Elizabeth von Arnim, born Mary Annette Beauchamp, was an English novelist. Born in Australia, she married a German aristocrat, and her earliest works are set in Germany. Arnim launched her career as a writer with her satirical and semi-autobiographical Elizabeth and Her German Garden. Published anonymously, it chronicled the protagonist Elizabeth's struggles to create a garden on the family estate and her attempts to integrate into German aristocratic Junker society. In it, she fictionalized her husband as "The Man of Wrath". It was reprinted twenty times by May 1899, a year after its publication. A bitter-sweet memoir and companion to it was The Solitary Summer.

Other works, such as The Benefactress The Adventures of Elizabeth on Rügen Vera and Love were also semi-autobiographical. Some titles ensued that deal with protest against domineering Junkertum and witty observations of life in provincial Germany, including The Princess Priscilla's Fortnight and Fräulein Schmidt and Mr Anstruther. She would sign her twenty or so books, after the first, initially as "by the author of Elizabeth and Her German Garden" and later simply as "By Elizabeth".

In 1909, The Princess Priscilla's Fortnight was turned into a play called The Cottage in the Air, and in 1929 into the film The Runaway Princess, directed by Anthony Asquith and starring Mady Christians.

Although Arnim never wrote a conventional autobiography, All the Dogs of My Life, an account of her love for her pets, contains many glimpses of her glittering social circle.

Contents:

1. Elizabeth and Her German Garden (1898)

2. The Solitary Summer (1899)

3. The April Baby's Book of Tunes (1900) (Illustrated by Kate Greenaway)

4. The Benefactress (1901)

5. Princess Priscilla's Fortnight (1905)

6. Fräulein Schmidt and Mr Anstruther (1907)

7. The Pastor's Wife (1914)

8. Christine (1917) (written under the pseudonym Alice Cholmondeley)

9. Christopher and Columbus (1919)

10. In the Mountains (1920)

11. Vera (1921)

12. The Enchanted April (1922)

Complete Works of Elizabeth von Arnim. Vol.1. (12 Books). Illustrated - The Enchanted April, The Solitary Summer, The Benefactress, Vera, In the Mountains, Princess Priscilla's Fortnight and others

" La plus amusante histoire de l'année " écrivit le Punch lorsque parut En caravane. Pleinement maîtresse de son art, la romancière prenait une revanche pleine de drôlerie sur son mari, " l'homme de colère " que nous avons appris à connaître dans Elizabeth et son jardin allemand et dans L'Été solitaire. Conservateur, nationaliste à tous crins, amateur de bonne chère, pingre, égoïste, vaniteux, condescendant envers ls femmes, les animaux et les étrangers, c'est lui qui parle ici à la première personne, dans un journal intime fictif où il raconte le voyage que sa femme et lui firent en Angleterre. Ces vacances vont révéler les voyageurs à eux-mêmes au cours d'aventures burlesques. Fondé sur un voyage en caravane bien réel qu'Elizabeth von Arnim avait fait en compagnie du romancier E.M. Forster, de ses filles et de quelques amies – et qui fut d'ailleurs l'occasion d'une rencontre avec Henry James dans sa demeure de Rye –, En caravane connut un immense succès et lança la mode du caravanning. Mais pour nous, c'est à la fois une merveilleuse introduction à l'Angleterre et à l'Allemagne du début du siècle, et le roman le plus drôle, le plus gai, le plus enlevé d'Elizabeth von Arnim.

En caravane

L'île de Rügen, en mer Baltique, au large de la Poméranie: falaises de craie, forêts de hêtres et de pins, étangs et lacs, stations balnéaires sans prétention. C'est là qu'Elizabeth quittant mari et enfants, a décidé de passer quelques jours en compagnie de sa fidèle femme chambre, Gertrud, avec sa victoria, son cocher, ses peignoirs et son carton à chapeaux. Mais sa solitude est bien troublée par la rencontre est bien vite troublée par la rencontre de l'insupportable épouse d'un évêque anglais – toutefois accompagnée de son fils « charmant de sa personne » – mais aussi d'une cousine depuis longtemps perdue de vue, dont la vie conjugale est fort troublée.Décidément les îles ne sont pas toujours des havres de calme propices à la solitude. Ainsi ce livre qui avait pour ambition d'être un petit guide de voyage, devient vite un récit plein de rebondissements qui témoignent du sens de l'ironie ainsi que de l'humour tendre et lucide qui sont la marque d'Elizabeth von Arnim.

