Encore une fois, une réponse ancienne résonne à travers les siècles: écoutez! Écouter des histoires! Pour ce que les histoires font, par-dessus tout, tiennent un miroir pour que nous puissions nous voir. Les histoires sont des miroirs de l'être humain, reflétant notre essence même. Dans une histoire, nous apprenons précisément les deux / et, mixtes de notre être même. Dans le miroir de l'histoire d'un autre, nous pouvons découvrir notre tragédie et notre comédie - et donc notre humanité même, l'ambiguïté et l'incongruité, qui se trouvent au cœur de la condition humaine.

[Un] voyage devient un pèlerinage car nous découvrons, jour après jour, que la distance parcourue est moins importante que l'expérience acquise.

La spiritualité pointe, toujours, au-delà de l'ordinaire, au-delà de la possession, au-delà des limites étroites de soi, et - surtout - au-delà des attentes. Parce que "le spirituel" est hors de notre contrôle, ce n'est jamais exactement ce que nous attendons.

Reconnaître, accepter et pardonner ses parents - à la fois ce qu'ils ont donné et ce qu'ils n'ont pas donné, à la fois sa dépendance à l'égard de eux et de son indépendance - est la marque ultime de la maturité: une perception comme valide pour les institutions que pour les individus .

Si nous apprenons à accepter nos imperfections avec l'humour, comme le reflet de notre humanité même, nous vivrons l'humilité et la tolérance, nous comprendrons que nous sommes déjà remplis de pardon, nous verrons le don de nos vies, les chaînes tomberont , et nous serons libres - libres non pas tant de la peur ou de la «dépendance», mais libres pour l'amour, pour la vie elle-même.

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