Ellen Johnson Sirleaf, née le 29 octobre 1938 à Monrovia (Liberia), est une femme d'État libérienne, présidente de la République du 16 janvier 2006 au 22 janvier 2018.
Économiste formée aux États-Unis, elle est la première femme élue au suffrage universel à la tête d'un État africain.
Elle est corécipiendaire du prix Nobel de la paix en 2011.

À mesure que de plus en plus d'hommes deviennent plus éduqués et que les femmes se renforcent, le système de valeurs doit être plus amélioré et le respect de la dignité humaine et de la vie humaine est amélioré.

Les habitants du Libéria savent ce que signifie être privé d'eau propre. Mais nous savons aussi ce que signifie voir nos enfants recommencer à sourire, avec une restauration de l'espoir et de la foi en l'avenir.

Ebola n'est pas seulement une crise de santé. Dans toute l'Afrique de l'Ouest, une génération de jeunes risque d'être perdue pour une catastrophe économique.

Nous avons fait beaucoup pour restaurer la crédibilité du Libéria, la réputation du Libéria, la présence du Libéria.

Le leadership n'est jamais donné sur un plateau d'argent, il faut le gagner.

Si vos rêves ne vous font pas peur, ils ne sont pas assez grands.

Je pense que nous sommes prêts pour la succession. Nous devons juste essayer de le faire correctement.

Toute notre système judiciaire au Libéria s'est décomposé en raison des nombreuses années d'anarchie, indiscipline et guerre. Nous avons besoin de plus de formation pour obtenir des juges plus qualifiés. Nous avons besoin de réformes infrastructurales. Toutes nos lois doivent être réexaminées par une commission de réforme du droit.

Je pense que la majorité des Libériens veulent la paix.

Il n'y a pas de chômage de correctif ni de jeunes faciles. Le partenariat entre les secteurs public et privé peut faire une grande différence.

J'ai gagné ma crédibilité professionnelle il y a longtemps dans un monde dominé par les hommes. J'espère juste qu'en tant que femme, j'apporte une dimension supplémentaire au travail. J'apporte la sensibilité d'être une femme et une mère, ce qui signifie que je prête plus d'attention aux femmes, aux enfants et aux besoins sociaux de la société.

Je ne pense pas que les gens comprennent la génialité de la destruction de ce pays - ses institutions, son infrastructure, sa loi, sa morale.

L'origine ethnique devrait nous enrichir; Cela devrait faire de nous un peuple unique dans notre diversité et ne pas être utilisé pour nous diviser.

Le Libéria a juste besoin de passer par cette transition politique et peut vraiment décoller. Tout est en place maintenant. Nous ne pouvons pas nous permettre de mettre le pays entre les mains de quelqu'un qui n'a pas l'expérience.

Mon appel était d'abord pour s'assurer qu'il y avait la paix dans le pays, car nous aurions facilement pu retourner à la guerre. Au milieu du pays, il y avait encore des seigneurs de guerre; Il y avait de nombreux enfants soldats qui n'étaient jamais allés à l'école - ils faisaient partie du cadre social - des compromis ont dû être faits.

Ma mère était la force. Elle était l'ancre. Elle était prédicateur et enseignante.

Si vos rêves ne vous font pas peur, c'est qu'ils ne sont pas assez grands.

Le Libéria peut passer à autre chose et se briser dans le passé. C'est très important pour nous d'essayer d'atteindre nos objectifs de développement et de réconcilier notre nation.

Au Libéria, notre principal obstacle est l'infrastructure: les lumières, l'eau, les routes. Les entreprises ne peuvent pas fonctionner sans ces choses. Et même si nous avons des engagements de nos partenaires, il faut du temps pour transformer les engagements en espèces.

Au Libéria, nos échelles de salaire sont si faibles que notre système judiciaire est devenu corrompu au fil des ans. Maintenant, nous devons faire certaines choses nous-mêmes.

Si vos rêves ne vous font pas peur, vous ne rêvez pas assez grand.

Les habitants du Libéria savent ce que signifie être privé d'eau propre, mais nous savons également ce que signifie voir nos enfants recommencer à sourire avec une restauration de l'espoir et de la foi dans le futur.

Les femmes travaillent plus dur. Et les femmes sont plus honnêtes; Ils ont moins de raisons d'être corrompus.

Je voudrais m'assurer, tout d'abord, que nos femmes dans le secteur informel - je veux dire, ce sont les agriculteurs et les commerçants; Beaucoup d'entre eux ne sont pas éduqués, beaucoup d'entre eux manquant d'alphabétisation - peuvent leur donner de meilleures conditions de travail. Et nous avons fait beaucoup pour pouvoir y parvenir.

Nous sommes ici parce que nous partageons une croyance fondamentale: que la pauvreté, l'analphabétisme, les maladies et les inégalités n'appartiennent pas au XXIe siècle. Nous partageons un objectif commun: éradiquer ces maux au profit de tous. Et nous partageons un outil commun pour y parvenir: les objectifs de développement du millénaire.

En termes de pouvoir renouveler ma nation, de pouvoir ramener un pays dévasté, de restaurer l'espoir à notre peuple, de soulever des femmes et de leur donner un nouvel horizon, une nouvelle ambition et de nouveaux rêves, en respectant De tout cela, je pense que nous l'avons accompli, et je me sens très bien à ce sujet.

Nous devons surmonter la pratique de la domination masculine - même si cela change et changer de manière radicalement en Libéria.

Je pense qu'à moins que vous n'ayez cette cohésion dans l'unité familiale, le personnage masculin a tendance à devenir très dominant, répressif et insensible. Il s'agit également d'une grande partie d'un manque d'éducation.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ellen_Johnson_Sirleaf

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