Les Aventures d'Elizabeth à Rügen

Anna Estcourt, vingt-cinq ans, emménage dans une petite propriété du Nord de l'Allemagne dont elle hérite à la mort de son oncle. Jolie, intelligente mais sans fortune, elle a grandi jusque-là avec son frère, sous la coupe de la femme de celui-ci, Susie.
Désormais en possession d'un revenu confortable, elle contrevient aux convenances de l'époque en ne se mariant pas, afin de conserver son indépendance. Mieux, elle propose généreusement un toit aux dames en détresse de sa nouvelle contrée, afin que celles-ci puissent faire de même - altruisme dont elle ne tardera pas à peser les inconvénients...
D'autant qu'Axel Lohm, un gentleman de la région que son oncle espérait lui voir épouser, est tombé amoureux d'elle. Il va tenter de la faire changer d'avis...

La bienfaitrice

Christopher et Colombus sont jumelles, elles ont dix-sept ans et sont allemandes. Et en 1916 en Angleterre c'est une situation embarrassante. Devenues orphelines, leur oncle les a recueillies avec pour unique idée de s'en délivrer au plus vite. Abandonnées elles partent en Amérique où elles devront surmonter les préjugés liés à leurs origines.

Christopher et Columbus

Journal intime et fictif d'Otto von Ottringel, baron et officier prussien - qui, en ce début de XXe siècle, jette sur le reste du monde (les femmes, les étrangers, les pasteurs, bref, tout ce qui n'est pas de son " rang ") un regard condescendant -, ce roman raconte la randonnée burlesque que notre énergumène entreprend en roulotte à travers leKent et le Sussex en compagnie de sa femme, d'un groupe d'autres Allemands et de quelques Anglais. Notre narrateur va en effet, sans même s'en rendre compte, transformer le périple de ses compagnons en un enfer quotidien mais - pour le plus vif plaisir du lecteur - absolument désopilant. En caravane relate un voyage bien réel que l'auteur effectua en 1906, en compagnie du romancier E.M. Forster et de son premier mari dont elle trace ici un mordantportrait !

Fanny avait épousé un certain Mr. Skeffington et, pour des raisons jugées par elle impérieuses, elle en avait divorcé. Depuis - cela faisait plus de vingt ans - elle l'avait quasiment oublié. Mais soudain, à sa grande surprise, elle se mit à penser beaucoup à lui... D'ailleurs, elle sentait à chaque instant sa présence derrière chaque chose. Elle savait fort bien qu'elle aurait bientôt cinquante ans et, à une étape aussi cruciale de sa vie, quoi de plus naturel, se disait-elle, que de se retourner sur le passé ? Mais Fanny n'est plus la célèbre beauté d'autrefois qui, après un mariage sans amour vite suivi d'un divorce, a consacré sa vie à séduire un homme après l'autre. Et l'avenir lui fait désormais peur. Certes elle est très fortunée, son ex-mari, un riche homme d'affaires juif, ayant largement pourvu à ses besoins. Mais elle est seule, chacun de ses anciens soupirants s'étant éloigné. C'est alors que revient Job Skeffington qui avait eu le malheur de croire - précisons que nous sommes à la fin des années 1930 - qu'il pouvait retourner en Autriche, son pays d'origine. Et en quelques instants, la vie de Fanny va prendre un sens - enfin.

Mr Skeffington

Précédé de "Souvenirs de Nassenheide" par E.M. Forster

Elizabeth et son jardin allemand

Elizabeth von Arnim, née le 31 août 1866 à Sydney (Australie), et morte le 9 février 1941 à Charleston, en Caroline du Sud (États-Unis) est une romancière britannique.

... sans cela (l'amour), sans, en tout cas, la capacité pour cela, les gens ne semblaient pas être très bons. Secs comme de vieux os, froids comme des pierres, ils semblaient devenir, quand l'amour était fait ; inhumain, indifférent, égocentrique, engourdi.

Les livres ont leurs idiosyncrases aussi bien que les gens, et ne me montreront pas leurs beautés complètes à moins que le lieu et le temps où ils lisent leur convient.

La maison est le meilleur endroit où la vie commence à vaciller.

Si vous avez une fois ennuyé quelqu'un, il est pratiquement impossible de le dégraisser.

Elle lui a fait penser à sa mère, à son infirmière, de tout ce qui est gentil et réconfortant, en plus d'avoir l'attrait de ne pas être sa mère ou sa infirmière.

