Erich Heller
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@erichHeller
Systèmes philosophiques? Même les plus impressionnants d'entre eux sont inconfortablement assis sur un trône de la stupidité du fond des rochers, cette étroité auto-infligée qui rend un esprit capable de croire qu'il, une partie de l'immense monde, pourrait absolu
@erichHeller
Dans Kafka, nous avons l'esprit moderne, apparemment autosuffisant, intelligent, sceptique, ironique, magnifiquement formé pour le grand jeu de prétendre que le monde qu'il comprend dans la sobriété stérilisée est le seul et ultime réel - pourtant un esprit vivant dans le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec L'âme d'Abraham. Ainsi, il connaît deux choses à la fois, et à la fois avec une assurance égale: qu'il n'y a pas de Dieu, et qu'il doit y avoir Dieu.
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Faites attention à la façon dont vous interprétez le monde: c'est comme ça.
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Dans Kafka, nous avons l'esprit moderne, apparemment autosuffisant, intelligent, sceptique, ironique, magnifiquement formé pour le grand jeu de prétendre que le monde qu'il comprend dans la sobriété stérilisée est le seul et ultime réel - pourtant un esprit vivant dans le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec L'âme d'Abraham. Ainsi, il connaît deux choses à la fois, et à la fois avec une assurance égale: qu'il n'y a pas de Dieu, et qu'il doit y avoir Dieu.
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Dans Kafka, nous avons l'esprit moderne, apparemment autosuffisant, intelligent, sceptique, ironique, magnifiquement formé pour le grand jeu de prétendre que le monde qu'il comprend dans la sobriété stérilisée est le seul et ultime réel - pourtant un esprit vivant dans le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec L'âme d'Abraham. Ainsi, il connaît deux choses à la fois, et à la fois avec une assurance égale: qu'il n'y a pas de Dieu, et qu'il doit y avoir Dieu.
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Dans Kafka, nous avons l'esprit moderne, apparemment autosuffisant, intelligent, sceptique, ironique, magnifiquement formé pour le grand jeu de prétendre que le monde qu'il comprend dans la sobriété stérilisée est le seul et ultime réel - pourtant un esprit vivant dans le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec L'âme d'Abraham. Ainsi, il connaît deux choses à la fois, et à la fois avec une assurance égale: qu'il n'y a pas de Dieu, et qu'il doit y avoir Dieu.
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Prenez garde à votre façon d'interpréter le monde, car il est ainsi.
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Dans Kafka, nous avons l'esprit moderne, apparemment autosuffisant, intelligent, sceptique, ironique, magnifiquement formé pour le grand jeu de prétendre que le monde qu'il comprend dans la sobriété stérilisée est le seul et ultime réel - pourtant un esprit vivant dans le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec L'âme d'Abraham. Ainsi, il connaît deux choses à la fois, et à la fois avec une assurance égale: qu'il n'y a pas de Dieu, et qu'il doit y avoir Dieu.
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Dans Kafka, nous avons l'esprit moderne, apparemment autosuffisant, intelligent, sceptique, ironique, magnifiquement formé pour le grand jeu de prétendre que le monde qu'il comprend dans la sobriété stérilisée est le seul et ultime réel - pourtant un esprit vivant dans le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec le péché avec L'âme d'Abraham. Ainsi, il connaît deux choses à la fois, et à la fois avec une assurance égale: qu'il n'y a pas de Dieu, et qu'il doit y avoir Dieu.