Eric Kierans
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@ericKierans
Le capital, jamais soucieux de la distribution, est désormais de moins en moins préoccupé par la production. Le capital conduit pour le pouvoir, pour le contrôle des marchés, des terres, des ressources. Le capital, entre les mains de l'entreprise, peut se déplacer n'importe où et ainsi exiger et obtenir le plus grand nombre de concessions et de privilèges ainsi que la liberté d'opérer dans l'intérêt de la richesse et des actifs toujours croissants.
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Le capital sous forme monétaire n'a pas de citoyenneté. Il est fongible, un actif capable de se déplacer d'un endroit à l'autre dans une nanoseconde.
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Il s'agit de la procédure standard de croissance des entreprises de nos jours; Une entreprise en achète un autre sur des prêts qui sont flottés sur la base des revenus futurs, et le monopole ou l'oligopole créé de cette manière produit les fonds nécessaires en supprimant la concurrence et en transmettant les coûts au consommateur. Le seau qui contient la nouvelle richesse est appelé une société.
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Les entreprises n'ont rien à voir avec les valeurs, et elles le savent et le disent parfois.
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Le Parti libéral a abandonné les principes de la réforme et du libéralisme social et est devenu, plutôt, juste un autre élément de machines politiques au service du corporatisme.
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La spéculation de la devise - sur un billion de dollars par jour - est une activité libre d'impôt. La notion de taxe sur les «métiers de jour» ou d'autres échanges spéculatifs a été relancé ces dernières années, mais a été soigneusement ignoré par tous nos fournisseurs de sagesse économique conventionnelle. C'est parce que nous avons été persuadés, contre la logique et le sens moral, que l'institution qui a le plus besoin de notre soutien de nos jours n'est pas la société, ni la communauté humaine, mais la société mondiale.
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La société est l'institution dominante et dominante de notre temps. Les gouvernements identifient la croissance et le développement avec les sociétés commerciales et les enroulent avec des subventions, des privilèges fiscaux et une législation du travail appropriée et un soutien sur le marché pour attirer un engagement et un investissement.
@ericKierans
Les mouvements de capital ne sont plus nécessairement liés à la production de biens et de services. Grâce aux marchés financiers du monde, les mouvements de capital aujourd'hui sont extrêmement préoccupés par la capture et le commerce des droits de propriété, la propriété des actifs qui agrandissent la richesse, le pouvoir et le contrôle d'une société. C'est ce que John Maynard Keynes a décrit comme un «monde de casino» - laalance sans valeur.