WINNER OF THE 2018 BRAM STOKER AWARD FOR BEST ANTHOLOGY
It's only water, so why should we fear large bodies of it, such as the sea or the ocean? However, when you're all alone, you realize how scary a place it can be.
Stranded on a desert island, a young man yearns for objects from his past. A local from a small coastal town in England is found dead as the tide goes out. A Norwegian whaling ship is stranded in the Arctic, its crew threatened by mysterious forces. In the nineteenth century, a ship drifts in becalmed waters in the Indian Ocean, those on it haunted by their evil deeds. A surfer turned diver discovers there are things worse than drowning under the sea. Something from the sea is creating monsters on land.
In Devil and the Deep, award-winning editor Ellen Datlow shares an original anthology of horror that covers the depths of the deep blue sea. Whether its tales of murderous pirates who stalk the waters in search of treasure and blood, creatures that haunt the depths below?ones we've only seen in our nightmares, or storms that can swallow you whole, the open water can be a dangerous and terrifying place.
With stories from New York Times-bestsellers and award-winning authors such as Seanan McGuire, Christopher Golden, Stephen Graham Jones, and more, Devil and the Deep guarantees you'll think twice before going back into the water.

The Devil and the Deep

Blanche neige, rouge sang

Le chat... Qui n'a jamais été fasciné ou ému par un tigre ou une panthère miniature ? Tous ceux qui en possèdent un - ou plutôt tous ceux qui sont possédés par cette troublante créature s'imaginent entretenir avec elle des rapports privilégiés, ténus, quasi mystiques. En réalité, le chat n'a jamais été réellement domestiqué : les yeux mi-clos, il semble dormir. En fait, il attend son heure. Vénéré par les anciens Egyptiens, haï et massacré durant l'Inquisition, le chat demeure insaisissable. Qui, de l'homme ou du félin, est le prédateur le plus redoutable ?

Contes du chat pervers

Je suis un collectionneur de poupées et de pièces de poupée. Je suis rarement effrayé par la plupart des poupées, que ce soit dans la vraie vie ou dans la littérature, mais je connais beaucoup de gens qui le sont.

J'ai de la chance de pouvoir lire et publier des histoires qui ne sont pas nécessairement ouvertement horreur dans la «meilleure horreur de l'année».

Amanda Hocking et Hugh Howey ont connu le succès dans leurs entreprises d'auto-édition. Mais il est à noter que Hocking préférerait écrire et confier l'édition, la promotion et la vente à un éditeur traditionnel.

L'horreur ne concerne pas seulement les fantômes ou les monstres. Par exemple, la romance paranormale semble l'antithèse de l'horreur. Une fois que vous avez un vampire sexy et amusant qui est doux et que vous avez une fin heureuse, ce n'est pas l'horreur.

Je trouve généralement de la fiction sans se déplacer vers les étranges, moins imaginatifs, ternes, prosaïques. Pas tout, bien sûr, mais beaucoup. Je suppose que c'est juste une question de goût.

Les poupées tirent notre imagination collective, pour le meilleur et - trop souvent - pour le pire. Des poupées grandeur nature de la même hauteur que les petites filles qui les transportent, aux poupées dont les cheveux longs peuvent «grandir» plus longtemps, à Barbie et à ses sœurs à la mode, les poupées font un double service en tant que jeu d'enfant et l'art de l'art adulte et de la peur adulte .

Je déteste m'ennuie quand j'ai lu une histoire. Même un thème bien traduit peut être fait frais par une perspective différente ou une écriture fraîche.

Les poupées, peut-être plus que tout autre objet, démontrent à quel point la frontière entre l'amour et la peur, le confort et l'horreur peut être. Ce sont des objets d'amour et de sources de réconfort pour les enfants, des prix convoités pour les collectionneurs, des sources de terreur et d'horreur dans de nombreux films, émissions de télévision, livres et histoires.

Les genres du fantastique et du grotesque sont beaucoup plus intéressants pour moi que la plupart des fictions mnémoniques.

Je pense que la plupart des nouveaux écrivains vont mieux d'aller avec les éditeurs traditionnels qui, au minimum, modifieront bien votre travail, le composent bien et le commercialisent pour vous.

Le montage ne peut pas être enseigné. Développer votre propre goût ne peut pas être enseigné.

L'horreur est plus nerveuse. Dark Fantasy me semble plus pâteux. Trouver la différence - c'est un instinct. Et ils chevauchent beaucoup.

Malgré le fait qu'il soit mort depuis plus de soixante-dix ans et sa prose considérée comme violette et surmenée par beaucoup, H.P. Le travail de Lovecraft est toujours largement lu et est resté influent depuis des générations.

Je vais lire toutes les anthologies ou la collection sur lesquelles je peux mettre la main. Si je trouve un livre mentionné dans `` Publisher's Weekly '' et qu'il semble que ce sera sombre, je vais le retrouver.

J'ai réalisé très jeune que j'adorais lire et que je voulais faire quelque chose lié aux livres / lire pour vivre. Je n'ai pas pensé à publier, vraiment, jusqu'à ce que je sois hors de l'université.

Ses oeuvres

Ses derniers livres