Retiré dans un petit village de l'ouest de l'Angleterre, Zachary, déserteur de quinze ans qui ne supporte plus l'horreur de la vie à bord, tente d'oublier ses peurs — et de se faire oublier. C'est sur la "Colline aux Gentianes", une butte surmontée d'une chapelle au-dessus du port de Torquay, où les marins ont l'habitude d'aller en pèlerinage, que le garçon rencontrera la petite Stella, douze ans, fille adoptive d'un couple de paysans. Tous deux rêvent d'une autre vie et d'autres contrées. Sur fond de guerres napoléoniennes, l'auteur se fait ici le chantre des âmes en peine, des exclus, et nous suggère en douceur que la vie est ailleurs. La Colline aux Gentianes est l'un des plus grands romans d'Elizabeth Goudge et se situe dans le droit fil des Hauts de Hurlevent.

La colline aux gentianes

Dans la famille Eliot, c’est Lucilla, la douce grand-mère, en réalité à la main de fer, qui dirige son « clan » depuis sa belle maison au fond de la campagne anglaise. Inquiète pour son petit-fils préféré, David, devenu un comédien célèbre, qu’elle sait épris de sa ravissante jeune tante par alliance, elle va tout faire pour lui trouver l’épouse idéale. Mais la timide Sally – un des plus attachants personnages d’Elizabeth Goudge – saura-t-elle s’imposer face à l’éblouissante Nadine ? Or, c’est en réalité la très ancienne auberge qui accueillait autrefois les pèlerins, et que son mari vient d’acheter, qui va séduire Nadine – et nous avec elle – et devenir le cœur de ce merveilleux roman.

L'auberge du pèlerin

Cette auberge était une maison ancienne, assez vaste, avec d'épaisses murailles blanchies à la chaux et une toiture cabossée, fortement inclinée, en tuiles couleur d'ambre. Elle ressemblait à une robuste forteresse, accueillante et profondément vivante, avec une lourde porte en chêne. En la découvrant, aucun des membres de la famille n'osait bouger : cette demeure les avait ensorcelés. C'était trop beau pour être vrai, comme une vision qui menace de s'évanouir au moindre mouvement. 
Dans la famille Eliot, c'est Lucilla, la douce grand-mère, en réalité à la main de fer, qui dirige son "clan" depuis sa belle maison au fond de la campagne anglaise. Inquiète pour son petit-fils préféré, David, devenu un comédien célèbre, qu'elle sait épris de sa ravissante jeune tante par alliance, elle va tout faire pour lui trouver l'épouse idéale. Mais la timide Sally - un des plus attachants personnages d'Elizabeth Goudge - saura-t-elle s'imposer face à l'éblouissante Nadine ? Or, c'est en réalité la très ancienne auberge qui accueillait autrefois les pèlerins, et que son mari vient d'acheter, qui va séduire Nadine - et nous avec elle - et devenir le coeur de ce merveilleux roman.

Le domaine enchanté, premier volume d’une trilogie, nous plonge dans l’histoire de la famille Eliot, peu de temps avant la Deuxième Guerre mondiale. Au centre, il y a Lucilla, 80 ans, très belle, impérieuse, qui règne sur ses enfants et petits-enfants, depuis sa belle propriété à la campagne. Le divorce d’un de ses fils va perturber l’équilibre familial, d’autant plus que le petit-fils préféré de Lucilla, jeune acteur à succès, tombe amoureux de son ex-tante, guère plus âgée que lui, et veut l’épouser.Pour tenter de ramener les « coupables » à la raison, Lucilla va devoir lever le voile sur son propre passé, qui n’est pas celui que l’on croyait...Souvent comparée aux soeurs Brontë, Elizabeth Goudge a été élevée comme elles à l’écart du monde, par un père professeur de théologie. Mais la famille qu’elle n’a jamais eue – ni frères, ni soeurs, pas de mari, pas d’enfants – elle l’a réinventée dans des livres merveilleux, peuplés de personnages inoubliables – souvent des enfants, justement.