Étrange que la vanité qui accompagne la beauté - excusable, peut-être, lorsqu'il y a une si grande beauté, ou en tout cas compréhensible - devrait persister après que la beauté a disparu.

Quand je suis arrivé à la bibliothèque, je suis arrivé à l'arrêt, - Ah, la chère salle, quels moments heureux que j'ai passés dans les livres, faisant des plans pour mon jardin, construisant des châteaux dans les airs, écrivant, rêvant, rien faire .

Si votre sort vous fait pleurer et être misérable, débarrassez-vous et prenez-en un autre; Se débarrasser de vous-même; N'écoutez pas le cri de vos relations ... N'ayez pas peur de l'opinion publique sous la forme des voisins dans la prochaine maison, quand tout le monde est devant vous nouveau et brillant, et tout est possible, si vous ne sera qu'énergique et indépendant et saisir les opportunités par la peau du cou.

Je veux être aussi inactif que possible, afin que mon âme ait le temps de grandir.

Qui peut commencer l'amabilité conventionnelle la première chose le matin?

J'ai été à nouveau très affligé ces derniers temps par les visiteurs. . . Et ils m'ont donné pour comprendre que s'ils avaient eu l'organisation du jardin, cela aurait été terminé il y a longtemps - alors que je ne crois pas qu'un jardin soit jamais terminé. Ils sont tous partis maintenant, merci le paradis.

Si l'on croyait aux anges, on sentirait qu'ils devraient nous aimer mieux lorsque nous dormons et ne pouvons pas se blesser; Et quelle miséricorde c'est qu'une fois toutes les vingt-quatre heures, nous sommes trop fatigués pour continuer à être méchants.

La vie est un arrangement admirable, n'est-ce pas, petite mère. Il est tellement intelligent d'avoir juin chaque année et une matinée tous les jours, sans parler des choses comme les oiseaux, Shakespeare et son travail.

Les jours mouillés, je vais aller dans les parties les plus épais de la forêt, où les aiguilles de pin sont éternellement sèches, et quand le soleil brille, je vais allonger sur la lande et voir comment le balai s'épuise contre les nuages. Je serai perpétuellement heureux, car il n'y aura personne à m'inquiéter.

Impossible pour quiconque de concevoir les tourments de ses nuits au lit avec son bien-aimé et a éloigné d'elle. Ce retournement du dos, cet espace froid entre leurs deux corps malheureux.

Mais il est impossible, je trouve, pour ranger les livres sans finir en s'asseyant sur le sol au milieu d'un grand désagrément et de la lecture.

C'est beau, beau à donner; L'une des plus belles choses de la vie.

... Pourquoi, ce serait vraiment altruiste de partir et d'être heureux pour un peu, car nous reviendrions tellement plus gentils.

La lecture était très importante; L'exercice et le développement appropriés de son esprit étaient un devoir primordial.

Restez silencieux et dites ses prières-cercle non pas seulement les meilleures, mais les seules choses à faire si l'on serait vraiment heureux; Mais, honte de demander quand j'ai reçu tant, la seule forme de prière que j'utiliserais serait une forme d'action de grâces.

Car j'ai peur de la solitude; Fromment, terriblement effrayé. Je ne veux pas dire la solitude physique ordinaire, car ici je suis, je suis délibérément éloigné de Londres pour y arriver, à son spacieux et à sa guérison. Je veux dire cette horrible solitude de l'esprit qui est la tragédie ultime de la vie. Quand vous avez eu cela, vraiment l'avoir atteint, sans espoir, sans évasion, vous mourrez. Vous ne pouvez pas le supporter et vous mourrez.

L'expérience m'a appris que chaque fois que quelque chose est sur le bout de ma langue, la meilleure chose à faire est de le garder là.

La beauté vous a fait l'amour et l'amour vous a rendu beau.

[La marche est le moyen idéal de se déplacer si l'on veut voir la vie des choses. C'est le seul moyen de liberté. Si vous vous rendez à un endroit autrement qu'en marchant, vous y êtes emmené trop vite et vous manquez un millier de joies délicates qui vous attendaient sur le bord du chemin.

La soumission à ce que les gens appellent leur «lot» est simplement ignoble. Si votre sort vous fait pleurer et être misérable, débarrassez-vous et prenez-en un autre.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Elizabeth_von_Arnim

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