sont venus plus tard, mais les histoires étaient toujours présentes.

La cinématographie et les conditions dans lesquelles «Meru» a été filmé m'a attiré vers le projet. Il est remarquable de penser que tout dans le film est réel; Ces trois hommes ont décidé de tenter cette montée impossible et de le filmer en même temps.

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