Le Domaine enchanté

La jeune Maria Merryweather est loin de se douter des dangers qui la menacent lorsqu'elle rejoint sa famille à Silverydew, sur les terres de Moon Acre. Accompagnée de son ami d'enfance Robin, de Perriwinkle le poney et du mystérieux chien Wrolf, Maria se lance sur les traces de ses ancêtres pour gagner le pardon des hommes du bois noir et rétablir la paix sur le domaine.

Le secret de Moonacre

Jeune orpheline à treize ans, Maria Merryweather s'installe au manoir de Moonacre, avec son oncle Sir Benjamin. Dans ce paysage et cette
région si étranges, elle rencontre de curieux personnages qui attisent sa curiosité. Mais c'est surtout l'histoire des Merryweather qui l'intéresse. Pourquoi son oncle vit-il seul ? Pourquoi lui a-t-il défendu de s'approcher de Merryweather Bay ? Et qui sont ces hommes que l'on appelle les Hommes des Bois sombres ? Maria part à la découverte des secrets les plus obscurs de sa famille, enfouis depuis trop longtemps.

L'Arche Dans La Tempete - Occasion

Judy Cameron s’apprête à passer comme de coutume l’été au bord de la mer avec ses parents et son fiancé Charles quand une peinture représentant un paysage d’Ecosse la captive au point qu’elle décide aussitôt de s’y rendre pour peu qu’elle découvre une maison dans un site semblable à celui du tableau.Contrairement aux prédictions – et à l’espoir – des siens, l’annonce qu’elle met dans les journaux lui attire une réponse. Voilà pourquoi, malgré un temps abominable, Judy arrive dans la vallée solitaire des Highlands où est située Glen Suilag, la demeure de Ian Macdonald louée par les Cameron.Dès l’abord, Judy se sent en proie à l’étrange impression d’être en pays familier, auprès de gens connus. Où aurait-elle rencontré Ian et son maître d’hôtel, le vieil Angus ? La raison lui dit : nulle part, mais elle n’en continue pas moins à éprouver une sensation curieuse qui va s’accentuant. La maison est-elle hantée et ses hôtes invisibles font-ils pression sur elle ? Non, il s’agit d’autre chose et Judy qui le devine s’attache avec patience, avec passion, à découvrir le secret de Glen Suilag. Aventure du coeur et de l’esprit qui nous mène des temps modernes à l’époque des Stuart dans le climat poétique particulier à Elizabeth Goudge.

L'appel du passé

Elizabeth Goudge, née Elizabeth de Beauchamp Goudge le 24 avril 1900 à Wells en Angleterre et décédée le 1er avril 1984) est une femme de lettres  britannique de tendance romantique.
Auteure de nombreux romans, de livres pour enfants et d’une vie romancée de Jésus, elle construit des histoires où se côtoient beauté et merveilleux. Ses livres sont parmi les plus vendus au Royaume-Uni et aux États-Unis des années 1930 aux années 1970.

Toutes les meilleures choses se voient d'abord de loin.

À mon avis, trop d'attention aux conditions météorologiques rend l'instabilité de caractère.

Pour connaître le bonheur parfait, une femme peut être une mère, mais doit être une grand-mère.

Les pères et les mères sensés, lorsque leurs enfants se marient, retournent au passé et renouvellent leur jeunesse.

[Le salut] est un processus curieux de cambriolage divin. La première chose que l'on arrache à quelqu'un par un Dieu qui a dit : « Tu ne voleras point », c'est la bonne opinion que l'on a de soi-même.

L'eau, le vent et le chant des oiseaux étaient les échos dans ce lieu calme d'une grande symphonie de scénario qui faisait monter en flèche dans le monde. Les genoux dans les graminées et les marguerites de la lune, Stella se leva et écoutait, se balançant un peu pendant que les fleurs et les arbres se balançaient, sa voix spirituelle chantant fort, bien que ses lèvres soient immobiles, et chaque pouls de son corps battant son marteau caresse à temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps jusqu'à le temps de la chanson.

Pourriez-vous comprendre le sens de la lumière s'il n'y avait pas d'obscurité pour pointer le contraste? Jour et nuit, vie et mort, amour et haine, car aucune de ces choses ne peut avoir un être en dehors de l'existence de l'autre, vous ne pouvez pas les séparer plus que vous ne pouvez séparer les deux côtés d'une pièce.

Rien n'est jamais fini et fait dans ce monde. Vous pouvez penser qu'une graine a été terminée et finie quand elle tombe comme une chose morte dans la terre; Mais quand il propose des feuilles et des fleurs au printemps prochain, vous voyez votre erreur.

En période de tempête et de tempête, d'indécision et de désolation, un livre déjà connu et aimé fait une meilleure lecture que quelque chose de nouveau et non testé ... rien n'est si réchauffant et compagnon.

Les éléments se «cherchaient» dans la rage et la confusion, et dans la fureur du conflit vantard, l'homme était complètement humilié, aspiré, noyé.

...Les petits mots simples venaient facilement, s'adaptant à l'air qui sortait du clavecin. Elle n'avait pas l'impression de les avoir inventés. Il lui semblait qu'ils s'étaient envolés de la roseraie, par la fenêtre ouverte, comme un tas de papillons, qu'ils s'étaient posés sur la pointe de sa plume et qu'ils étaient tombés de celle-ci sur le papier.

...elle commença à prendre conscience de l'humilité de Dieu. Rejeté par les orgueilleux de son propre droit, par quels humbles moyens il choisissait de les secourir : par l'esprit d'un enfant, d'un pauvre gitan ou d'un vieillard, par un chant peut-être, ou même par la chute d'une feuille ou le parfum d'une fleur. Pour son infinie et humble patience, rien n'était trop petit pour faire avancer son dessein de salut et l'éternité n'était pas trop longue pour l'accomplir.

Il y a beaucoup de choses à la makin d'un homme ou d'une femme dans quelque chose de mieux qu'une bête brute, mais il y a trois choses en chef, et ce sont les endroits où la vie nous fait tomber, une vie des gens qui nous fait tomber contre, et '- pas les choses que vous obtenez, mais ce que vous n'obtenez pas.

Si vous perdez votre raison, vous le perdez entre les mains de Dieu ... c'est le seul endroit où tout est sûr. Et quand vous serez mort, ce n'est que ce que vous aurez. Rien d'autre.

Quel est le parfum de l'eau? "" Renouvellement. La bonté de Dieu descend comme de la rosée.

Est-ce à cause des liens du sang qu'on a tant de difficulté à aider les siens ? On se trouve peut-être trop près d'eux pour leur être utile.

Le moment parfait, une fois perdu, n'est plus facilement trouvé.

Être désolé et heureux ensemble, c'est être perceptif à la richesse de la vie.

"La plupart d'entre nous ont tendance à minimiser toutes les souffrances sauf la nôtre", a déclaré Mary. "Je pense que c'est la peur. Nous ne voulons pas trop nous approcher au cas où nous serions aspirés et que nous devions le partager".

La lâcheté plus que tout autre échec exige un paiement impitoyable du prix de ceux qui lui donnent l'hospitalité.

Rien de vivre ne devrait jamais être traité avec mépris. Quoi que ce soit que des vies, un homme, un arbre ou un oiseau doivent être touchées doucement, car le temps est court. La civilisation est un autre mot pour le respect de la vie.

La propreté ', gloussa Sir Benjamin, notant le sourire ravi de sa grande nièce alors que ses yeux reposaient sur lui: «Vient à côté de la piété, hein, Maria?

Mais un lièvre, maintenant, c'est une chose différente complètement. Un lièvre n'est pas un animal de compagnie mais une personne. Les lièvres sont intelligents et courageux et aimants, et ils ont du sang de fée en eux. C’est une grande chose d’avoir un lièvre pour un ami.

Tous les êtres humains ont leur altérité et c'est ce qui pleure au cœur.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Elizabeth_Goudge

Ses oeuvres

Ses derniers livres